Le réveil

Elle se sent étouffée, ses poumons ne veulent pas prendre l’air comme elle le veut. Comme si ils fonctionnaient à leur proper rythme. Ses yeux sont toujours fermés et un voix caverneuse se fait entendre dans la pièce.

“Ah, tu es enfin réveillée ma chère.”

Ses yeux s’ouvrent soudainement. Où est-elle? Le plafond est en bois sombre et d’après la lumière le matin doit être arrivé.

Elle se lève tranquillement. Son pas est irrégulier et elle se sent tellement mal à l’aise. Du coin de l’oeil elle voit un miroir avec un basin, elle s’y dirige pour s’asperger le visage d’eau. Ses pas sont tellement lents, pourtant elle n’as jamais eu autant de problèmes que ça avec la boisson.

Elle doit avoir bu la nuit passé… Où était-elle déjà… Elle se souvient de plusieurs visages. Mais elle ne se permettait de le regarder que lorsqu'ils ne la regardaient pas. Pour ne pas qu’on voit ses cornes, ses yeux et ses dents.

“Et ta queue” Lance la voix caverneuse.

Non c’est impossible, c’est venu de ma tête; il n’y a personne dans la petite pièce sauf moi.

Où était-elle la nuit passée? Soudainement cela lui revient: elle était à une fête en l'honneur des héros de la Passe. Le vin a dû y être bon.

Elle arrive au miroir la tête basse ce qui est devenu une habitude. Elle regarde dans le bassin d'eau et y voit son visage. Elle aperçoit ses grosses cornes, ses yeux démoniaques et ses dents qui parraissent un peu sous ses lèvres.

Combien de vin a-t-elle bu pour ne pas se souvenir d’être montée à sa chambre? Elle espère que son mari l'a bien amené ici avant qu’elle ne fasse une folle d’elle-même… Avant qu’elle ne se dévoile.

Elle regarde dans le basin, avant de s'y tremper les mains pour s'asperger le visage. Elle remarque qu'elle a maintenant des cornes qui poussent aux coins de sa machoire. Une larme lui coule le long de la joue pour aller tomber dans l'eau, brouillant ainsi l'image. Pendant quelques secondes, elle croit y voir son vrai reflet. Celle qu'elle avait avant son mariage. Une autre larme s’échappe.

Elle tente de prendre l’eau dans ses mains pour se laver le visage. Mais ses bras ne veulent pas répondre, comme si elle était dans un rêve. Elle sent ses membres faibles et incertains.

Tout d’un coup elle se souvient de l'arrestation par le mousquetaire de la Princesse et la zizanie ensuite. Puis la marche vers l’auberge… Éliam, Topanga… Tellement de sang... Elle regarde ses bras, il en sont couverts… Elle les a tués…

Elle lève la tête et se sent encore plus faible qu'à son levé et regarde le miroir. Ce qu'elle y voit l'horrifie… Le reflet qu’elle connaît depuis maintenant presque deux ans n’y est plus. Plutôt elle s'y voit… La Comtesse, comme elle se souvient d’elle même sans les cornes, sans les dents… Une voix sort de ses lèvres mais celles de la reflection ne bougent pas.

La voix est sombre et carverneuse:

“Bonjour Pantin?”

... ses yeux s'agrandissent au son de la voix et a l'image dans le mirrior une qu'elle n'avait pas vue maintenant depuis 2 ans. elle glisse lourdement ses pieds au sol pour reculer de quelques pas. Ses pieds etait lourd et difficile a bouger comme si elle n'avait aucun controle sur elle meme.

- NON .. c'est pas possible tu ne peux pas etre dans moi ... sort .. sort de mon corps ..

des larmes se mets a couler le long de ses joues, elle voulais se debattre mais elle ne pouvait presque plus prendre controle de son corps.

- pourquoi a tu tuer Topanga et Eliam .. ? ... qu'es-ce que tu veux ? ... prendre controle du monde entier .. tu sais que ca serai pas possible... tu le sais bien ..

toujours de loin elle regarda le mirroire.

La comtesse sentit ses yeux s'agrandir de surprise, pourtant sa réflexion dans le miroir ne changea pas d'un poil.

« Mais ma chère nou ne sommes pas 'dans toi', comment as tu pu avoir une idée pareille? »

Elle sentit ses lèvres remonter en un sourire, un sourire qui il n'y as pas si longtemps elle utilisait pour faire tomber les hommes amoureux, un sourire qui, depuis peu terrifiais ceux qui le voyais.

« Et pour ce qui est de tes amis... Nous pouvons t'assurer qu'ils vont bien. Oh, ils ont eu mal, très mal. »

La comtesse se retourna vers le lit, elle y vit une ceinture avec des épées. Et une dizaine de dagues étalées dans le lit. Elle mis la ceinture a sa taille, et commença a cacher les dagues sur sa personne.

« Oh, avant que l’on oublie… Tes amis te cherchent… Que dites-nous, tes amis te chassent. Le petit trucs que tu leur as joué, ou tu as tenté de tuer ton escorte les as convaincus que tu avais complètement tournée. Nous n’aurions jamais pu faire mieux nous-même, nous savions que nous pouvions compter sur toi »

Une fois les armes sur sa personne, la comtesse se dirigea vers la porte. Celle-ci était hors de ses gonds, et brisée en plusieurs morceaux. Au milieu de la porte une tête, comme si elle avait été utilisée comme bélié. De longs cheveux châtains, mêlés de sang. Une jeune fille, donc…

La Comtesse s’arrêtas devant le miroir sur son chemin vers la porte, et se tournas la tête pour s’y regarder.

« D’ailleurs tu sait comment ton mari t’as appelé? Parce que nous étions à la cérémonie et nous avons tout entendu… Il t’as appelé un ‘monstre’. Il as dit ‘Comment avons nous pus croire qu’elle était plus qu’un monstre. Ca aurais du nous être évident qu’elle jouais les deux bords… encore.’ »

« Tu t’est construit une belle réputation, jolie comtesse, avec ce Faolan et moi. »

toujours devant le mirroir, ses emotions dechirer ; le reflet dans le mirrior lui rappel de bon moment, elle etait triste de se voir ainsi dans le mirrior et de savoir que ce n'était pas ce qu'elle projettait a ceux qui l'entourait. elle sortie de ses penser et entendit les paroles de les creatures en elle.

- VOUS .. tu parles de VOUS .. c'est qui VOUS ..

hors de sa volonté laure-Emanuelle se dirige vers le lit pour y mettre la ceinture a sa taille. Elle placa les dagues de facon stratégique comme si elle etait habituer de le faire . Elle s'arreta de nouveau devant le mirrior

- Sir Francois m'aurai jamais appel de la sorte .. je ne suis pas un monstre et ma reputation etait bonne jusqu'au moment que Legion soi venue me chercher... et Faolan n'a rien avoir avec tout ca ... !!!!

elle froncis les sourcils et detourna son regard du mirrior

A ces mots la voix rit un peu.

"Ah, notre bien aimée... Ne reconnaissez vous pas que pendant quelques heures vous avez pensé tourner contre les vôtres? Vous croyez vraiment que vos compatriotes ne le savaient pas?"

"Vous, très chère, êtes un monstre digne de nous"

La comtesse se retourna vers la porte... tellement de sang. Le corps de la jeune femme qui avait été utlisé comme bélié bloquais un peu l'entrée de la chambre. La comtesse tanta tant bien que mal d'ignorer la scène, ou même de se fermer les yeux.

"Pauvre petite... Nous allions seulement nous en débarasser vite fait, vous êtes très assoifée de sang très chère. Tout cette belle scène, c'est vous bien aimée. Enfin, votre subconscient c'est à dire."

La comtesse enjamba la pauvre femme, se dirigeant a travers un corridor de ce qu'elle assumais devait être un auberge.

ses yeux s'agrandi a voir la pauvre jeune femme en sang au sol. la Comtesse eu un haut le coeur.

- pour qu'elle raison vous devez etre si cruelle.

Elle n'acceptais pas la situation mais elle ne pouvait faire mieux que de jouer au jeux, Laure esperais grandement que son Mari et ses amis etait pour lui venir en aide.

- pourquoi pas utiliser un peu plus de parole subtile , moi de sang, nous sommes pas oubliger de tuer mais peu-etre utiliser d'autre moyen comme Legion l'a fait si bien avec moi .....

elle descendit dans le corridor de l'auberge.

"Mais ma chère, vous et moi... Nous sommes Légion et nous sommes Beaucoup."

A ces paroles c'était comme si la voix eu un nombre d'écho chaque dans une voix différente. Elle crut en reconnaître quelques unes.

"Et quant à vos amis..."

Une vision lui vient à l'esprit, ses griffes s'enfonçant dans la chaire délicate de l'épaule de Topanga, son sang au goût métallique tombé sur ses lèvres. La comtesse en salivait.

"Nous pouvons voir a votre... réaction... que vous comprenez... Ce n'est pas nous qui avont fait ces choses, mais bel et bien vous notre tendre."

La comtesse se diriga vers la salle commune de l'auberge, ou un autre bain de sang l'attendit. Tous les fêtards de la veille gisaient morts dans leur sang.

La comtesse se rendit à l'extérieur pour y découvrir une autre scène tout aussi horrible. Un petit village au grand complet mis a feux et a sang. Des visions cassées remontèrent a la surface. De ce qui s'était passé la veille. Des meurtres qu'elle avait commis, et pire.

"Nous somme heureux de vous apprendre que vous faites une bonne addition bien aimée. Votre coté ténébreux est digne de nous. Maintenant il ne suffit que de se débarasser de cette petite voix de victime qui ne cesse d'essayer de briser notre plaisir."

La comtesse se diriga vers l'écurie

"Et nous avons une très bonne cure pour cela."

Elle se retourna vers le village désécré...

"Vous croyez que ceci est une assez bonne piste que vos amis pourront suivre?"