Mission Adrian

La Quete dut accompli et les heros retourna vers des celebrations bien meriter. Par contre la comtesse ne se sentai pas comme si l'avanture etait terminer. Son sejour au manoir de son mari n'etait d'autant plus reposant.
Elle s'etait porte volontaire pour assurer que Sir Adrian soi sur une bonne route et qu'il n'avais aucun arriere plan. c'est apres un bon repas avec la bonne compagnie de son mari et bien arroser de vin et de gaterie qu'elle se dirige vers les quartiers de Sir Adrian.

Avant d'arriver a la porte elle croisa celui qui avait de si beaux yeux doux, celui que la caresse etait rempli de tendresse et que la voix est comme une melodie mielleuse. Draken etait sur le point de quitter le manoir afin de retrouver Sir Tirvor, c'est ce qu'elle croyait. lle le regarda doucement et lui toucha le bout des doigt avec les siens. elle s'appoche et lui dit a l'oreille.

" je dois discuter avec Adrian, on se retrouve dans la cour ? ou prefere tu rester et attendre ici ? "

Elle a voulu l'embrasser mais elle ne voulais pas emplifier deja les supcons. elle pris quelque pas et detrouna son regard vers son amoureux et lui sourit delicatement.


Laurre-Emanuelle prit une grande respirationi question de se donner courage a affronter ce Sir aux propos arrogant. c'est alors qu'elle laissa tomber sa main fermer sur la porte en boit, delicatement au debut mais un peu plus fort par la suite. eb attendant que la porte s'ouvre elle prit de son sac un encrier , une plume et quelque papier parchemin. endin la porte fini par s'ouvrir c'etait Adrian. La comtesse se denait bien droite et garda son allure noble question de se faire respecter par celui-ci. vetue d'une de ses plus belle robe de velours rouge a l'encolure qui traca soigneusement le contour de ses epaules et laissa libre la nuque decorer de delicat de jolie ruby. Ses yeux blanc regarda Adrian et sans dire mot il lui fit signe d'entrer.

la porte se referma derriere elle.

Apres s'avoir fait demander s'il attendrait pour la comptesse, il lui fit un sourire avec un clin d'oeil.

"Comme si j'allais te laisser avoir tout le plaisir seule."

Draken commenca a suivre la femme au cheveux blond tranquillement. Restant quelque pas deriere elle, hors de sa vue, il ferma ses yeux et chuchota un mot avant de disparaitre. Il continua de la suivre jusqu'a la porte, ou il se faufila juste avant que la porte se referme. Rendu dans la piece, il se trouva un coin ou il ne sera pas trouver et d'ou il pouvait observer et ecouter la conversation entre les deux nobles.

Adrian était affairé à faire les comptes pour Sire François. Il regarda Laure-Emanuelle d'un air arrogant, considérant que ce qu'il était en train de faire avait beaucoup plus d'importance que d'avoir la visite de la Comtesse.

« Que me vaut l'honneur de votre visite Comtesse ? Je suis certain que vous avez beaucoup d'autres occupations que de venir regarder cette paperasse couplée de chiffres que vous ne comprendriez pas de toute façon ! »

Il échappa un rire gras et fort comme pour emplir la salle morne. Il se dirigea vers la table où étaient empilés les papiers et tira une chaise afin de faire place à la Comtesse.

Il amassa les papiers sur la table afin de faire un peu de place, puis poursuivi.

« Vous savez, Comtesse, on dirait par votre attitude et vos visites fréquentes que vous ne me faites pas confiance. J'ai à coeur autant que vous et votre mari la prospérité et la sécurité de ces terres. C'est pourquoi j'ai accepté de devenir le castellan de Sire François. Si j'avais été de mauvaise foi, j'aurais bien pu écraser votre armée et vous laissez, tous les deux, dépossédés de toutes terres. Vous voyez bien que je ne suis pas si méchant que ca ! »

Il regarda la Comtesse avec un air interrogateur, comme s'il attendait une approbation de sa part.

D’un pas leger elle se dirige vers la table et jetta un coup d’oeil sur les notes du Sir. La comtesse pris son air snob et empressa le Sir de tasser ses papiers afin de prendre place pour les siens.

Je tiens a vous dire mon cher Adrien que les comptes de Sir Francois son autant les miens et que je les comprends bien plus que vous le croyez.

Elle prit un cour respire pour poursuivre.

Et non je n’ai aucunement confiance en vous t’en que vous me prouverais du contraire cela retera ainsi.

Laure-Emanuelle ouvrit son petit pot d’encre et y trempa sa plume, ses yeux blancs se leva vers l’Homme

Dite moi ou en etes vous rendu ?