Le cousin Germain

Germain venait de terminer ses bagages. Il regarda la comptesse du coin de l'oeil et alla lui parler.

"Bon, c'est ici que notre route se sépare, bonne chance." dit-il d'un ton assuré et franc. "Voici ce qui me reste de votre paye." il laisse tomber 1 pistolle aux pieds de la comptesse. "Je vous le redonne puisque je penses que vous en aurez plus besoin que moi.

Il tourne les pieds et s'en va vers ses bagages, les ramasse et quitte le terrain. Plus loin il rencontra sir François, le compte. Germain alla à sa rencontre.

"M. le Compte, j'ai quelque chose à vous dire." dit-il. Le compte et lui alla en retrait pour discuter loin des oreilles indiscrètes. *Marc, je vais te l'écrire dans un courriel*

la comtesse regarda germain et lui fit un signe de tete ..

Merci pour vos service .. c'etait grandement appricier

Lorqu'il laissa tomber le pistole elle le regarda d'un air frais chier

vous auriez pu me le donnez en mais .. maintenent je dois demander a un de mes serf de me le ramasser.. ...

Pas à moi je suis libre maintenant

"Ah bon? Je croyais que vous étiez contre l'utilisation de serfs? Ça me prouve exactement à qui j'ai à faire." dit Germain un sourrire en coin.

"J'espère que votre route sera bonne, que vous retrouverez le voleur de votre bourse et que vous récoltez quelques leçons de vie d'ici notre prochaine rencontre, si rencontre il y a lieu."

Lorsque Éliam proclama sa liberté, Germain sourit: "Au moins t'es libre de travailler pour qui tu veux!"