Le départ

Wulf ragarda Éliam d'un air amusée.

-Eliam, dans une forêt où les arbres peuvent nous avaler, où le sol peut nous engloutir et où des créatures les plus fantastiques peuvent surgirent; je crois qu'il ne faut pas laisser tomber nos gardes malgré le froid. Si les dryades sont des êtres de la nature, elles doivent être en harmonie avec la température et je ne crois pas que le froisd ne les arrêtera.

Un silence mesquin.

-Crains-tu les dryades mon cher Éliam?

Pendant que ses trois nouveaux compagnons se reposaient au manoiret (LOL) de la dame, Beregon en profita pour quitter et tenter de trouver des pistes. Bien que le pays était énorme, Beregon pensait p-e trouver quelques signes pour le guider vers les ravisseurs de la princesse. Avant de quitter, il avait avertit Wulf que s'il n' était pas revenu d'ici deux jours, il les rejoindraient à l'auberge de Portos.

En chemin, le forestier avait rencontré quelques paysans qui semblaient retenir quelques informations. Heureusement pour lui, l'armée Devonienne lui avait apprit quelques petits trucs pour interoger et surtout retirer de l'information des gens.

Et c'est ainsi qu'il savait que les ravisseurs avaient passé sur les terres de la Dame mais qu'après avoir utilisé la maison de ces pauvres paysans, ils s'étaient enfuit en jurant la mort des paysans si ceux-ci parleraient.

Après avoir laissé tranquille les paysans, Beregon se dirigea vers l' auberge de Portos, qu'il trouvait soit en dit passant très tolérable pour un noble.

(je vous vois au gn les potes)