À la poursuite des prisonniers

Wilson observait de loin les agissements des gardes. Ils ne semblaient pas être très amicales avec ses compagnons. Pourquoi la comtesse et les autres ne se sont pas sauvés dans les bois aussi? Tout ca est louche, il doit y avoir anguille sous roche.

Wilson : Beregon, j'ai aucune intension de me livrer à ces gardes, mais je veux aider à colmater cette brêche que Laure-Émanuelle m'a parler hier. Cependant je ne connais aucun détail sur cet événement. Disons que j'étais occupé ailleurs durant la fin de semaine.

Il savait qu'il se devait de suivre les prisonniers. Deux raisons majeures le poussait à le faire. De un Laure-Émanuelle était parmi eux et peut-être plus important encore pour la nature, la "source" y était aussi. Il était maintenant lié à cette source et se devait de la protéger. Plus moyen de reculer, il devait y aller.

Wilson savait pertinament qu'il pouvait y avoir des tensions dans le groupe, surtout avec Wulf, la guerrière qui se prends pour un dieu. Il y avait aussi Fyrodan qui ne semblait pas toujours l'apprécier. Au moins il pouvait compter sur Winsthroft et Bérégon. Eliam était aussi un bon allié, encore un peu naïf sur la vie, mais tout de même s'améliorait constamment depuis qu'il a acquis sa liberté.

Wilson : Wulf, je sais que tu m'aimes pas, mais c'est pas le temps de piquer une de tes petites crises présentement. Il va falloir travailler en groupe. Ok, je sais que ca compte pour moi aussi. On a une équipe du tonnère ici, on peut facilement suivre les traces de nos compagnons et les sortir de cette fâcheuse situation.

Encore une fois, Wulf se démarqua durant le combat et elle avait exellé dans l'art de tuer ses ennemis. Son instinct les avait guidés, Winsthroft et elle, vers la forêt où elle rencontra Beregon, Éliam mais pourquoi putain Brigid mettait-elle ce sacré; Wilson sur sa route?

La guerrière parveint à suivre le groupe dans sa fuite afin d'éviter l'arrestation. La meute ne pouvait pas se laisser prendre dans ces filets. Il y avait d'autres moyens d'accéder à cette forteresse et la meute avait tous les outils pour réussir.

Et pourtant Wulf se sentait seule, seule dans son humiliation, seule au sommet d'une gloire qui ne cesse de la suivre. Si sa force surhumaine pour une femme lui provient de Brigid, si son talent au combat lui vient de Brigid, si les ennemis tresaillent lorsqu'ils la voient grâce à Brigid...pourquoi n'avait-elle pas répondu à ses prîères?? Pourquoi n'était-elle pas intervenue lorsqu'on jeta Wulf aux démons? Oû était-elle lorsque ceux-ci abusaient de Wulf? Elle l'avait abandonné? Il n'y avait aucune autre réponse.

Wulf n'arrivait plus à sourire.

Wilson la tira de ses pensées. Wulf pinça les lèvres afin de retenir toutes répliques chaotiques car elle le savait que ce n'était pas le moment pour la discorde mais tout bas, elle lui glissa en douce quelques mots.

Wulf:je suis consciente que tu ne m'aimes pas et que peu importe mes paroles tu n'en tiendras compte. Saches que mes intentions sont d'offrir mon épée à la meute et ......à ceux qui s'y rattachent.

Wulf retint ses derniers mots. Elle avait pourtant déjà offert à Wilson de lui ouvrir son coeur afin qu'ils expliquent sur leurs différences mais celui-ci ne s'était jamais présenté. Alors plus les jours avançaient, plus Wulf laissait de côté tout sentiments. Seul l'amitié de la meute, et une autre chose indescriptible, l'empêchait de dériver.

Tout le monde était maintenant séparé. Plusieurs amis étaient présentement prisonniers de Remi, d`autres étaient parti pour de bon tout comme Berenth(la bête) et 6 aventuriers têtu c`étaient maintenant rejoint dans la foret afin d`élaborer un plan pour aider les prisonniers.

Même lorsque Wilson lui avait parlé, Beregon n`avait pas prononcé un seul mot, ce n`est qu`après quelques heures de voyage et l`établissement d`un petit camp caché, qu`il décida de parler. Il était content d`être avec la Meute ainsi que Wilson et Fyrodan, mais il ne pouvait s`empêcher d`avoir des tonnes de pensés par rapport à ce qui venait de se produire. Non seulement il était en possession d`un livre potentiellement dangereux pour l`humanité, mais en plus il réalisait à quel point, sa solitude devrait être éternel. Après tout, qui voudrait vivre une vie avec un homme damné…

-C`est simple, nous allons suivre le groupe le plus discrètement possible jusqu`à ce que nous arrivons à la forteresse. À cet endroit, l`infiltration sera du ressort de Éliam et Winstroft. Pour le moment, je crois que Wilson, Fyrodan et moi devrions toujours être un peu à l`avant du groupe considérant notre facilité à disparaitre dans la foret? Qu`est ce que vous en pensez? Pour cette nuit, je compte bien m`infiltrer dans le campement des soldats afin d`aller voir nos amis et m`assurer qu`ils sont ok. Nous ne pouvons pas y aller tout les 6 alors si vous avez quelque chose à dire à quelqu`un, dite le à moi et Wilson et nous nous assurerons que le message passera…Wulf, je compte sur toi pour bien surveiller les petits(il fit un clein d' oeil aux autres)

Après ces paroles, Beregon et Wilson disparurent dans la foret en direction du campement de Remi et ses hommes. L`infiltration fut assez facile pour les deux rodeurs, considérant la proximité de la foret.

Aussitôt que Dame Laure se retourna pour quitter avec le soldat, les deux rodeurs fit leur apparition tout prêt de l`arbre. Beregon laissa les pièces à leur place en attendant que Wilson s`en occupe.

-Bon, je te revois plus tard, je dois aller plus loin pour voir si…enfin pour voir.

Et Beregon se camoufla à nouveau dans la foret, cette fois-ci en direction de la tente de Sir Francois…

Wulf regarda Beregon qui avait pressenti ses emotions car il avait tenté d'éviter le pire en donnant une mission bidon à la guerrière. Elle acquiessa et s'installa sur une souche au campement. Elle attendrait là seule. Pourquoi fallait-il que ces hommes.. que ses hommes de la meute se soient liés affectueusement? Ne comprenaient-ils pas que cette affection serait leur plus grande faiblesse? Et voilà que Beregon et ce sacré Wilson allaient s'infiltrer au campement de Rémi pour livrer quelconque message à leur tendre moitié.

Wulf avait vu des hommes mourrir d'amour et se sacrifier pour leur dame: chose qu'elle ne vivrait jamais. Chose certaine, elle était là vide d'émotion mais prète à tout donner pour LA MEUTE. Puisqu'elle se sentait abandonnée par la déesse de la guerre...il était vital qu'elle se ratache à sa bouée: La meute.

Juste avant que Beregon se camoufle de nouveau, Wilson indiqua qu'il était hors de question pour lui de toucher des pièces. Beregon lui lanca un regard sévère et se camoufla.

Wilson : Je crois que je n'ai d'autre choix que de prendre moi même ces pièces... Vivement qu'elles soient dans les mains de Winsthroft. Je déteste ce symbole de la folie des hommes.

Sitôt les pièces prises, Wilson se fondit dans le paysage. Il s'avanca doucement en direction du camp. Il savait maintenant comment s'y prendre pour marcher silencieusement. Même sans camouflage il avait réussis à s'approcher du camp Orc. Il utilisa les mêmes techniques. Marcher sur les roches, les plus grosses souches, les parties de terres sans feuilles et branches. Il était silencieux, mais ca prenait du temps. Il réussit tout de même à se rendre à quelque centimètres de la comtesse. Doucement il lui chutotta à l'oreille...

Wilson : Ma belle Laure-Émanuelle, ne fait signe de rien, notre présence ne doit pas être dévoilée. Je voulais te dire que je suis là, tout près de toi. Je te garde à l'oeil et je ne suis jamais loin. Essaie de pas trop te mettre dans l'ambarras d'ici la forteresse. On va essayer de s'infiltrer rendu là. Essaie de prendre soins de toi entre temps et aussi des autres. Tu restes ma belle princesse des ténèbres.

Sur ce, Wilson posa un doux baiser sur les lèvres de la comtesse. Cette étreinte semblait durée une éternité pour lui. Cependant il devait revenir à ses esprits, il ne devait pas prendre trop de temps dans le camp ennemi.

Après avoir échappé à l’attention des gardiens de Rémi qui r’assemblait tout le monde dans l’auberge, Éliam rejoignit le reste de La Meute et quelques accolites. Les autres furent escorté à leur campement pour ramasser leur affaire. Beregon se devait de retrouver quelque chose alors il donna un point de rencontre au reste du groupe.

Le dernier contact qu’il avait eu avec Klore avait été de courte durée et déconcertant. Elle c’était beaucoup plus inquiété du sort de la comptesse que de se qu’Éliam avait à lui dire. La regardant courir en direction de l’auberge pour se jeter dans la bouche du loup, son coeur se serra entre la poursuivre ou disparaître avec les autres dans la forêt.

Il était maintenant là à attendre le retour de Beregon et il craqua.

Éliam: Je reviens, attendez moi.

Avant même que quiconque n’est le temps de réagir Éliam c’était fondu dans l’ombre de la brunante qui prenait place lentement.

Malheureusement pour lui le campement grouillait de garde et Klore se trouvait en plein centre. Mais il n’était pas question qu’il quitte sans qu’elle sache qu’il ne l’avait pas abandonné. Qu’il ne se contenterait pas d’espérer que leurs chemins se recroisent comme elle lui avait dit la veille.

Il remarqua alors qu’un seul garde surveillait Topanga. Il s’approcha sur la pointe des pieds et au moment ou elle se tourna, le gardien qui lui faisait face tomba à ses pieds pour laisser apparaître la silhouette d’Éliam qui arborrait un léger sourire.

Éliam: T’en fait pas il n’est pas mort. J’ai pas beaucoup de temps. Je ne veux que te demander une chose. Je vais avoir Wulf pour veiller sur moi alors j’aimerais que mini Wulf garde un oeil sur Klore et la comptesse. Dit lui je ne suis pas loin. Et … j’aimerais aussi tu laisses à savoir à Nienna que Beregon est tout prêt d’elle.

Elle n’eut le temps qu’acquisser d’un signe de la tête et Éliam disparu de nouveau pour rejoindre les autres.


A la nuit tombé, un camp caché fut monté non loin de la nouvelle petite armé. Il aurait bien aimé demander à Beregon et Wilson de glisser un mot à Klore mais il pouvait lire la contrainte dans le regard de Wulf qui trouvait nuisible et dangeureux tous ces attachements. Mais il n’en pouvait rien.
Il resta au campement et parlait peu.

Éliam: Je n’ai pas choisi ce qui arrive Wulf. Le jour viendra ou toi aussi tu sera poussé à faire des folies… quoique tu le fais déjà à l’occasion lorsqu’il est question d’éliminer une grande menace comme Légion. Je me demande d’ailleur comment Beregon fera pour porter se fardeau seul et où il cachera ce livre pour qu’il soit en sécurité.

Wulf ne regarda pas Éliam losrqu'elle lui répondit:

Wulf: Éliam, contrairement à vous, mes folies ne consistent pas à mettre en danger une mission. Retourner au camp afin d'aviser l'âme soeur que vous suivez de près le convoie de Rémi afin d'appaiser tout doute qu'elle aurait dans son coeur ne fait pas partie de mes folies. Je ne suis attachée personne...

*silence*

Mes intentions sont de parcourir le monde et d'éliminer les forces du mal afin de rendre le monde meilleur. Mon outils.. la guerre!!! mon amour.. l'épée.

Sur ces mots Wulf eu un pincement au coeur pensant à Brigid. Elle se toura et plongea son regard dans le bleu profond des yeux d'Éliam.

Wulf: et pour ce qui regarde Beregon, eh bien! À la différence de ses prédécesseurs, Beregon n`a pas à porter ce fardeaux seul...il a nous: La meute.

Laure-Emanuelle etait toujours assise pres du feu bien installer son dos a un arbre. Elle partait lentement vers le sommeil quand elle entendit chuchoter a son oreille, elle perdit presque connaissance, son coeur battais plus que jamais. elle ecoutait les mots de Wilson tout en fixant son regard vers le feu mourrant, un sourire monta doucement a ses levres rouge et velouter.

Laure-Emanuelle:n'ayez crainte mon beau Wilson, maintenant que je sais vous etre pres, mon coeur restera rassurer. j'ai deja des plans en tete pour ce qui m'attent a la passe. Ces cornes me sera de bonne utiliter.

La Comtesse tourna legerement la tete pour enfin regarder les yeux scintillant de Wilson. Elle leva sa main pour caresser sa joue et s'approcha pour acceuillir le baiser chaleureux. Elle ferma les yeux pour vivre eternellement se moment. Lorqu'elle ouvrit les yeux il etait deja partie.

Laure-Emanuelle sourit grandement et retourna son regard vers les douces petites flammes restantes. pour le reste de la nuit La comtesse dormi paisiblement.

« Interrompue en pleine prière! » bougonnait sombrement la novice, assise à même le sol, dans la nuit un peu à l’écart. « Par des hommes en arme! ARGL! Quelle indignité, quelle infamie! Et ce vaurien insolent à leur tête! Évidemment que c'est long prier... Il s'imagine quoi? » poursuivit-elle en affichant tout bas sa rancoeur et son mécontentement face à sœur Marie-Izabeau.

« On devait accompagner la comtesse pour protéger son âme… À voir le poids des malédictions qui pèsent maintenant sur sa vie, je crois bien qu’une légion de prêtresse n'aurait pas suffie! Et la meute? Nous en sommes séparés! La mère supérieure ne serait pas heureuse de nous savoir ainsi engagée. Ces gens, izabeau, ne nous entrainent pas pour le réconfort de notre foi, mais pour nos capacités, sans respect pour ce que cette magie nous coute! Ils nous exploitent! Ils nous utilisent! C’est révoltant!! »Acheva-t-elle avant de se laisser définitivement emportée. « Si c’est ça le noviciat… »insinua-t-elle…

Topanga était dans un sommeil très profond au moment où Éliam venu la réveiller. Au début elle n'était pas très certaine si elle voyait vraiment ce dernier ou si elle était encore dans ses rêves. Mais non, c'étais bel et bien son ami qui lui disait que tout était correcte et que sa bande d'amis les suivaient de pas très loin.

Une fois Éliam partit, Topanga réalisa que la comtesse n'étais plus à ses côtés. Elle tourna la tête et la vue pas très loin dans les bois avec Wilson. Le sourire lui venu aux lèvres quand elle vue le tendre baisée, car elle sue que cela soulagerais bien la comtesse de tout ce qui c'est passé en si peu de temps. Une fois la comtesse revenue, Topanga lui fit un petit clin d'oeil et un petit sourire et lui murmura:
-Tu vois, tout vas être correct. Ils ne sont pas très loin derrière nous!

Le lendemain matin, elle informa Klore et par la suite Alla voir Niena lui informant à son tour que Beregon était tout près d'elle.

Pas très longtemps après, les gardes informent aux prisonniers qu'ils doivent reprendre le chemin pour le mur. Topanga rammassa le peu de chose qu'elle avait et aida à la comtess et Klore pour leur choses à eux. Par moment, Topanga regarde si elle ne pourrait pas voir Wulf et la meute pas loin derrière eux. Par contre, elle n'eu jamais la chance de les voir. Elle continua sa marche avec l'espoir de un jour revoir ses amis, mais il lui revenais toujours dans ses pensées que sa nouvelle tâche était de garder en sécurité la comtesse et Klore.[i]

Après avoir laissé Wilson ramasser les pièces d`or, Beregon se dirigea le plus discretement possible vers ce qu`il figurait etre la tente de Sir Francois. Évidemment, il n`y allait absolument pas pour donner des nouvelles au noble, mais bien pour tenter d`y voir Nienna...

Arrivé tout à quelques metres de la tente, le rodeur ne voulait pas prendre la chance de sortir de la foret donc il décida de patienter temps et aussi longtemps que Nienna ne sortirait pas à l`extérieur. Bien que tout le monde était "prisonnier", le forestier était absolument certain que la druide tenterait de sortir au moins quelques minutes afin de prendre un peu d`air frais de la nature.

il suffisait d`attendre maintenant...

Beaucoup de péripéties s’étaient passées depuis qu’Izabeau avait accepté de suivre Wulf. Cette existence d’aventurier n’avait rien de comparable à la vie cloîtrée qu’elle menait à l’abbaye Larochelle. Qu’elle bouchée d’air fraîche cette liberté. D’une voix sereine, Izabeau s'adressa à son acolyte :

« Marie-Catherine, ceci n’a rien à avoir avec la vie de novice. Ceci est tellement… tellement mieux que le noviciat. Cesse de médire à propos de Remi Valla et pense à la comtesse. Cette pauvre noble cornue aura besoin de nous et de nos prières. Pour ce qui est de Wulf et de ses compagnons surnommés la Meute, je n’ai aucune crainte. Ils sont de bravent gens et je ne crains pas pour eux. Tu l’as vu de tes propres yeux à quel point ce quatuor est remarquable et courageux. Nos chemins se croiseront à nouveau, j’en ai la certitude. »

Izabeau se tue et leva son regard pour admirer les étoiles. Silencieusement, elle remercia Miharre de lui permettre de graviter autour d’un groupe de gens admirables.

« Si j’étais toi, Catherine, je profiterais de cette situation pour accroître ma foi en Miharre. La journée de demain sera éprouvante. Et si on prie un peu ? »

Wilson quitta la comptesse d'un pas plus léger. Il s'infiltra doucement vers l'intérieur, où se trouvaient les prisonnier qui ne sont pas nobles. Il utilisait bien entendu se talents de camouflage et personne ne pouvait le voir. Il avancait très lentement, de sorte que personne ne puisse l'entendre. Il voulait absolument se rendre jusqu'aux Sidhee.

Il voulait vraiment s'assurer que tout était en ordre et que les gardes n'avaient pas touchés à la "source", force de la nature. Il les appercu sans trop de problèmes. Il s'approcha d'eux et se fit en sorte que seuls eux puissent entendre. Il resta toutefois dans son camouflage.

Wilson : This is Wilson talking. I just want to let you know that I haven't forgotten about my task. I'm not too far behind and I keep track of your progress toward the fortress. If you want me to be the one to carry the one thing, just mark one tree with a "feux follet" spell. I'll know to meet up with you. Take good care of you guys, may Gaia be with you.

Sur ce, Wilson se dirigea vers la tente de Sir François. Il s'installa de manière à ce qu'il puisse voir Beregon. Il s'assura de faire une marque au sol à la manière des forestier, juste au cas où Beregon passe camoufler.

le Matin etait frais et les arbres affichaient une nouvelle saison. Laure-Emanuelle se reveille doucement, elle jetta un coup d’oeil au alentours. L’atmosphere qui reignais dans le campement etait depressif, les gens souriaient a peine. La Comtesse se leva de son petit lit sauvage et s’approcha de Sir Francois celui-ci s’etait reveiller au lueur du matin.

Laure-Emanuelle regarda les prisonniers enchainer, elle demontra de la tristesse pour ces gens. Cette scene lui rappella l’esclavage quelque chose que la Comtesse etait contre. Elle ne pouvais supporter de voir des gens innocent lier par les chaines et boulet. Elle deriva son regarde et rejoinit son mari. La marmite au feu degagea une odeur qui laissai a desirer. Par chance Le Comte et la Comtesse fut offer la meilleur nourriture du campement. Mais le garde les avertis que c’etait pour etre l’un des seuls car la nourriture fraiche se fesai rare. Les petits fruits, les tranches de viande fumer ainsi que les dernieres tranches de pain leur fut servi.

Pendant que le Comte et la Comtesse dejeuna, Klore et Topanga ramassa les bagages de la Comtesse. Un peu faible après tout ses mesaventures, Laure-Emanuelle ne pouvais transporter autant de bagages. Une fois leur dejeuner terminer un garde approcha des nobles.

Garde: Excusez moi mais je vais devoir vous lier les mains questions de ne pas subconner les yeux des espions qui pourrai se cacher aux alentours.

le garde sortie deux paire de menottes il regarda Sir Francois. Celui-ci etait silencieux, Laure-Emanuelle le ragarda intensement et attendais sa reponse. Elle avait totalement confiance en lui et le suivrai dans ses actions. Il tendit ses mains pour recevoir les liens. La jeune femme baissa la tete et fit de meme. Ebranller par ce geste la Comtesse cacha ses larmes qui rapidement monta a ses yeux. Elle se tenait debout immobile.

Après quelques temps les gardes se mis a rassambler les prisonniers, et lentement il commenca leur marche. La Comtesse resta derriere la marche, meme qu’elle n’avancait plus. La tete baisser un garde vient lui demander poliment d’avancer mais elle etait fixer au sol . Deja le train de marche etait parti lentement. Les gardes qui fermait la marche etait a coter de la Comtesse qui refusait encore d’avancer, ils n’ont pas le choix que de la pousser dans le dos pour qu’elle debute la marche. Lentement elle se mit a marcher, encore d’un air triste elle regarda de gauche a droite pour voir s’il ne pouvais pas appercevoir son bel amant. Desasperement elle rebaissa la tete et marcha a la queue du train de marche qui etait conclu par quatre gardes bien armer.

Voyant qu'Éliam ne lui rendait aucune réplique, Wulf se retira du groupe en douce. Pendant que tous ces êtres discrets et sournois s'afféraient à leur besogne, Wulf alla vers la lune qui brillait encore cette nuit. Elle noua autour du tronc d'un vieil arbre un lacet bleu et s'agenouilla.

Wulf: Oh Brigid, Déesse de la guerre, Oh Brigid.. ta fille implore ton aide, moi Kairean demande ta fidèle assitance afin de me guider; de sombres éléments sont survenus dernièrement et je me suis perdue dans mes intentions. J'en avais oublié ma raison de vivre .. la gloire de mes succès m'a aveuglé et la faim de la renommé m'a empoisonné le coeur. J'ai cru pour un court instant qu'on m'aimait pour autre que mon épée. Mais j'ai été faible et la noirceur telle que l'avarice et la cruauté ont empoisonné mon âme. Votre grâce m'a ressaisi en me jetant en pâture aux démons. Bien que ceux-ci se sont servis de mon corps.. je retrouve mon âme et mon esprit redevient pur. Je veux combattre le mal... avec mon talent viennent de grandes responsabilités. Comme héroïne, je redeviens Wulf et faites que Kairean ne voit plus le jour, car sa sensibilité signerait sa mort. Protège mes frères, Éliam, Beregon, Winsthroft et ...........Wilson.........malgré leur affection ils ont le coeur de grands guerriers.. Béni leurs armes.. et veille sur eux .. si je venais à tomber au combat.

merci mère


Recueilli, Wulf demeura sur ses genoux . La lune caressait d'un rayon maternel les épaules de la guerrière affligée. L'arbre se dressait paternellement devant elle bénissant sa fille et ses feuilles tombaient en cascade chatouillant la chevelure de Wulf. Et là, au seuil du vieil arbre, renaissait Wulf, la légendaire.

Contrairement a tout les autres homme qui ne s'était pas laisser capturer par Rémi, Winsthroft était rester derrière... Près de Wulf. Il avait été en total désaccord avec l'idée d'aller voir les prisonniers. A ses yeux, c'était des risques incalculer. A quoi bon éviter de se faire prendre, si c'était pour aller directement au campement des gardes? Bien sur, le voleur n'a jamais eu le temps d'expliquer sa vision des choses car les autres sont bien sur parti bien trop vite...

Il ne restait maintenant plus que Winsthroft et Wulf dans le petit campement temporaire que les aventurier avait eu le temps de construire avant la nuit. Lorsque Wulf se retira, le jeune voleur resta quelque instant seul. Il frotta un peu son front et senti la nouvelle cicatrise qui se trouvait pas très loin de son œil gauche... Cette cicatrise qu'il avait eu quelque heures plutôt était du a une erreurs de sa part.... Son manque de prudence avait faillit lui couter la vie...

Le jeune homme décida d'aller rejoindre son amie d'enfance afin de lui parler un peu. Autant étrange que cela pouvait parrêtre, Winsthroft qui avait toujours été quelqu'un de soliterre et décider avait besoin de conseil.

Il arriva un peu avant que Wulf ne commence sa prière et le voleur décida d'attendre que son amie aille fini avant de la déranger. Lorsque cela fut fait, il approcha doucement, mais fit exprès de faire assez de bruit que la jeune femme puis entendre son approche. Oubliant la raison initiale de la discutions qu'il voulait avoir, le voleur s'assit a coté de son amie, fit un léger sourire et dit :

- Je suis désoler.... j'ai entendu ta prière....Ainsi donc c'est définitivement la fin de Kairean... La fin de ma Kairean...

Il fit une petite pose et continua :

- Tu veux vraiment renoncer a ta sensibilité que je connais depuis toujours? Tu est certaine? Tu sais Kaire.... non Wulf... Tu sais Wulf, une grande guerrière, une légende comme toi peux se permettre de ressentir des émotions... Au contraire, tes émotions peuvent être une grande force pour toi. Ils peuvent te donner la force de continuer a combattre pour ceux que tu aime.... C'est se qui nous rend humain.

Wulf qui connaissait Winsthroft depuis toujours pus remarquer que le regard du jeune homme n'était pas celui de l'aventurier qu'elle côtoyais depuis déjà quelque année. En effet, se n'était pas le regard perçant habituel qui la regardais, mais bien les yeux doux et innossant qu'il avait autrefois... avant qu'il ne devienne ce qu'il était aujourd'hui.

-Wulf, es-tu vraiment certaine de vouloir passer le restant de tes jours a suivre le chemin de la solitude comme je l'ai fait?

Il fit encore une fois une petite pose, comme s'il cherchait comment continuer sa penser.

-Tu est sur de vouloir t'empêcher volontairement d'aimer? T'empêcher de faire se que les deux autres membres de la Meute ont commencer a vivre? Personnellement, je pense pas que ta mère (en disant ce mot, Winsthroft pointa vers le ciel) t'aurais fait aussi jolie femme si c'était vraiment le destin qu'elle te réservait.

Il fit un petit sourire amusé, puis repris son sérieux.

- Es-ce vraiment se que tu veux?

(LOL...c'est encore le retour des discutions quétainne entre les deux vieux amis )

Décidément, il n'avait pas moyen de se retrouver seul en voyageant avec ces êtres sournois.

Wulf regarda tristement son ami Winsthroft. comme elle le trouvait beau lorsqu'il laissait tomber sa barrière émotive et qu'il se donnait entièrement à elle. Souvent, ils s'étaient retrouvés seuls et sans échanger mot Winstrhoft pouvait ressentir les émotions de la grande Wulf.

Wulf: Définitivement Winsthroft! Il le faut. Je ne veux plus sombrer dans l'avarisme de la gloire mais je veux maintenant qu'elle me suive et non que je la traque. Je me donne entièrement à la guerre et mon âme se lie à ma lame.


Lentement, comme un geste habituel et fraternel, elle se blottie dans ses bras.

Wulf: Merci de suivre la meute Besk.. je sais que tu as tes propres fantômes à chasser. Sache bien que je suis la pour toi, je suis la pour la meute. Merci .. mais je crois qu'il est nécessaire pour moi de me consacrer à l'oeuvre de Brigid. J'Ai douté d'elle et de moi ! Non... je ne désire pas partager ma vie.. je vais me battre pour mes frère et mourir pour eux mais m'amouracher d'un homme? je passerai mon tour. L'amour n'est pas pour les héroïne!

Le regard que lui avait lancé Wulf était remplit de reproche.
Il recula légèrement pour s’adosser à un arbre bien caché dans l’ombre. Même Winsthroff cru qu’Éliam avait quitté.

Il demeura là sans rien dire… réalisant la stupidité qu’il avait fait. Elle avait raison. C’était complètement stupide que de mettre la vie du groupe en danger pour Klore. Mais il y avait plus que ça… le défi, l’adrénaline. S’il y avait une personne à espionner, à délivrer, un endroit où s’infiltrer…. c’était plus fort que lui il devait relever le défi.
Mais cette fois ci le risque était des plus élevé et pourrait compromettre la sécurité de beaucoup de monde dont celui qu’il considérait un peu comme un père et aussi la Comptesse qu’il appréciait de plus en plus. Et en ce qui consernait Klore… sa fuite hâtive juste avant l’arrestation le laissait songeur. Peut-être que Wulf avait raison et qu’être aventurier ne nous permettait pas de s’attacher. Mais comment ferait-il pour résister à cette douleur au coeur que seul sa présence arrivait à atténuer? Devant Légion il avait fonçé sans même réfléchir et maintenant cette femme sortit de nul part devenait un plus grand adversaire. Il devait prendre sa place et suivre jusqu’à ce qu’on ait besoin de lui. Dès qu’il en aurait la chance il se tournerait vers les soeurs. Elles avaient éclairé le coeur de Sir François, peut-être pourrait-elle l’aider à voir clair. En attendant il n’était plus question de mettre leur vie en danger ainsi que celle de beaucoup d’autre qui n’était pas fait pour la vie de prisonnier.

Il avait confiance en cette femme indienne, Topanga, qui lui avait promis de veiller sur les autres. Il ne lui restait donc qu’a veiller à son tour à se que leur mission réussisse et mettre de côté cette femme qui lui brouillait les idées.

Perdu dans ses pensés, ne trouvant pas de solution, il s’endormit dans un sommeil mouvementé. En boule grelottant dans son coin, il ne trouva qu’un sommeil profond qu’aux premiers rayons chauds du jour.

Winsthroft fit un petit sourire réconfortant et laissa son amie se blottir dans ses bras... comme dans le bon vieux temps pensa-il.

-Ainsi soit-il... Ce soir est morte ma vieille amie d'enfance Kairean... Il ne reste plus que la grande et légendaire Wulf, mon éternelle sœur d'arme. Dit toi au moins que si tu en a besoin, je serais toujours là si tu ressens le besoin de descendre tes gardes.

Être confortablement intaller comme cela, fit revenir les vieux souvenirs d'enfance. Les douces soirées d'été d'autre fois qui était passé à courir dans les champs jusqu'a ce que les deux jeunes enfants soient trop épuisé pour continuer. La douce époque ou les deux aventuriers étaient encore purs et innocents...

Winsthroft commença a jouer dans les cheveux de la guerrière, chose qu'il n'avait pas fait depuis très longtemps.

-Wulf... comment en sommes nous venu jusque la? Qu'est-ce que nous avons fait pour que commencions a ne plus rien attendre de la vie? ... Ne plus rien ressentir....

Winsthroft eu un petit rire amusée

- Que crois-tu que les jeunes Kairean et Besk penseraient de nous s'ils nous voyaient maitenant?

Le voleur regarda le ciel éclairer par les rayons lunaires ainsi que les étoiles.

-La nuit est très belle se soir. Peut-être que Brigid à décidé de bénir cette nuit afin de te dire que tu avais pris la bonne décision. A moins que se ne soit Anon et Annona (voir les dieux de milandes ) qui ont décidé de se créer une petite atmosphère propice a l'amour...

Le jeune homme était pensif. Malgré le fait que plusieurs de ses amis était prisonnier, il était heureux d'être la, dans les bois, son amie d'enfance dans ses bras, en train de lui caresser les cheveux. Il profitait du moment. Probablement une des dernières occasions qui leur restait pour être tranquille.

Le dimanche matin, l'inspecteur Watson le leva très très tard, en fait il n'avait pas très bien dormi, toutes sortes d'idées lui trottait dans la tête, il revoyait en mémoire tous les derniers évènements, sans compter ses problèmes personnels et ce général et sa gang qui l'empêchèrent de dormir. Bref à son réveil, tout était terminé : légion avait été défait, le livre repris et c'est in extremis qu'il arriva pour se faire arrêter par le Capitaine Rémi. Bizzarement, il manquait plusieurs personnes ... où était donc Bergeron, Wilson et cie ... il apprit bien rapidement que c'est toute la Meute qui avait fui. Quel lâcheté, quel manque de patriotisme ... l'estime qu'il avait pour eux en pris un coup.

Au départ, l'idée de joué les prisonniers avait parut amusant à l'inspecteur, inverser les rôles, lui qui arrêtait les prisonniers. Mais il s'aperçu très vite que c'était loin d'être une parti de plaisir, la marche n'était pas un problème, il y était habitué. Mais juste le fait d'être enchainé, sentir ce poids, cette privation de liberté atteignait son moral. Sans oublier la nourriture ... si on pouvait appeler ça de la nourriture.

Mais bon, il devait jouer le jouer, pour Larochelle, pour la princesse Marguerite qui lui avait confier cette mission et à qui il avait donner sa parole d'honneur. Watson croyait en la mission, la princesse et la reine en personne attendaient de lui que tout se passe bien. Il était de son devoir, en tant qu'Inspecteur et de citoyen de Larochelle de mener à terme sa mission. De plus, il avait toute confiance envers le Capitaine Rémi, le patriotisme Larochois se dégagait de lui et c'est à Lui, Watson, qu'il était venu rencontrer.

Vivement d'arriver à la forteresse, où le traitement serait beaucoup moins pire ... il l'espérait. Au moins il pouvait discuter avec quelques amis, ou connaissances, il y avait Topanga à qui il avait brièvement parlé, les 2 prêtresse qui ne parlait pas beaucoup mais était très utiles, sans oublier La Légion, de bon combattants, à entendre leurs exploits !

Avant de l'endormir, Wulf , confortablement installé dans les bras de Besk, regardait elle aussi les étoiles.

Wulf: Bof, la jeune Kairean est là ou je la voyait. Se donnant épée et âme pour le bien. Mais toi mon doux ami.. jt'aurais cru marié. Faut croire que certains évènements ont su modifier notre parcours...c'Est pour cela que je prends mon destin en main et me protège en fermant les portes de la tendresse. Brigid m'a infligé cette épreuve devant Légion et ses suivants. Comme tu l'as dit, il s'agit là d'une façon de me rappeler comment l'âme est fragile. *soupir*

Winsthroft pu sentir Wulf se raidir lorsqu'il accusait Anon pour cette belle nuit en l'honneur de l'amour. Wulf détonna un coup de coude dans les côtes de son ami.

Wulf: Tu sais bien que je n'y crois plus ... levant les yeux vers le ciel
C'Est Brigid qui offre aux guerriers une nuit de repos et de lucidité avant de reprendre les armes.
La guerrière demeura là afin de savourer la nostalgie qui enveloppait les deux amis d'enfance.[b]

Après plusieurs heures à attendre au froid en attente d`un signe de vie de la part de Nienna, Beregon se résigna à prendre délicatement une fleur, qui se fesait de plus en plus rare à cette période de l`année. Il sortit par la suite l`équipement nécessaire pour écrire et laisse un petit bout de papier accroché à la fleur. Évidemment, il n`était pas encore très bon en écriture, mais il commencait à se débrouiller.

Après avoir completé son message, il s`avanca très lentement jusqu`à la tente de Sir Francois pour ensuite accrocher la fleur à un endroit ou Nienna pourait le voir.

Quelques minutes plustard il était avec Wilson dans la foret et les deux forestier se redirigeaient vers la Meute et Fyrodan.

Sur la note il est possible de lire : "I did not leave. Take care Nienna"

Nienna kept her eyes on the ground and tried not to look at the guards all around. She was worried and afraid. They were all arrested for murder and even though she knew that it was just a way of getting them towards the wall, what if things stayed this way, what if they were stuck being prisioners...

She didn't notice Topanga until she was right beside her and looked up a bit surprised. She was even more surprised when Topanga gave her the news that Beregon was still nearby. She gave Topanga a little smile and nodded, looking a little less sad, but still looking scared and worried.

During the walk she stays silent and near Sir Francois, keeping her eyes down. She hated being surrounded by the guards and it showed. Her face looked a bit haunted and she was not sleeping well at all. She hadn't had a chance to be alone in the woods for a while and she missed the solitude.... ..

Finally, she gathered up the courage to try to sneak into the woods a bit, even if it meant getting in trouble for leaving the group. As she walked a bit into the forest she heard a light step and someone making a bit of noise, and the sound of parchment in the wind. She slowly and carefully walked towards the place, trying to stay as silent as possible so that she could see who else was in the forest, and run back to were she should be if it was one of the guards...

She noticed Beregon and stopped, not being able to believe her eyes. She waited a few moment, just watching him from behind and trying to make sure her eyes weren't playing tricks on her, since she had not slept much in the last few days...

Beregon seemed to be writing a note and then folded it up and picked a flower. She watched a little longer and then stepped out from behind the tree, hoping he wouldn't disappear and that he was really there.

"Beregon?" she called quietly sounding hopeful and scared at the same time.