Milandes, à l'horizon de l'enfer
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Milandes, à l'horizon de l'enfer

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 Histoires du passé

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Sylvain
TiPat
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MessageSujet: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeLun 21 Jan - 13:08

Terres des Milandes
Village de Balia, région d`Harmut
Il y a 10 ans

La jeune femme, qui n`avait probablement pas plus de 18 ans, attendait impatiemment l`arrivé de son jeune époux. Il avait quitté au début de la matiné et la jeune femme imaginait qu`il était probablement parti chercher auprès des cultivateurs pour tenter d`avoir un peu de travail. Habituellement il ne prenait pas autant de temps. Assit sur une petite
chaisse bercante, la jeune femme frottait son ventre. Elle ne savait pas vraiment comment elle allait l`annoncer à son mari, la déesse de la fertilité avait vraiment mal choisit le temps pour lui donner un enfant. Quelque chose se passait à l`extérieur. On pouvait entendre beaucoup de cri et d`exclamations de joie. Lorsqu`elle entendu un mot en particulier, la jeune femme se leva aussitôt pour aller voir à la fenêtre.

Ayant complètement oublié le retard de son époux, elle regardait avec admiration une guerrière qui marchait dans la rue avec des tonnes de paysans la suivant. Était-ce vraiment possible? Pourquoi était-elle ici dans ce misérable village ou même les Dévoniens ne venaient que très rarement? Probablement qu`elle ne fesait que passer par ici avant une autre grande aventure? C`est à ce moment qu`elle pu voir celui qu`elle attendait depuis quelques heures. Comme à son habitude, il ne portait aucune attention à ce qui l`entourait, et il fonca directement sur la guerrière à l`extérieur. Sans même la regarder, il s`excuse et continua son chemin vers la maison. Celui-ci ne le remarqua pas, mais son épouse pu clairement voir de la fenêtre que la guerrière fixa pendant un instant le jeune homme.

C`est ainsi que Beregon entra dans sa maison, il était différent à cette époque. Tout d`abord il était beaucoup plus jeune, il semblait épuisé et surtout, il n`affichait aucun sourire. Très sèchement il embrasse sur la joue sa jeune femme pour ensuite disparaitre dans la chambre.

-Lydia : Beregon? Beregon? Sais tu, qui tu as croisé comme ca dans la rue? C`était elle Beregon! La grande Wulf!!

La jeune femme était tout excitée à l`idée, mais Beregon lui semblait s`en foutre totalement. C`est alors que Lydia remarqua quelque chose de nouveau sur son époux. Elle ne comprenait pas vraiment, mais celui-ci portait la tunique Devonnienne. Cependant, après une grande respiration, elle comprit.

-Lydia : Tu ne peux pas…il doit y avoir un autre moyen…

-Beregon : Tu sais très bien que non. Il n`y a plus de travail ici et tu le sais très bien. Les terres de milandes sont impossible à cultiver et personne ne cherche à perdre le peu qu`il possède. D`après les renseignements que j`ai recu, ca ne sera pas long ma belle.

Il s`avanca pour la prendre dans ses bras. Elle n`hésita pas un instant à l`approche de son mari.

-Beregon : Je vais t`écrire le plus souvent possible. Après un an je vais pouvoir revenir ici. Je vais surtout m`organiser pour que tu recoives toute l`argent nécéssaire pour vivre. Malheureusement, l`armée quitte dans quelques heures et je dois partir immédiatement pour recevoir mon équipement. Je ne voulais absolument pas en venir à ceci, mais tu sais très bien que je n`ai plus d`autres solutions….je vais revenir, je te l`assure.

Il embrassa sa femme pour la dernière fois et s`éloigna lentement. Lydia s`empressa d`aller dans le cadre de porte pour lui crier la nouvelle qu`elle voulait lui annoncer, mais les cris causés par la présence de Wulf empêcha Beregon d`entendre correctement et il se contenta de répondre qu`il l`aimait lui aussi.

-Lydia(se disant à elle-même tout en caressa son ventre) : Non Beregon, tu vas être père…


Dernière édition par TiPaT le Mar 16 Nov - 15:12, édité 1 fois
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Sylvain
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeMer 23 Jan - 8:24

Les premiers rayons du soleil persèrent l'horison et au moment où enfin il commençait à sentir la douce chaleur le réchauffer on pénétra dans sa chambre.

Augustin - Éliam lèves toi. Il me faut d'autre bois pour repartir le poêle.

Éliam - Oui Monsieur.

C'était le 31 janvier de l'an 1515, jour de son 13 ième anniversaire. Mais comme chaque matin Éliam devait se lever et se mettre aux menus travaux afin de payer sa petit pension à Augustin qui l'hébergeait si gentiment. Il enfila multitude de couche de linge puis brava ce temps effroyablement froid pour aller chercher un plein traineau de bois de chauffage qui les tiendrait à aller jusqu'au soir. Il ramassa un bout de pain et sa gourde puis se mit en route pour son premier travail de la journée.

Francis était le médecin du coin. Il avait engagé Éliam pour l'aider à bâtir l'allonge qui lui servait maintenant de petit cabinet pour recevoir les malades. La curiosité mais surtout la dextérité d'Éliam l'avait beaucoup impressionné. Il lui arrivait de lui demander un coup de main avec certain cas plus compliqués qui nécessitaient assistance. Aujourd'hui on devait amputer la jambe d'un homme victime d'un grave accident au chantier.

L'opération terminée, Éliam ramassa et désinfecta la petite pièce pendant que l'homme se reposait dans une petite chambre. Une fois le tout terminé, il reçu sa petite paye puis quitta en saluant Francis. Au moment ou il passait la porte, un homme se jeta presque contre lui. Les mains en sang, il le supplia de l'aider. Rapidement Éliam aida l'homme à pénétrer chez Francis l'appellant un peu paniqué.

Francis - Mais que ce passe t-il?

L'homme - Je me suis fait attaqué, je vous en pris aidez moi.
Éliam l'aida à enlever son manteau puis Francis s'empressa d'étendre le jeune étrangé sur la table et de lui retirer sa chemise. Un bout de vivre dépassait de son estomac. Il avait forcément été frappé d'une bouteille cassée.

Francis - Encore une bagarre à l'auberge. Éliam je te pris de nous laisser. En sortant j'aimerais que tu tournes l'affiche d'"Ouvert" à "Fermé". Merci.

Éliam s'exécuta puis quitta.

Francis - A voir comment tu empestes ,ca ne me servirait à rien de te donner de l'alcool pour que tu ne sentes pas la douleur. C'est quoi ton nom jeune homme?

L'homme - Je m'appelle Bes... Je veux dire Winsthroft...
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Wulf
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeMer 23 Jan - 17:35

Elle sentait le pouls de sa victime à l'intérieur de son bras tant elle le serrait contre elle. Inspirant profondément afin de lui offrir le coup de grâce ; elle senti les vertèbres cérébrales se tordent tandis qu'elle cessa l'existence de Vuushnak, chef d'une tribu d'orcs qui ne cessait de menacer un village de la région de Harmut.

Elle laissa tomber ce corps puant et se leva pour évaluer les dégâts. Plusieurs corps d'orcs l'encerclaient, tous morts par ses mains. Derrière elle, se tenaient Melkor et Edmond. ils étaient toujours aussi surpris de la force quasi surhumaine dont elle faisait preuve en combat pour une jeune femme.

-*WUFL* Vous avez bien combattu mes frères. Allons au village afin de s'arroser le gosier.

Les deux qui voyageaient avec elle depuis 2 ans acquiescèrent et suivirent leur amie vers le village.

La jeune guerrière qui depuis déjà 7 ans parcourrait les Milandes avait déjà une réputation. Certains prêtres des Milandes voyaient en elle la réincarnation de la déesse Brigid et ils disaient ouvertement que cette jeune femme avait eu la grâce des dieux et même que du sang divin coulait en elle. De plus, les ménestrels s'inspiraient de ses nombreuses victoires contre le mal afin de composer leurs chansons .

Mais elle se considérait comme une jeune femme guerrière qui avait fuit l'inscription Dévonnienne à l'âge de 12 ans et qui avait valorisé les armes plutôt que les bonnes manières et les livres. Ce n'est que plus tard qu'elle se questionnera sur ses origines et devra faire face à sa vraie mère.

Pour l'instant elle voyageait dans les Milandes et offrait son arme en service aux villages aux prises avec une hostilité quelconque. C'est lors d'une de ces conquêtes qu'on lui vaudra le nom de Wulf.

Wulf entra dans le village où elle fut accueillie en héroïne. Les gens du village l'entouraient et la couvrirent de cris victorieux. Accompagnée de ses deux amis, Wulf traversa le village en direction de l'auberge où un festin l'attendait.

Foule: VIVAT, VIVAT

Soudainement, un des villageois la heurta et continua son chemin. Étrangement ce contact effraya Wulf et un frisson lui parcourra l'échine. Tout devin ralenti autour d'elle. Son regard le suivi jusque dans sa demeure où il disparut.

Melkor: Wulf?? ça va? quoi? tu n'as pas assez savouré ta victoire???

Wulf : Ce n'est rien... j't'assure.

Ce contact particulier ,comme si deux destinés venaient de se croiser pour une première fois, Wulf ne l'oublierait pas.
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeSam 26 Jan - 15:43

La Rochelle
Village sans nom des terres du Seigneur de la Britain
Il y a 2 ans

En plein milieu de journée, quelqu`un cogna très fort à la porte d`un modeste forgeron nommé Augustin. Celui-ci n`était pas vraiment du type à recevoir de la visite de nos jours. En fait, on n`en savait peu sur ce vieille homme qui à première vue semblait avoir beaucoup d`histoires à racconter, mais qui en réalité ne disait jamais plus qu`il ne le devait. C`est pour cette raison qu`il n`alla pas répondre au premier coup. Il espérait même que les cognements cessent. D`autres coups se fit entendre et cette fois-ci, ils semblaient fait avec beaucoup plus de force. Décidément, la personne ne c`était pas trompé de maison.

Augustin se leva péniblement de sa chaisse ou il fumait sa pipe et s`empressa d`ouvrir avant d`avoir à réparer sa porte. Sans même lui laisser le temps de parler, l`homme à la porte entra, repoussa le vieille homme et ferma brusquement la porte. Habituellement, une telle situation aurait affolée n`importe quel paysan, mais Augustin lui, resta très tranquille surtout après avoir reconnu la personne. L`homme, appuyé contre la porte, prit un grand respire, étant soulagé d`être enin à l`intérieur.

-Augustin : Tu sais que je ne suis absolument surpris de ta condition…
Par en fait, il important de mentionner que l`intrus semblait épuisé, sale et surtout blessé.

-Augustin : Pour être franc avec toi, je m`en fou énormément. Par contre, je me demande comment tu as fait pour savoir que j`étais ici?

Sans même prononcer un seul mot, l`intru se déplace vers la fenêtre tout en affichant un regard moqueur au vieille homme.

-Augustin : Question stupide j`imagine…surtout lorsqu`elle est dirigée vers un forestier.

Augustin se déplace dans la petite cuisinette pour y préparer du thé. Pendant que l`eau bouille, il en profite pour sortir des bandages de l`armoire et les lancent au forestier.

-Augustin : Les Devonniens? L`inquisition? Les sidhee? Quoique avec toi, ca ne me surprendrait pas dutout que tu ailles offensé un dieu... J`imagine que je n`ai pas à te préparer de déjeuné puisqu`on ne sera jamais que tu es passé d`ici demain matin…sacré Beregon, toujours aussi…aussi solitaire. Tu sais, un jour tu vas devoir travailler en équipe. Quand nous serons organisé, tu devras choisir ta place mon ami…que tu le veuilles ou non.

-Beregon : Organisé? Nous sommes des forestiers Hog(surment un surnom provenant du passé) pas une armée bordel! Et entre toi et moi, tu es plûtot mal placé pour parler de solitude…quoique tu as mentionné « on », ce qui implique que tu n`es plus seul?

-Augustin : Ouais, j`héberge un jeune depuis longtemps. Il est vraiment bon travaillant et…

À ce moment, quelqu`un ouvrit la porte. Beregon dégaina son épée, mais la déposa en voyant le jeune Éliam qui entrait. Lorsqu`il remarqua le forestier, celui-ci avait la tête penché et semblait enrouler des bandages autour de sa jambe droite.

-Augustin : C`est un ami, ne t`inquiète pas. Il me semble que j`ai affreusement faim pour du pain frais. Prend ces quelques pièces et va nous acheter du pain d`accord?

Éliam était affreusement curieux, mais écouta le vieille homme, prit les pièces et se dirigea vers le village. Lorsqu`il revient, il fut ordonner de ne pas déranger le voyageur qui dormait dans la troisième chambre.

Évidemment, la nature de Éliam le poussa à s`infilter dans la chambre au courant de la nuit pour inspecter les affaires du nouvel arrivant, pas nécéssairement pour le voler, mais bien pour savoir qui il était. À sa grande surprise, il n`y avait plus personne dans la chambre et ce en plein millieu de la nuit. Avait- il rêvé? Peut-être, puisqu`Augustin ne mentionna plus jamais rien par rapport à ce voyageur inconnu…
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Sylvain
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeDim 27 Jan - 18:36

La Rochelle, été 1517
Dans les bas quartier des terres des La Britain
Il y a 9 ans

Éliam avait très bien entendu l’homme à la porte parler d’un hors la loi qui aurait été vue en ville.

Augustin – Je te remercie beaucoup pour l’information. Nous resterons sur nos gardes. ‘’Clack’’(Claquement de porte qui se referme).

Augustin – Éliam… tu veux descendre un moment!

Rapidement il était remonté à sa chambre incognito et malgré l’âge de la maison, Éliam connaissait chaques planches qui grinçaient ou craquait et arrivait à se déplacer sans se faire entendre.
L’aire hypocrite il descendit.

Éliam – Que puis-je pour vous monsieur?

Augustin qui connaissait plus que trop bien le jeune homme ne pus s’empêcher d’hocher la tête et de poursuivre devant le regard surpris d’Éliam.

Augustin – Je sais très que tu as tout entendu. On dit qu’un meurtrier se serait réfugié en ville. Je te conseille de rester ici ce soir pour me protéger au cas où.

Éliam – Bien sûr monsieur.

Yeah right que le vieux a besoin de protection. Les années lui avaient permis de savoir qu’Augustin en cachait beaucoup sur son passé et qu’il pouvait très bien se défendre.
Dès qu’il fut endormis, Éliam se glissa par sa fenêtre de chambre pour se laisser glisser lentement sur le petit toit. Puis de balcon en balcon il se retrouva dans la ruelle.

Quel meilleur endroit que l’auberge pour entendre tous les ragots de la ville. Rapidement il s’y rendit. Comme il allait se glisser à l’intérieur la porte ouvrit et il se heurta à une personne qui le projeta au sol. L’une des autres personnes personnes qui suivait le ramassa par le collet le levant de terre.

L’homme – Et toi fait attention ou tu vas. Tu ne sais pas à qui tu as à faire le moucheron. Elle aurait pu t’arracher la tête d’une seule main….

Wulf – Edmond! Cesses de l’effrayer et allons-y.

Mort de trouille, Éliam fut reposé par terre et c’est dans un rire sourd qu’il pu entendre les trois personnes cachées dans leur cappe disparaître dans l’ombre de la nuit.

Après un moment il pénétra à l’intérieur où il pu entendre des hommes raconter qu’une femme qui pourchassait celui qu’on surnommait La croix renversée (il marquait ses victimes d’une croix renversée), l’avait attrapé ici même cet après midi et que les murs de la ruelle étaient maintenant peinturés en rouge lorsqu’elle le pourfandit en deux d’un seul coup d’épée.

Éliam réalisa qu’il venait problement de croiser cette femme à l’extérieur. Il s’y précipita afin de la voir mais ne pu retrouver sa trace.
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeLun 28 Jan - 0:48

Terres des Milandes
Village de Elmor, régions de Alba
Il y a 5 ans

Rare était les occasions ou Beregon se retrouvait dans la région d`Alba. Étant donné que le territoire était le plus sécuritaire des Milandes, les forestiers y avaient rarement affaire. Comme toujours, la seule raison qui poussait le rodeur à s`y présenter, était qu`il avait besoin d`un contrat pour se faire quelques pièces avant l`hivers. C`est ainsi qu`il se présenta à l`auberge du Chaudron doré. L`endroit étant évidemment pas très reconnu pour sa nourriture, mais plutôt pour sa clientèle particulièrement louche. À cet endroit, Beregon était certain de trouver du travail. Arrivé à l`intérieur, il s`installa au bar en attente de pouvoir parler avec l`aubergiste.

Aubergiste : Ouais! Toi, à voir ton accoutrement, tu es probablement venu de loin. Hahaha

Beregon resta sévèrement silencieux.

Aubergiste : MOUAIS…j`ai compris le message…alors je te sers quoi si tu es capable de me répondre?

Beregon : Un bière et du travail.

Il avait l`habitude d`avoir ce genre de réponse et c`est pour cette raison que l`aubergiste se contenta de ricanner et servir une bière au forestier. Après avoir fait patienter son client pendant plus d`une heure, l`aubergiste s`approcha de Beregon avec un livre remplit de feuilles qui dépassaient.

Aubergiste : Voila le travail que tu cherches mon gaillard. Évidemment, tu connais les règlements de l`établissement. Tu prends un contrat à la fois et tu dois te rapporter au surintendant Reinnard avec la prise…si prise il y aura hehehe.

Habituellement, le forestier ne s`attardait pas à choisir sa cible puisque qu`elle n`importait peu. Seul la récompense était nécéssaire et de toute facon il était inutile de voir autres chose que l`imagine du criminel lorsqu`on ne savait pas lire. Par contre, aujourd`hui c`était différent, le rodeur se sentait étrangement curieux et il aimait regarder les multiples dessins du livre. Il s`arrêta longtemps sur une image en particulier sans trop savoir pourquoi mais un réflex le poussa à revenir sur l`image d`avant et choisir celle-ci. Il prit l`image, laissa le livre de côté et sortit de l`établissement. Avant de quitter la ville, il allait passer chez un ami pour que celui-ci puisse lire l`information à savoir sur sa proie.

Lorsqu`il quitta l`auberge, un léger coup de vent, provoqué par l`ouverture de la porte, fit voler dans les airs l`image à laquelle Beregon c`était attardé. L`image resta dans les airs un bon moment et il était possible d`y lire le nom de Besk(Winstroft). Lorsque l`aubergiste vint pour aller la récupérer, elle avait tout simplement disparut. Celui-ci se contenta de se gratter la tête pour ensuite refermer le livre tout en le remettant à sa place habituel.

Aubergiste : Foutu forestier…
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Wulf
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeMar 29 Jan - 16:38

Il y a 7 ans
Dans une auberge underground

La foule criait son nom tandis qu ' elle tendait ses muscles en anticipant la prochaine confrontation. Ruisselante de sueur , elle se tenait là dans cette arène underground d'un certain village. Les gages virevoltaient entre les spectateurs jusqu'à ce que le cors annonçe la fin des mises.

Devant elle bavait son adversaire qui ne la quittait pas des yeux. Le prochain signal annonçait le début de la joute. Dans un bond, Wulf se rua vers l'homme à l'opposé qui tentait de son mieux de l'emprisonner dans une invincible prise. Leurs pieds glissèrent dans le sol boueux mais rien n'empêchait Wulf d'attaquer son rival à plusieurs reprises. Finalement l'homme eu la chance de se libérer et de faire tribucher Wulf tout en gardant une prise sur sa chevelure poisseuse. Wulf laissa s'échapper un grognement sur la situation et prenant l'avant bras de l'homme, elle le renversa dans la boue et appuya son genou sur la gorge du pauvre vaincu. Il n'aurait fallu de peu pour qu'elle lui coupe le souffle. Meurti par l'attaque de son adversaire, l'homme demeura vaincu sur le sol pendant que Wulf accueillait les cris en honneur de sa victoire.

Tandis que les spectateurs récoltaient leur butin ; Wulf se dirigea vers sa ''loge'', une latrine désaffectée. Pansant ses plaies, elle vit une silhouette se dresser devant elle. Les yeux bleus qui la regardaient trahissaient l'identité de l'homme. Honteuse, elle laissa glisser son regard vers le sol.

Wulf: je sais que tu crois que je me suis réduite à de simples baggares d'ivrognes pour gagner ma croûte. Mais avant que tu me reproches quoi que ce soit... J'ai l'intention de partir et de retrouver le goût des aventures. .....Dis quelque chose Winsthroft.. et que fais-tu ici et dans un endroit pareil?

Son regard demeura intense et malgré ses paroles, Wulf n'était pas surprise de le voir dans ce genre d'auberge. Elle se leva et l'étreignit sincèrement car il y avait longtemps, quelques années, qu'elle n'avait pas vu son ami d'enfance. Sans rien dire de plus, elle savait que sa réputation ne laisserait pas Winstrhoft inconito; alors elle monta à l'étage afin de prendre quelques chopines de bière et redescendit dans un coin reclu de l'arène.

Ils discutèrent longuement de leurs aventures mais tout en se gardant quelques mystères.
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeSam 22 Mar - 3:55

(bon... avec un peu beaucoup trop de retard mais bon... vaux mieux tard que jamais comme on dit)

C'était il y a environ 7 années. Encore une fois, il avait été emmêler dans une histoire qui aurait pus lui provoquer beaucoup de problème si se n'était pas de son instinct de survie si développé. Étrangement, il avait toujours réussi a se trouver la bonne cachette pour ne pas se faire prendre par les autorités qui était probablement a sa recherche. L'objectif était simple : se cacher assez longtemps pour se faire oublier.

Cette fois si, la cachette était une espèce d'auberge underground qui lui avait été référé par un contacte tout aussi louche que lui même. Le principe de ce genre d'endroit était simple. Si tu es aimé par le publique, rien de grave ne t'arrivera. "Bat toi bien, et tu gravira les échelons rapidement" qu'on lui avait dit lors de sa première "inscription".

L'homme qu'il était semblait être quelqu'un d'ordinaire. Par contre, son talent pour l'esquive ainsi que son habileté pour donner des coups particulièrement précis semblait avoir gagner l'intérêt du publique. Pendant plusieurs nuits, son nom avait été crier dans "l'arène" de cet auberge mal famé. Et tout comme on lui avait dit lors de ses début, il avait réussi a monté les marches de l'échelle de cette organisation illégal. Tout allais bien. Bientôt il allait enfin pouvoir reprendre ses activités habituelles et enfin partir de cet endroit de vices.

Pourtant, la journée même où il avait décidé de prendre sa retraite de l'arène, quelque chose qu'il n'avait pas anticipé se produisit. Le combat organiser pour la soirée mis en scène une personne qu'il n'avait pas vu depuis un bon moment. Wulf... son amie d'enfance. Celle qui avait gagnée sa réputation grâce a la force de son bras et la puissance de son épée était la, dans cette même auberge qu'elle n'aurait jamais fréquenté autrefois. Comme d'habitude, la puissante guerrière terrassa son ennemie et partie prendre un léger repos dans sa "loge". Il en profita donc pour aller la voir. Il se glissa discrètement dans la petite pièce faiblement éclairé et attendu qu'elle le vit. Quelque instant plus tard, elle le remarqua et lui dit :

Wulf: je sais que tu crois que je me suis réduite à de simples bagarres d'ivrognes pour gagner ma croûte. Mais avant que tu me reproches quoi que ce soit... J'ai l'intention de partir et de retrouver le goût des aventures. .....Dis quelque chose Winsthroft.. et que fais-tu ici et dans un endroit pareil?

C'est a se moment que Winsthroft la regarda avec un air légèrement décourager et lui répondit :

Winsthroft : Qu'est-ce que tes parents panseraient s'il te voyait faire ça... où plutôt qu'est-ce que ta mère dirait si elle te voyait?

Il était évidant qu'il ne parlait plus des parents terrestre de Wulf. Il lui fit par la suite un sourire.

Winsthroft : Toujours content de te voire et de te savoir en vie!

Les deux amis de longue date s'étreignit puis alla dans un coin reclus de l'auberge afin de discuter de leurs aventures... tout en se gardant quelques mystères...

(les deux autres histoires devraient suivre prochainement!!)
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Wulf
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeJeu 27 Mar - 10:18

Les ombres nocturnes se dressaient dans le village où Wulf s'était arrêtée. Assise sur le seuil d'une chaumière, elle mâchouillait une brindille le regard perdu dans la nuit. Un de ses compagnons de voyage avait besoin de grand soins et Melkor veillait à ce que la vieille dame, où ils étaient entrés, lui donne les meilleurs soins d'une beaten.

La grande guerrière n'avait pas le coeur à festoyer cette dernière attaque car il en aurait fallu peu pour qu'elle perde ses deux compagnons de route. Wulf sentait en elle un attachement particulier grandir envers ceux-ci, une espèce de fraternité et comme elle le savait; cette affection allait l'affaiblir. Il fallait s'en détacher...

Wulf se leva, jetta un coup d'oeil par la fenêtre et vit que ses deux amis étaient entre bonnes mains. Laissant sa main glisser sur la fenêtre, elle se détacha de l'image et finalement tourna les talons.

Sillonant d'un air absent les rues du village, Wulf crut voir un certain noble sortir de l'auberge du coin. Elle le reconnu enfin et s'en approcha:

-Monseigneur, dit-elle en s'inclinant respectueusement.

Ce dernier reconnu la guerrière de renom, la salua et poursuivit son chemin.

Lorsque Wulf se dirigea vers l'entrée, un ombre rapide la heurta.

-Hé Oh!! on regarde ou on mets le pattes!!

Avant de regagner la suite de Monseigneur, l'ombre se détourna et adressa un sourire à la guerrière. Ce n'est pas le sourire naïf, ni le bleu de ses yeux qui avait frappé Wulf mais quelque chose d'autre. La brise qui s'était levée doucement caressant la joue de Wulf confirmait dans son murmure qu'elle recroiserait ce jeune homme.
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeSam 26 Juil - 15:14

Désert de Sahira
Village de Thakir, à quelques kilomêtres de la Ville Sainte
1520, il y a 6 ans

Il est dit que le passé nous rattrape toujours un jour ou l`autre. Je dois admettre que c`est vraiment le dernier de mes soucis présentement. Depuis déjà 4 ans que je fais la guerre à des gens que je ne connais même pas pour un peuple que je ne respect même pas. Comme plusieurs jeunes milandiens, j`ai été forcé à participer à cette guerre, mais une énorme différence existe entre tous les autres et moi. Je vais vivre. Au début je n`étais pas fier de faire ce que nous fesons, mais après un moment, on vient à accepter les ordres et surtout à ne plus s`en faire. Il faut croire que c`est la première étape avant de devenir un monstre. Prenez par exemple, je suis présentement au centre d`un endroit qui était, il y a quelques heures, un village remplit de gens. En seulement quelques heures, la majorité des hommes du village ont été tués et les survivants sont maintenant prisonnier avec les femmes et les enfants. Mon commandant, aussi Dévonien qu`il est, vient tout juste de m`ordonner de bruler le village et principalement ce petit temple que je fixe. Si vous entendez des cris, ne vous affolez pas, c`est normal. Ce qui reste du village est à l`intérieur de ce temple.

Pour souligner sa victoire, le commandant en question m`a donné le grade de caporal. Aujourd`hui, je vient d`assurer mon départ de cette armée dans peu de temps. Aujourd’ hui, je vais perdre mon âme.

-Soldat : Caporal? Caporal? Que devons nous faire maintenant?

-Beregon : Vous avez entendu le commandant, brulez tout. Commencez par le temple.

-Soldat : À..à vos ordres caporal…

-Beregon à lui-même : C`est fait, je suis maudit.

Il est dit qu`après le massacre du village de Thakir, une force surprenante d`homme du désert pourchassèrent les soldats dévoniens, qui avaient été prit dans une tempète de sable à leur retour à la Ville Sainte. Aucun soldat de cette cohorte n`a jamais remit les pieds dans la ville sainte…
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Kirill
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeMar 29 Juil - 16:35

Terre de Millandes
Alba,
En 1521


Arriver a destination un jeune chevalier devonnien et sont unité ce dirigaire vers une petite maison isolé au fond du village. L'épée a la main le chevalier donnas l'orde a ces soldats d'encercler la maison et de laisser personne entrer et encore moin sortire, ensuite il pris la parole:

- Chevalier: Soldat Holygton veuille sortire de la maison sur le champ, si-non nous y meteron le feu ....

Apres quelques minute a attendre le chevalier levas la main et deux des ces soldats allumairent leur torches et ce dirigairent lentemant vers la maison.

Soudainement un homme sortie de la maison avec les mains bien en vue pour montré qu'il n'étais pas armé et il prie la parole:

- Que me voulez-vous ? Toi chevalier, mon cousin dit moi ce que tu me veut ....

- Chevalier: Je suis ici pour fair un exemple de toi cousin, tu n'aurais jamais due déserter l'armée. Il te restais que quelque mois a servire ton pays.

- Homme de la maison: Alors, tu est la pour mon exécution. L'armée as le culot d'envoyer un membre de ma famille pour m'exécuter ?

- Chevalier : Et oui je suis celui qui mettras fin a tes jours cousin.

Les soldats prire l'homme de la maison lui atachaire les mains et les pieds. L'homme ce mie a genou pour fair face a sont destin. Le chevalier sortie une dague de sont sac, ordonnas au pretre de donner les derniers sacremant au déserteure .... Pendant les dernier sacremants les soldat baricadaire la maison .

- L'homme de la mainson: Pourquoi ? Non !!! Ma femme, mes enfants laisser les sortire ....

Le chevalier déposas ca main sur l'épaule de le l'homme en question et lui dit a l'oreil:

- Chevalier: Je te les dit mon cousin, je doit fair un exemple de toi comme ca les déserteure y penseront plus d'une fois avant de déserter ...

Les soldats ont lancer les torche sur le tois de la maison, une petite maison de bois sec et avec un toit en pailles de réssisterais pas longtemps aux flames. Ont entandais les cries de la femmes et de ces enfants mais ce fue asser cours car le crie du pere étais beuacoup plus intensse.

Les derniers sacremants étais terminé et il ne restais presque plus rien de la maison. Le chevalier mie ca dague a la gorge de l'homme et l'homme lui crachas au visage ...

- L'homme de la maison: Kirill !!! Maudit chien .... je te reverais en enfer cousin et je ferais de ton éternité un vrai cauchemar !!!!

Le chevalier lui tranchas la gorge et le regardas dans les yeux, il le regardas ce noyer dans sont sang .....


- Chevalier dit: A bientot mon frere ....

Ensuite le chevalier donnas l'orde de bruler le corp et fair les préparatifes pour le voyage vers la ville sainte de Brugasti.
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Lionel
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeJeu 31 Juil - 19:24

LaRochelle
Dans une crypte 100 mètre sous terre dans le cimetière de St-Longvalon
Il y a trois ans.

L'homme en armure doré qui ne brillait plus dutout avec une aura d'une noirceur d'ébène, éssouflé de tout ses dents pointus, perdait patience devant son cadet:

- Bat-toi, bat-toi Lionel, héro du peuple de LaRochelle, prouve à ta bien-aimée que c'est bien toi le meilleur comme tout le monde le dit si haut. Sort Justice de son fourreau et affronte moi comme un homme si tu es si bon et fort! Tue moi et remporte celle que tu aimes, montre-lui que tu la mérite mieux que moi.

Crachant une bave épaisse à chaque hurlement de l'ainé, le paladin enragé tenait une jeune femme inconsciente, flottant dans sa robe blanche légère dans les bras armuré de son ravisseur. Le paladin devant lui, celui-ci en armure argent et rouge, toujours brillante d'espoir, refusait de tirer son arme. À genouillé devant l'autre géant, essayant de le résonné, sa voix se faisait moins convainquante:

- Je ne pourrai jamais me battre avec toi mon frère. Je ne ferai jamais verser le sang qui est le même que moi. Maintenant pose la. Même si c'est la parole des autres, je ne suis pas plus fort que toi, elle ne ma pas choisi à cause de ça. Personne ne peut décider en quel direction envoyer son amour, s'il-te-plait, prend moi et laisse la partir. Que Justice en soit témoin je ne verserer point de sang aujourd'hui. Laisse tomber cette histoire et laisse la, je t'en suppli maintenant.

Sur le point de craquer, le frère benjamin perdait patience:

- Tu oses refuser un duel, dans un lieu même sacré de Valedens!? Quel honte, et tu oses te prononcer Paladin? Quel honte! Si seulement elle pouvait voir à quel lâche elle c'était attaché! Aller! Affronte-moi!!!

Lionel sortit son épée, et la leva bien droite devant lui. L'autre sourrit moqueusement et sortit la sienne. Le premier prit un élant de son bras vers la droite et lança son épée au coin de la crypte.

- Donne-moi la, elle doit être guérit. Tu n'aurais pas voulu qu'elle te sache comme ca, elle t'aimait, tu le sais, mais plutôt comme un ami, un frère.

Le géant hurla douloureusement, il lacha la femme qui s'éffondra par-terre sur le ventre. Il perca le bras de corp sans conscience de son épée qui forma aussitot une tache noir sur le membre.

- Nooon! hurla Lionel qui se jeta tout suite sur sa douce. Mais qu'à tu fais!?

- Elle dort maintenant, éternellement! Tu regretera le jour ou tu a refusé se duel aux yeux de Valédens et échoua à ta bien-aimée, que le Père en soit témoin! Je t'attenderai pour se duel, je n'oublirai jamais!

Le géant disparu dans l'ombre tandis que lionel tenait le corps inerte dans ses bras, des larmes percant ses yeux ruisselant sur la robe blanche. Son armure se volatilisa en eau, de même qu'en poussière son status de paladin au même moment ou il était maintenant déchu.
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Wulf
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeVen 1 Aoû - 1:46

Dans les Milandes
Wulf à 8ans

Déjà huit printemps s’étaient écoulés et leur déesse veillait toujours sur leur fille adoptive. Jamie et Léa étaient deux guerriers fidèles disciples de Brigid, et ne pouvant pas avoir d’enfants, elle leur avait laissé sous leur surveillance sa propre fille : Kaerian.
Une jeune fille aventuriere, téméraire mais à la fois sensible et aimable. Malgré son fort caractère, elle dégageait un esprit de joie de vivre et un esprit curieux même coquin. Elle était redoutable et adorable.

Les raisons qui ont poussées Brigid à faire ce cadeau reste encore dans le secret des dieux mais ça c’est une autre histoire.
Dans les Milandes les enfants sont très précieux. Il est bien connu qu'un mauvais Sidhee pourrait les enlever à tout moment. Il arrive souvent qu'un Sidhee enlève un enfant humain dans son propre berceau et y laisse une créature déplorable masquée d'un enchantement. Dans ces cas, il se passe des jours avant que les parents ne se rendent compte de l'enlèvement de leur petit, trop tard pour faire quoi que ce soit.
Rien ne les avait préparés à cette nuit là.
Pourtant ce soir là, Jamie et Léa avaient laissé sur le perron de leur maison un petit bol de lait en guise d’offrande à la nature. Ensuite, le couple s’était joint dans la chambre de leur fille ,Kaerian, qui dormait paisiblement, et en silence ils l’embrassèrent et firent une courte prière à Brigid la remerciant pour cette jeune fille.

Kaerian se réveilla plus tard dans la nuit lorsqu’elle vit une ombre bouger. Sans bruit, elle retira sa dague sous son oreiller et attendit l’intrus de main ferme. Le Sidhee qui s’était infiltré n’avait aucune idée à qui il avait à faire.

Contrairement aux autres jeunes de son âge, Kaerian fuyait les classes pour se joindre aux entraînements au combat des enfants plus vieux. Même à son âge, elle maîtrisait habilement les armes blanches faisant preuve d’une agilité surnaturelle au combat.

C’est alors que sans avertissement, elle bondit hors du lit et attaqua son agresseur. Celui-ci, surpris par une enfant armée, fut mortellement blessé. Lorsque Kaerian vit le corps inerte du Sidhee, elle laissa tombé son arme et s’enfuit par la fenêtre laissant derrière elle ses parents arrivés en trombe dans la chambre.
Rien ne l’avait préparé à voir de ses yeux d’enfant un mort, encore moins un qui avait succombé à son attaque. Les mannequins des lieux d’entraînement n’avait pas ce regard morbide lorsqu’on les frappait. KAerian, n’avait cessé de marcher toute la nuit jusqu’à ce qu’elle s’étende sur un lit de mousse dans la forêt voisine.
Curieusement, elle n’avait pas eu froid cette nuit là car une louve, couchée à ses côtés veillait sur elle.


Dernière édition par Wulf le Mar 5 Aoû - 12:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeMar 5 Aoû - 9:15

Milandes

La jeune fille parveint à se nourrir de la forêt comme lui avait enseigné sa mère. Il lui arrivait parfois d'entrer au village voisin afin d'offrir ses services pour un bol de soupe ou un morceau de pain. Revusant le gîte, elle retournait fidèlement à la tannière où la louve la rejoignait chaque soir pour la tenir au chaud.

Au fils des jours, Kaerian sombrait et laissait place à une jeune fille endurcie par son mode de survie. Laissant derrière elle ses parents, elle entreprit de voyager dans les terres des Milandes. La jeune fille offrait ses services dans les auberges à nettoyer les chambres, laver la vaisselle voir même vider les pots de chambre et crachoirs. Il suffisait qu'un homme lève la main sur elle ou qu'il tente de profiter de son innocence qu'elle bondissait telle une louve et attaquait sans crainte son agresseur. Celui-ci ,souvent ivre, lachait prise et repoussait l'enfant avant de la quitter sans qu'elle lui ait donné quelques blessures en souvenir.

Les voyageurs commencèrent à reconnaître dans les différentes auberges, cette jeune fille au tempérement explosif et qui savait se défendre de façon impressionnante. Ceux qui avaient aperçu la fillette en forêt racontait qu'elle voyageait avec un loup et que celui-ci était son maître. L'on commençait à redouter cette fillette, les ménestrels s'amusait à raconter son histoire afin d'avertir les voyageurs des Milandes.

-Si vous voyagez par chez nous
-Méfiez -vous de l'enfant-loup
-Innoncente, elle vous parraît
-mais la mort elle vous donnerait....

Une nuit, Kaerian pleurait seule dans la forêt sachant qu'elle devait camoufler ses sentiments de peur, de désolation pour faire place à un courage et une détermination ferme. Elle se berçait doucement pour consoler ses blessures intérieures et mis en sécurité tout son être: Kaerian. Depuis plus d'un an, la fillette voyageait dans les Milandes gagnant sa croûte afin de se payer des repas et peut-être même quelques leçons et entraînement d'escrime.

Les mois passèrent et la jeune fille leva un mur de protection où personne ne pouvait réellement lui faire de mal et devant Brigid, la déesse que priait ses parents, elle jura de ne plus être cette fille, Kaerian mais d'errer sur ce monde comme Wulf, le nom que les ménestrels, aubergiste et voyageurs lui avaient donné.
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeDim 5 Oct - 17:41

Désert de Sahira
Lieu indéfini dans le désert
1520, il y a 6 ans
Il est dit qu`après le massacre du village de Thakir, une force surprenante d`homme du désert pourchassèrent les soldats dévoniens, qui avaient été prit dans une tempète de sable à leur retour à la Ville Sainte. Aucun soldat de cette cohorte n`a jamais remit les pieds dans la ville sainte…

Tout était encore très flou dans sa tête, mais c`était quand même une bonne nouvelle, puisque ca signifiait qu`il était toujours vivant. D`accord, il était enchainé dans ce qui semblait être une caverne, mais au moins il respirait encore. Sa vision prit un certain temps à se rétablir mais il pu enfin voir ce qui l`entourait. La scène n`était pas nécessairement très belle. Tout autour, il y avait des tonnes de morceaux humains et quelques corps complet. Il pu reconnaitre certain des soldats qui étaient avec lui à Thakir. À ses côtés il y avait un autre homme attaché. Celui-ci par contre était ce que les dévonniens appelent un infidèle. Il était toujours inconscient.

Probablement qu`après la défaite des dévoniens au mains des Sahiriens, quelqu`un ou quelque chose avait fouillé le champ de bataille afin d`y apporter les restants...de nourriture.

Bien qu`il essayait de toute ses forces à se détacher, il n`y avait aucun résultat. La chose qui l`avait attaché était experte en la matière. Alors il fixa le Sahirien, mais celui-ci était toujours dans l`inconscience. Il se résigna donc à faire la seule chose qui était possible pour le moment.
Attendre…
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeDim 5 Oct - 19:59

Désert de Sahira
Lieu indéfini dans le désert
1520, il y a 6 ans

Beregon se réveilla en sursaut. Tout ce qu`il pouvait se remémorer était une énorme machoire le mordre du côté droit. Et par la suite c`était le vide, sans aucuns rêves. Il était maintenant couché tout prêt d`un petit feu. Le Sahirien était encore présent. Cette fois-ci par contre il était conscient. Beregon se rappela alors les derniers jours. Avec beaucoup de patience, il avait attendu dans cette caverne, le bon moment pour attaquer la créature qui les avaient capturé lui et l`inconnu. Son plan avec pratiquement fonctionné jusqu`à ce qu`il tombe pratiquement mort. Probablement que le Sahiriens avait terminé le travail et c`était occupé de Beregon depuis. Mais pourquoi? Celui-ci était quand même un des soldats Dévoniens qui avaient détruit beaucoup de villages dans les derniers mois.

Péniblement il parvint à s`assoire. Aussitôt le Sahirien lui tendit de la nourriture. Elle était médiocre mais c`était de la nourriture. Le sahiriens lui dit quelques mots d`une langue étrangère, mais Beregon n`y porta pas attention. Il se contenta plutôt de prendre la nourriture et de saluer de la tête. Pourquoi était-il encore vivant?

-Beregon : Mon nom est Beregon…(tout en se pointant) Beregon.

L`homme afficha alors un petit sourire face au soldat dévonien.

-Le Sahirien : Al Assad

Les deux hommes restèrent alors silencieux jusqu`au lendemain.
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeMar 7 Oct - 22:02

Désert de Sahira
Lieu indéfini dans le désert
1520, il y a 6 ans

Cela fesait plus d`une semaine que les deux hommes voyageaient ensemble. En fait, Beregon aurait probablement prit la première occasion pour quitter, mais il avait malheureusement la jambe droite brisé. Le sahirien nommé Al Assad aurait pu facilement se débarasser de lui, mais il semblait acharné à le protéger et l`apporter avec lui.

Ce n`est qu`après cette semaine infernale qu`ils arrivèrent enfin à un petit village. Cependant, le village était désert, même qu`il était complètement détruit. Décidément, des Dévoniens avaient passés ici. Al Assad s`empressa alors de fouiller les vestiges afin de trouver des rations ou de pansements. Pendant ce temps, Beregon, qui pouvait à peine marché, regardait le village. Ce n`était pas un de ceux que sa compagnie avait attaqué, mais il pouvait quand même sentir la honte monter en lui. Après tout ce temps, il réalisait enfin ce qu`il avait fait depuis les dernières années. Il avait vendu son âme à une cause diabolique. Il ne pu empêcher les larmes lorsqu`il trouva les restants d`un enfant mort aux mains des Dévoniens. Bizarrement, l`enfant tenait fermement quelque chose dans l`une de ses mains. Après avoir prit soin de respecter le mort, Beregon empoigna ce que l`enfant tenait.

C`était un pandentif doré. Plus précisément, c`était un outil que les marin et explorateurs utilisaient afin de se guider grâce aux étoilles. Pourquoi l`enfant avait un tel objet, Beregon ne le saurait jamais. Cependant, il réalisa à ce moment le signe qu`il venait d`avoir. Tout comme les marins, le forestier était perdu intérieurement et à ce moment précis, il venait de recevoir un signe frappant. Il ne devait pas retourner vers les campements de l`armée. Il devait profiter de sa "mort" pour quitter. Fuire jusqu`au bout du monde s`il le devait. Et c`est exactement ce qui se passa.

Lorsqu`Al Assad revint avec des provisions, Beregon ne bougea pas d`un poil. Il ne savait pas vraiment comment expliquer à son nouvel ami, mais il ne le suivrait plus, peu importe ou il allait. Par contre, le sahirien n`eu qu`une seule réaction à cette situation. Il souria à Beregon, déposa quelques rations aux pieds du forestier et le salua à la manière sahirienne. Aux yeux de Beregon, ce Sahirien était vraiment un don de dieu. Sans même rien demandé, il l`avait guérit, nourit et trainé pendant plusieurs jours. Et tout ca, en sachant très bien que Beregon était un ennemi de son peuple. Était-ce le vrai visage du dieu créateur? Aider son prochain sans rien demander? Peu importe! Cette remise en question divinne devrait attendre à d`autres jours. Beregon avait encore un désert à franchir...
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeMer 8 Oct - 0:11

Terres des Milandes
Village de Belia, région d`Harmut
Il y a 5 ans

Téodore en avait vraiment marre de toujours devoir préparer les mêmes choses pour le même monde. Depuis longtemps il espérait pouvoir ouvrir sa propre forge, avec ses propres règles. Comme il n`était pas du genre à se plaindre, il attendait patiemment son tour depuis 5 ans. Depuis qu`il avait rencontré Lydia, tout allait si bien qu`il ne pouvait pas vraiment trouver de raisons à se plaindre. Un jour, il aurait sa propre forge et il pourrait aider beaucoup plus à sa petite famille. Heureusement que Lydia recevait de l`argent de son grand père qui vivait plus au nord. Avec cette argent le couple pouvait assurer le bien-être de leurs enfants.

Après une grosse journée de travail, Téodore décida de s`arrêter à l`auberge du village afin d`y acheter un peu de viande pour la semaine. En plus d`être une auberge, il était aussi possible d`y acheter de la nourriture à bas prix. Lorsqu`il entra, son regard se tourna aussitôt vers un étranger. Depuis le départ des Dévonniens, il fallait dire que les étrangers se fesaient très rare. Bien qu`il était comme tout les autres, celui-ci semblait famillier. Étrangement, l`étranger regardait lui aussi en direction de Téodore, comme s`il le connaissait. La curiosité prit alors le dessus.

-Téo: On se connait?

-L`étranger: Non...

C`est alors que l`aubergiste expliqua à Téo que l`inconnu était un forestier des milandes. Du genre à ne pas aimer se faire déranger. Il ne fallait que le laisser tranquille et il allait partir par lui-même.

Plutard dans la soirée, Téo était revenu chez lui auprès de sa petite famille et la présence de l`inconnu le tracassait toujours. Il en parla donc à son épouse. Au début elle ne porta pas une grande attention et préféra dire que ce n`était qu`un étranger parmis tant d`autres. Cependant, Téo piqua la curiosité de sa femme lorsqu`il expliqua qu`il semblait avoir vu cet étranger à quelque part.

-Lydia: Ah bon? Il t`a donné son nom peut-être?

-Téo: Non, mais son attitude m`a rappelé quelqu`un...Il était beaucoup trop calme et il me regardait sans parler comme s`il analysait mes moindres gestes...un peu comme...

Tout en tentant de dissimuler son stresse, Lydia se leva afin de laver un peu de vaisselle. Elle espérait de tout son coeur qu`il ne prononcerait pas un nom en particulier.

-Téo: Je crois que c`...que c`était Beregon.

Lydia échappa une tasse à la mention de ce nom. Était-il revenu déjà? Voulait-il se venger? Ou était-il revenu pour elle. Elle ne ramassa pas la tasse mais son contenta plutôt de fixer un enfant qui était assit tout prêt du feu. Contrairement à son petit frère qui jouait encore, la jeune fille fixait les flammes et elle semblait être perdue dans ses rêves. Puis, elle regarda sa mère qui était complètement figée. L`enfant ne pu s`empêcher d`offrir un grand sourire à sa maman.

-Lydia se chuchotant à elle-même: Tu ressembles tellement à ton père...malheureusement pour toi...

(C`est le dernier je vous le jure!!! Je n`ai juste pas grand chose à faire dernièrement et je m`occupe en écrivant un peu sur mon personnage.)


Dernière édition par TiPaT le Mar 16 Nov - 15:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Histoires du passé   Histoires du passé Icon_minitimeMer 21 Jan - 1:41

1524
Quelque part dans les Milandes.

Richard n`aimait pas vraiment l`idée de quitter les milandes pour Larochelle, mais son épouse avait raison en disant que Larochelle était un bien meilleur endroit pour élever un enfant. Puisque son épouse dormait, l`homme ne profitait pour observer la nature qui défillait devant lui. C`était la première fois qu`il faisait appel à une caravane pour le transporter, et il devait avouer que le voyage était beaucoup plus amusant ainsi. Ordinairement, son épouse et lui auraient voyagés à cheval, mais avec l`enfant qui arriverait bientôt, il était quelque peu risqué d`embarquer sur un cheval. De plus, il y avait quelques hommes en surplus pour les protéger, des mercenaires engagés au dernier village.

Tout allait bien jusqu`à ce que la caravane décide de s`arrêter sans avertissement, réveillant ainsi la femme qui dormait paisiblement. Inquiet, Richard fit signe à son épouse de rester à l`intérieur pendant qu`il allait vérifier. Sans même avoir la chance de sortir la tête, l`homme fut propulser à l`extérieur par un inconnu. Il aurait voulu réagir, mais la pointe d`une épée l`empêchait de prendre une décision irréfléchit.

-Richard : Mais..mais…nous ne sommes que de simples voyageurs!!

Il remarqua alors que les mercenaires qu`il avait engagé, l`avaient trahit et avaient tué l`esclave qui conduisait la caravane. Son sort aurait probablement été le même sans l`apparition soudaine d`une flèche en plein crane de son attaquant. Un archer bien caché venait d`attaquer les mercenaires.
La confusion prit le contrôle de la situation et les mercenaires se préparaient au pire. Sans avertissement, une autre flèche vint se loger dans le torse d`un autre mercenaire. Ceux-ci, maintenant réduit au nombre de trois décidèrent de tout simplement s`enfuir.

Richard resta complètement figé par la scène. Au loin il pu voir les trois fuyards tenter de combattre un inconnu, qui se débarassa très rapidement des mercenaires. Puis, il n`y avait plus personne sur le chemin.

Toujours en train de tenter d`accepter ce qui venait de se produire, l`homme se releva pour s`assurer que son épouse était saine et sauf. Avant même de pouvoir vérifier, l`inconnu l`attrapa par le collet pour l`accoter sur la caravane. Ne sachant pas s`il devait le remercier ou l`attaquer, Richard reste calme et afficha un regard d`incertitude face à l`autre homme. Celui-ci se contenta de tout simplement arracher la bourse de Richard pour ensuite le relacher. Silencieusement, l`inconnu continua sa route dans la forêt.

Dans un élan de frustration, Richard ne pu s`empêcher de crier à l`inconnu.

-Richard : Nous ne recherchons que la sainte paix espèce de voleur!!

Calmement, l`inconnu se retourna pour répondre.

-Beregon : La paix n`existe pas dans ce monde. Et elle n`existe surtout pas pour personne…félicitation pour votre enfant…
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