Un brin de répit...

Aprés avoir quitté fort Espérence, le groupe de prisionnier avait rencontré quelques centaines de mort-vivants sur leur route.
A bout de souffle et blessé, Éliam regarda derrière et commença à penser retourner au cimetière ou au fort pour se soigner. Les prêtres et prêtresse n'ayant pratuqiment plus de pouvoir, les guerriers commençait à tomber un après l'autre. Mais Lughen l'agrippa et lui ordonna de reprendre les rangs et le voyant blessé le traina à un arbre puis lui en transmis une partie de son essence pour le remettre sur pied.

Voyant que même Marie-Isabeau se tenait toujours au front à crier, il se releva et retourna à ses côtés pour la protéger. Puis Beregon tomba et après l'avoir ramené dans les rangs pour être soigné, il vit Domino tomber à son tour. Il la tira hors des coups et commança vraiment à perdre espoir de passer au travers.
Mais certaines personnes n'avaient vraisemblablement pas l'intention de rester là sans rien faire. Torek, malgré les deux jambes brisées, se mit à ramper pour faire avancer le groupe. Éliam ramassa Domino puis se mit à avancer à son tour. Peut de temps après ils se rendirent compte qu'enfin les undeads ne les suivaient plus.

Éliam se mit aussitôt à regarder tout autour de lui afin de s'assurer que tout le monde y était. Mais se rendit bien vite compte que Nienna et Sir François manquaient. Nienna était surement dans un arbre non loin mais Sir François?.

Éliam déposa Domino parmis les autres blessés puis regardant Wulf il retourna en arrière suivi de cette dernière qui avait compris son inquiétude. Ils le trouvèrent heureusement non loin mais malheureusement dans un fâcheux état. Ils le ramenèrent rapidement parmis le groupe où les prêtresses le prirent en charge. Il remercia sincèrement Wulf qui comme à son habitude n'en fit pas de cas et retourna en avant alors que la colonne poursuivit son chemin ne voulant aucunement attendre une nouvelle vague d'attaque.

Éliam retourna auprès de Domino puis l'intalla confortablement sur son dos puis repris la route.

- Tu sais que tu es vraiment étonnante! Je dois avouer que tu m'a vraiment donné la chienne lorsque je t'ai vu aller repousser ceux qui nous suivait toute seul. Tu as vraiment des nerds et ne cesse de me surprendre à chaque jour. Tu es tout un phénomène.

- Où premièrement as-tu apprise à te battre comme ça. Et qu'est-ce qui te pousse à braver la mort ainsi?

- Ca va la jambe?

Elle avait tenu le front de l'attaque avec Soeur Marie-Isabeau blessée et suspendue à son bras. Elle ne cessa de l'encourager à crier aux Zombies afin de les repousser.

La magie de Lughan avait su lui redonner la force pour poursuivre et frayer un chemin parmi les zombies et de retourner au combat: là où elle devait être.

Lorsqu'ils réussirent à éliminer les ennemis et quitter cet endroit, Éliam lui jeta un regard inquiet. Rapidement, Wulf fit le décompte de la meute et il y étaient tous, mais elle compris qu'il y avait d'Autres voyageurs qui manquaient à l'appel. Sans poser de questions, elle le suivit afin de ramener Sir François et Nienna.

À leur retour, Éliam la remercia rapidement et semblait pressé de regagner Domino. Wulf demeura là, mais cette fois aucune réplique désobligeante semblait sortir.

Visiblement blessée, il avait quand même mis Wulf de côté, il savait probablement qu'elle ignorerait toutes blessures et refuserait ses soins. Elle observa comment attentionné il était lorsqu'il prodigait ses soins, comment il était à l'aise dans cette tâche. Wulf le vit pour vrai à ce moment: il était beau Éliam. Il était différent, il était devenu maître dans ses diciplines, il avait changé depuis qu'elle l'avait rencontré depuis qu'elle avait acheter sa liberté et c'était bien comme ça...

Éliam passa devant Wulf chargé de la belle Domino sur son dos, incapable de parler la guerrière fut tirer de la scène comme si quelqu'un avait voulu éviter une facheuse remarque.

Deux mains solides et chaudes lui empoignèrent la taille, Garan l'enveloppa de sa cape et la tira loin des regards et surtout loin derriere Éliam. Elle senti son souffle se poser sur ses blessures, sur ses mains et dans son cou et lentement il dessera l'armure de la guerriere meurtie, la lui retira en prenant soin de caresser ses épaules. Son regard était si attentionné sur ces gestes quasi cérémoniaux, son attention si pur et ses yeux si bleus . Il la manipulait comme une fleur fragile et Wulf toujours en combat n'avait jamais été pris de telle manière. Pourtant , elle avait rêvé d'un tel moment mais jamais elle avait osé le laisser la manipuler ainsi ; c'Est pourquoi qu'elle évitait ses soins et c'est peut-être cette peur qui allait le repousser loin d'elle. Incapable de se laisser apprivoiser par les tendresses du guerrier, elle tenta de le repousser vers les autres qui avaient aussi besoin d'aide.

Wulf: Merci...Va Garan.. d'autres ont besoin de toi.

Garan hésitant mais comprenant l'urgence de certains voyageurs plus blessé, il laissa la guerriere marcher derrièere.

La ligne n’avançait pas, tant de morts-vivants, tant de blessés, la chaîne de la passe se faisait abattre à l’avant et à l’arrière. Maintes fois Torek était tombé au combat maintes fois dût à des blessures aux jambes, m ais retournais au front constamment. N’ayant plus de guérison, il s’était traîné le long du chemin au devant des troupes de la chaîne pour les forcer à avancer… si un homme sans jambe rampe à sa perte face aux damnés… tout le monde le suivrait sûrement. Dieu qu’il fût content lorsque Garan le pris sur son épaule pour le transporter un brin.

Finalement, après une heure de marche, les morts-vivants semblèrent lâcher poursuite, ils prirent donc tous un moment de répit pour guérir les blessés. Torek, maintenant accoté à un arbre, était laissé seul le temps que les guérisseurs se rendent à lui.

Il réfléchissait …

La Chaîne de Meurtriers était maintenant La Chaîne de la Passe. Je suis maintenant Sergent, à contrecœur, mais personne d’autre n’osait crier les ordres, aller au devant de tous. Ce n’est pas mon boulot, je ne suis pas militaire… pourquoi? Et cet objet Eldar maudit, les morts-vivants qui veulent ma peau... me voila dans toute une merde... vous auriez pu me donner le choix non?

Toujours est-il que je fus surpris de voir qui était au front à mes cotés… Toppanga, Wulf, Terry… j’aurais jamais cru voir de femmes aussi fortes de caractère. Je savais que Wulf était une guerrière reconnue comme redoutable, et fille de Brigid… mais avant aujourd’hui les preuves étaient minces. Les gens disent aussi que Toppanga est comme une « mini-wulf » .. Est-ce un compliment ou une insulte… et Terry, dont on connaît si peu.

« Mais pourquoi je ne pense qu’au femmes? Eh merde!! Tirvor à déteint sur moi ou quoi? Et pourquoi donc maintenant… c’est pas le temps. Il y a tellement de choses à accomplir je ne peux quand même pas me compliquer la vie avec ces idées. Et en plus je me parle seul… ah bravo. »

Il regarda en direction des autres, croyant que si ils s’appuyaient sur lui en confiance… le jour viendrait ou il ne serait plus à la hauteur. Cherchant les visages il repensa encore aux femmes fortes de la chaîne, aux ego et aux secrets, attendant que l’on guérisse ses jambes, qu’il puisse disparaître dans les ombres une fois de plus, pour éviter leur regards.

Le combat pour quitter le fort Persévérance avait été très brutal et surtout très dévastateur pour les troupes. Beregon se sentait de plus en plus mal en réalisant qu`il n`était pas tout aussi utile à cause de son livre. À tout moment durant le combat, il devait penser à cacher le livre pour ensuite retourner sur la ligne. Il avait donc opté pour la technique de rester dans les bois et d`attaquer les troupes de morts-vivants qui arrivaient par les côtés du chemin. Malheureusement, il ne pu aider très longtemps lorsqu`un des morts-vivants eu le dessu sur le forestier. De nul part, une prêtresse inconnue, qu`il avait croisé au courant des derniers jours, l`avait ramené à la vie et il avait ainsi continuer à aider ses amis.

Après le combat, lorsque les troupes prenaient le temps de se guérir, il s`écrasa contre un arbre. Il avait faim, il avait soif, il étant grandement blessé et il était fatigué. S`il avait eu le temps, il aurait probablement commencer à réfléchir à se foutu livre. Cependant, la raison prit le dessu et il commenca à regarder autour pour trouver Sir-Francois. Évidemment, il ne le cherchait pas vraiment, mais la ou était Sir-Francois, il avait généralement Nienna. Wulf reposait ses muscles à quelques mêtres de lui et elle pu remarquer ce que Beregon cherchait.

Il vit Sir-Francois qui recevait un peu de guérison, mais il ne pouvait voir si Nienna était présente. Péniblement il se retourna vers Wulf.

-Tu as vu Nienna?

Frank a écrit:

« Mais pourquoi je ne pense qu’au femmes? Eh merde!! Tirvor à déteint sur moi ou quoi? Et pourquoi donc maintenant… c’est pas le temps. Il y a tellement de choses à accomplir je ne peux quand même pas me compliquer la vie avec ces idées. Et en plus je me parle seul… ah bravo. »

"So, ai-je eu vraiment autant un effet sur toi?" Tirvor marcha autour de l'arbre dont il était assit lui-même, drôlement proche d'ou Torek c'était placé. Il s'assit de nouveau, cette foie si à coté de lui. "Et désolé, mais, moi, je me parle pas seul," il continua avec un demi-sourire. "Tu as du avoir prit cette habitude de quelqu'un d'autre. Draken, après quelques breuvages, peut-être?"

Avec un moment de silence, Tirvor regarda vers les autres, juste comme Torek, mais lui ses yeux étaient fixés sur Domino et Éliam. Il l'avait amené le plus loin qu'il pouvait, et ensuite Éliam est venu, presque l'arachant de ses mains.

"Et dans mon cas, je pense plus qu'il va y avoir des problèmes avec les femmes," il disa avec un soupir. "Je pense que tout les décisions sont prise maintenant."

Tirvor tourna la tête pour regarder le restant du groupe des 'prisoniers'. Il essaya de retrouver tout ceux avec qu'il a commencé à former des liens d'amitié pour voir s'ils étaient encore là. Heureusement, ils les voyaients pas mal tous.

Éventuellement, il remarqua Topanga, le "remplacement" de Wulf. Il l'avait parlé sur se sujet pour mieu comprendre cette histoire et trouvait la situation avec Brigid un peu... drôle. Mais Topanga, juste comme Wulf, c'est démontrée très valiante et capable en combat. Tirvor pensa un peu à ces options, et décida qu'il ira la voir plus tard. Il va avoir besoin de l'aide de la guérière.

Tirvor se tourna de nouveau vers Torek. "Veut-tu que j'aille te trouver un guériseur pour soigner tes jambes?"

Il n'eut pas besoin de prononcer ces paroles, elle savait qui il cherchait. Elle lui fit simplement signe non de la tête et s'expliqua simplement:

- J'ai porté mon seigneur jusq'ici laissant Éliam s'occuper de trouver Nienna ou de lui parler car elle et moi on a de la difficulté à se comprendre vois-tu... jparle pas anglais.
Tout en massant son bras, elle haussa les épaules et elle se retenait de donner quelque leçon sur les relations de coeur à Beregon. Le moment était mal choisi. Cependant, elle mis sa main sur l'épaule du forestier afin de le rassurer un peu.

-Si Eliam ne m'a rien dit, c'est qui l'a trouvé. Tu lui demanderas.

La bataille avait fatigué la grande Wulf et certaines blessures cachées auraient besoin de soins mais elle tenta de se soigner au meilleur de ses connaissances.

Le forestier avait beau croire que tout allait bien aller, il ne pouvait s`empêcher de s`inquièter pour sa belle Nienna. Il espérait seulement qu`elle allait au moins de montrer le bout du nez pour le rassurer. Cependant, après la dernière discussion qu`ils avaient eu, elle voudrait peut-être prendre ses distances quelques temps.

Néanmoins, lorsqu`il remarqua que Wulf était blessé, il ne lui laissa même pas le temps de poser la main sur ses blessures, puisqu`il avait déjà prit place à ses côtés et il lui enroulait des bandages aux endroits nécessaire. Lorsqu`elle le regarda, elle pu voir un grand sourire, qui cependant, cachait beaucoup de tristesse.

-Tu connais mieux ton corps que moi, alors c`est le moment de me dire ou tu as mal mon amie?

Avant même de la laisser parler, il appuya très fort sur une de ses blessures au bras. Il connaissait beaucoup trop bien sa Wulf et il savait qu`elle allait lui dire de la lacher pour en soigner d`autres.

-Alors? Tu dois commencer à avoir une bonne réputation avec toutes cette histoire?

Elle s'approcha de lui et d'un regard noir elle lui dit fermement:

-Et tu crois que je suis ici pour gagner ma popularité? pour faire valoir l'authenticité de mes histoires?

Wulf lui fit une mou sans en dire plus. Beaucoup de ses compagnos de route ont eu ce genre de remarques dans le passé. Personne n'arrivait à comprendre que maintennat les histoires et légendes de Wulf circulaient dans le monde connu malgré elle. Elle en avait aucun contrôle si ce n'est que de continuer de se battre pour le bien.

-Beregon, tu me connais mieux que ça! Et tu connais les fondement de ma mission, une des raisons pour laquelle Brigid m'a créer cependant nous avons d'autres problèmes à régler.

Sur ces mots, Wulf montra du menton la comtesse. Son regard croisa furtilement; Minuit, Domino et Klore mais il s'arrêta sur Beregon.

-N'oublie pas t'as pas le droit de mourir et jte parle dans tes rêves aussi!!!

Winsthroft était seul dans son coin. Après avoir brièvement soigné Lilaké (de façon a ce qu'elle ne meurt pas au bout de son sang... de toute façon d'autre était plus compétent que lui pour guérir les blessures), il s'était légèrement éloigné du groupe de personnes avec qui il voyageait. Il prit la chance de monter à un grand arbre (tout en espérant que cet arbre ne faisait pas partit de la végétation corrompue qui tenterait de le tuer) et regarda autour de lui afin de découvrir ce que cette position en hauteur pouvait lui montrer.

Il voyait la chaîne d’anciens prisonniers qui tentait tant bien que mal de soigner les blessés. Il s’arrêta plus précisément sur les gens de La Meute. Voir ses amis en vie avait le don de rassurer les inquiétudes du voleur. Il regarda par la suite quelques instants la comtesse pour qui il avait encore des folies au cours des derniers jours…. Il rechercha du regard Minuit et fut soulagé de la retrouver en vie. Si Winsthroft voulait réussir ses objectifs, il était impératif que cette femme reste en vie. Soudain, une pensée lui traversa l’esprit. Il tenta par la suite de regarder au loin. Une personne manquait toujours à l’appel… Une personne qui était restée à l’arrière pour les protéger tous…

Puis Winsthroft se rendit compte qu’il était en train d’avoir peur pour quelqu’un qui lui était pratiquement inconnu.

« Décidément… je commence à me faire mou… Depuis quand je prends la peine de m’inquiéter pour les autres? »

Il fit un petit sourire en coin pour marquer l’ironie de la chose. Il regarda une dernière fois en direction des autres aventuriers. Personne ne semblait avoir remarqué que le voleur s’était éloigné. Dans un certain sens, cette chose ne le surprit même pas.

« Pff… coup classique…. Je veille à la survie de tous les autres, mais personne ne prend la peine de vraiment vérifier si je vais toujours bien… »

Puis il se s’assit sur la branche sur laquelle il se trouvait et tenta de profiter de ce petit moment de repos. Tout en restant seul avec ses sombres pensées…

Suffocant de honte de devoir quitter le champ de bataille au pire moment, Lionel avait le pas de plus en plus lourd. Déjà sa quête l'avait fait changer de piste, tant de gens à aider en si peu de temps. Sa foi le menant autre part, mais il était si contradictoire de quitter maintenant. Il avait quitter au petit matin lorsque sa sainteté lui avait dit de se rendre autre part pour aider une famille en détresse. Remetterait-il sa foi en question, échouerait-il une deuxième fois à la demande de son dieu pour aider ses nouveaux alliés et être à jamais déchu.

Soudain, il fut comme frappé d'un éclair dans sa tête, se n'était pas lui qui se remettait en question, c'est sa douce, Maelys, qui lui parlait de son sommeil. Elle croyait en lui. Son destin n'était pas n'était pas pas d'être paladin pour défendre sa famille, mais peut-être mieux de vivre pour soit-même et défendre les gens qui aimait. Il arrêta brusquement et fit demi-tour...

Après une course sans arrêt, il rejoint finalement le groupe qui se battait désespérément. Des cliquetis de fer mélangé aux cris enterré semblait comme une scène de l'enfer sur terre. Il se fraya une chemin dans la mer de mort pour aller se ranger avec ses amis.

On attendait, d'un cri étouffé; repoussant quelque zombies à la fois:

- Que Justice se face!

Une fois de plus Domino se défila des questions d'Éliam. C'était la même histoire à chaque fois.
Bien installé sur son dos, Éliam pu sentir des coups sur son épaule. Elle c'était endormie au rythme des chaos de la route.
Il pouvait sentir sa respiration profonde et le souffle chaud dans son cou.
Il jeta un regard vers Wulf et aussitôt se resaisie. Il ne devait pas s'attacher.
Une fois ce traitre démasqué, il avait l'intention de partir vers le désert avec Wulf et Beren.

Le temps passa et finalement les prêtresses commencèrent à sentir leur pouvoir revenir.
Le groupe s'arrêta pour une pause bien mérité et tenter de soigner quelques blessures.

Éliam déposa lentement la jeune prêtresse dans les hautes herbes au pied d'un arbre. Sachant qu'elle pourrait se soigner elle même, Éliam jeta son regard vers ces amis pour voir qui était blaissé. Winsthrof qui s'éloignait lentement semblait correct. Wulf était aux bons soins de Garan puis elle se dirigea vers Beregon.
Il se demanda si ses dons de guérison fonctionneraient à nouveau.

Voyant la jambe de domino plutôt mal en point, il sortie des bandages propres et sa trousse puis commança à désinfecter la plaie.
Malheureusement la douleur la réveilla.

Je suis désolé, mais mes soins ne semblent pas fonctionner encore ici (que Ben à dit ;o).
Il faudrait que tu fasses de quoi parce que l'infection commence à se mettre dedans. Je ne voudrais pas devoir te couper le jambe (dit-il avec un petit sourire).

Ca ne semble pas t'avoir stressé toute cette histoire à voir la façon dont tu dormais. Faut dire que les deux dernières nuits n'ont pas été de tout repos.
J'ai été très surpris de vous voir toi et Marie-Isabeau en action. Où as-tu apprise à te battre comme ça?


(Note: Ben me disait que personne ne pourra guérir physiquement tant qu'on ne s'éloignera pas assez de la passe. Genre 2 jours)

La pression des derniers jours venait soudainement de disparaitre et le forestier ne pu s`empêcher d`éclater de rire face aux commentaires de son amie. Quelques secondes après, Wulf réalisa à quel point elle avait réagit beaucoup trop fort aux paroles de Beregon. Elle aussi ne pu s`empêcher de rire.

-Hahaha. Je vois que tu as beaucoup sur le coeur Wulf. Comment peux-tu vraiment croire que je t`attaquais avec cette question. Aussi bizarre que ca puisse sembler, je te demandais tout bonnement si nos quêtes allaient un peu aider à ta réputation. Tu sais très bien que je suis honoré d`être à tes côtés et surtout de faire parti de ton groupe. À ce que je sache c`est ton premier groupe officiel à vie et c`est tout un honneur pour un simple forestier comme moi.

Lentement, il déplacait les bandages sur le bras de la guerrière. Comme il était toujours concentré à rire, il ne réalisait pas que sa guérison ne fonctionnait absolument pas.

Un peu étourdis après toute l’énergie qu’elle avait investit dans la bataille d’avant, Domino en avait dormi un bon coup. Un espèce de sourire serein occupa son visage. Elle broncha lorsqu’Éliam toucha à sa plaie. Domino ouvrit ses yeux lentement, et regarda Éliam avec ses grand yeux bleus.

Je suis encore épuisé de la bataille. C’est une situation fâcheuse, mais je dois utiliser mon essence pour les autres. Je ne suis pas permise de l’utiliser pour moi-même Dit-elle en baisant les yeux.

Toi, ça va? Soudainement elle leva les yeux et regarda autour. Tirvor, lui? Il est correct? Est-ce que Lughen est venu nous rejoindre… Je ne me souviens pas de beaucoup. La dernière chose est quelqu’un qui dit mon nom et une lance qui vient s’écraser en moi. J’ai prit quelques pas de recul et ensuite je me suis réveillé dans tes bras. Et ensuite la noirceur m’envahit. J’imagine que sois que me suis évanoui ou que dès que je me sentais en position confortable, je me suis laissé allée…

Le regard de Domino divagua…
Un terrain de bataille, des pansements qui trainaient partout, les cris des différentes victimes et les chaines… Ces maudites chaines…
Quand Éliam continua de lui parler, ceci la sorta de son cauchemar.

Euhh… C’est comme je disais. J’affronte la mort. Si elle vient, que puis-je faire pour l’empêcher? Seul le hasard peut me sortir de là. Je suis aussi bien de profiter de mon moment de répit… Surtout dans la position ou j’étais. Accoter sur la nuque de quelqu’un… Y’a pas grande place qui est plus confortable.

À vrai dire, j’ai apprise à me battre très jeune. À me débattre, plutôt. Et avec le temps j’ai eu des maîtres qui étaient habiles, alors j’observais. Ceci me permettais de me défendre par moment. On peut dire que j’ai eu beaucoup de pratique…
Dit-elle avec un sourire.

Marie-Isabeau me surprit beaucoup. Une fois que l’on fait ressortir sa voix de l’intérieur, elle a très bien fait ça. On l’a plus entendu que ce sacré barde…

Domino regarda autour d’elle et vit Tirvor. Celui-ci semblait être dans la lune. Il doit penser à Isadora, elle se dit. Domino soupira – et lança un petit sourire dans la direction de Tirvor lorsqu’il se tourna. Son attention revint sur Éliam pour qu’ils trouvent comment régler son état facheuse..

Lillaké sortit assez brusquement de l’inconscience dans laquelle elle était plongée. Tout son corps lui faisait mal. Elle se souvient vaguement de ce qui lui était arrivé, l’attaque et l’armée de mort-vivant qui les avait attaqués. La tête lourde et le regard encore embrouillé, elle remercia la personne qui la soignait. Lorsqu’elle le pu, elle se remit debout et demanda qui l’avait conduit en lieux sure. Elle lui indiqua que c’était Winsthroft. Elle remercia la personne une fois de plus et décida de partir à sa recherche. Après quelque minute de recherche, elle le découvrit, assis sur la branche d’un gros arbre à l’écart dans le bois. Il semblait absorbé par ses pensées. Elle s’approcha de l’arbre et toussota un peu pour attirer son attention.

- Je voulais te remercier pour ce que tu as fait pour moi. Merci de m’avoir conduite en sécurité et de m’avoir soignée. Elle s’avança et s’accota le dos à l’arbre pour ne pas qu’il puisse voir son expression.
- Je voudrais également te remercier……. pour m’avoir parlé dans l’auberge et surtout pour m’avoir écouté.
Elle se mordit la lèvre inférieur quand les souvenirs remontèrent à la surface.
- Très peu de gens se sont occupés de moi de la sorte et si jamais il y a quelque chose que je puisse faire pour toi, n’hésite pas à me le demander.

Malgré tous les va et viens des guérisseurs et des gens qui tentaient de se retrouver. Éliam pu voir que Wulf tenta d'éloigner Garan en l'invitant à aller réparer son armure un peu plus loin. Mais Beregon, plus tenace et moins surpris par les crises de Wulf demeura à ses côtés afin de la guérrir. Le forestier n'avait pas remarqué cependant que les blessures de Wulf ne semblaient pas se refermer et pourtant il resta là.

- Beregon, je saigne toujours....

Concentré à sa tâche, Beregon tenace, continua de lui donner les premiers soins sans se préoccuper des plaintes de la louve.

-Beregon,

Wulf détourna son regard de la scèene de Domino et Éliam afin d'éviter une nouvelle crise et se perdit dans les gestes attentionnés du forestiers.

-Beregon, tu crois que Brigid a voulu cela? Je veux dire que je sois hummm ((elle semblait chercher les mots et changer de sujet)) À,vrai dire, je crois qu'elle vous a mis sur ma route sachant bien qu'à vos côtés je serais au meilleur de moi-même. Oui, vous êtes mon premiers groupes, oh j'ai eu des partenaires de routes et d'aventure mais rien de telle que la MEUTE. Mais c'est à moi que reviens l'honneur de vous avoir.

Il y avait un malaise intérieur chez Wulf, elle laissa donc aller un grand soupir.

-Tu m'as déjà posé la question, l'autre jour, par rapport à Éliam et ses fréquentations mais je dois t'avouer que ma réponse n'était pas sincère toutefois..........je sais que tu sais me lire.. et à un meilleur moment je te demanderai de m'éclairer.

Le teint de la guerrière pâlissait considérablement.

-Beregon...

Sa respiration lente et son poul faiblissait. L'inconscience la veillait.

Le forestier écoutait attentivement son ami, sans toutefois lacher prise sur la guérison de ses blessures. Il ne comprenait pas pourquoi ca ne fonctionnait pas. Il décida quand même de changer les bandages afin de bloquer les saignements.

-Nous nous sommes tous rencontré pour une bonne raison. Ce n`est vraiment pas pour rien qu`autant d`aventurier persistent à rester ensemble dans les pires moments. Nous allons tous avoir quelque chose à faire très bientôt et nos actions auront des répercutions pour des centaines d`années à suivrent. Malgré mon livre, tu peux être certaine que
tu me retrouveras toujours dans les parages à surveiller tes arrières.

Il remarqua que Wulf semblait aller de mal en pire.

-D`ailleurs, parlant de toujours surveiller tes arrières. Cesse de me parler et repose toi un peu. Nous reparlerons de Éliam plus tard . Pour une fois, fait moi confiance et laisse toi soigner. Tout le monde est en sécurité, la meute va bien et je suis ici pour t`aider.

Les saignements ne voulaient pas arrêter et Beregon commencait à se demander ou pouvait bien être Maire Izabeau.

Le dos contre un arbe, Draken enleva les bandages qu'il venait tout juste de mettre sur son bras gauche. Il les replaca brusquement dans sa pochette avec quelques mots de choix contre la Passe. Il regarda ensuite tout autour de lui pour verifier quel etait l'etait du groupe. Tout le monde avaient plus ou moins survecu, mais la majorité des gens avaient des blessures qui ne guerissaient pas du a l'aura malefique qui avais autour de la passe. Il remarqua Tirvor et Torek en conversation pres d'un autre arbe, alors il decida d'aller les rejoindre.

"Content de voir que vous etes vivant vous deux." Il leurs dit en tenant sa blessure. Un petit sourire se formait sur ses levres.

Visiblement faible mais incapable d'accepter de se reposer, Wulf fit un sourire à Beregon.

-Jvais voir à ce que l'équipe soit complète et jvais au ptit ruisseau pour me rafraichir. T'inquiète, jprenrai pas un bain mais j'ai besoin de prier et d'être seule.

Comme toujours, Wulf refusa toute attention, se releva et quitta dans la forêt. Il détestait lorsqu`elle fesait ca.

-(tout bas) Elle m`énerve!!

Bon! Toute cette histoire était bien belle, mais le forestier avait toujours affreusement mal. Malgré tout, il se releva pour aller tout prêt de Sir Francois. Il attendrait jusqu`à ce que Nienna refasse surface ou jusqu`à ce que le noble se réveil...

D`ailleurs...il ne se réveillait vraiment pas se noble? Il s`en approcha pour voir s`il respirait. Ce n`était pas le cas.

-MARIE-IZABEAU!!! ÉLIAM! QUELQU`UN??

Pendant le combat laure-Emanuelle se sentait inutile jusqu'a ce qu'elle pris l'arc de Beregon. Elle reussi a tiré quelque flèches et atteindre quelque cible. Cela ne fesai de elle, et encore loin, une combatante d'excellence. Arrivé au campement laure-Emanuelle regarda autour d'elle et ne vit pas son mari son coeur arreta et commenca a s'inquieter pour lui. Lorque Éliam arriva avec lui elle couru pret de lui mais elle etait imcapable de le guerrir. Elle regarda Beregon qui s'avancai pres de sir Francois. Elle ne dit rien. Elle s'installa sur ses genoux, prit la mains de son mari dans la sienne et attendais les guerriseurs.

Ses yeux regarda encore une fois Beregon puis se tourna vers les autres pour enfin s'arreter sur Draken. Elle le fixa mais ne laissa pas d'expression sur son visage. elle repensa a cette soiré amusente quand elle fit interumpre par des murmurs son regard revien sur celui de Beregon et elle lui chuchota

-Beregon .. tu a entendu ? .... CHUT.... ecoute....

les yeux de la comtesse demontra a Beregon la terreur qu'elle subissait.

Domino releva la tête aux cris du forestier. Elle le vit près de Sir François… Évidemment quelque chose ne tournait pas rond. Domino fit signe à Éliam de l’aider à se rendre là-bas. Comme un enfant fragile…
Éliam la ramassa aussi délicatement que possible et rejoint Beregon.

Domino se pencha du mieux qu’elle pouvait sur le noble. Évidemment, il ne semblait plus respirer. Rapidement, elle prit son pouls et approcha sa face près de celle à Sir François, question de voir s’il y avait un peu d’air qui s’échapperait. Le temps manquait, il fallait qu’elle agisse.

Domino posa ses mains sur le torse de Sir François, murmura « slanaghey » en fermant les yeux et se détachant de la réalité. Elle implora Valédens de venir aider Sir François. Cet homme qu’il pensait que personne ne l’appréciait. Il était l’un des rares Seigneurs qui s’occupait bien de ses serfs, et ce fait était assez pour Domino. Mais évidemment, elle ne montrait pas tout haut. Domino se concentra sur sa tâche en envoyant ses prières vers son Dieu.

Draken regarda attentivement Torek quand celui-ci lui disait ce qu'il avait a faire. Il garda aussi un oeil dans toute les directions, question de ne pas se faire surprendre. Il haussa un sourcil a la mention des guerrieres. Dans son opinion, les guerrieres du groupe se tenaient mieux que lui sur la ligne de front amis il conclut qu'il doit y avoir une raison pour que Torek s'en inquiete.

"C'est bon Torek, je pense que je sais ou Beregon est a l'instant. Pour le barde, bonne chance, il a seulement chanter quand les autres lui disaient, et s'ils ne lui disent plus, c'est qu'il en est plus capable!"

Il dit sa derniere phrase en se dirigeant vers ou il croyait qu'il avait vu Beregon. Regardant dans la direction qu'il allait, il vit le forestier pres du corps du noble qui etait parmi le groupe; Sir Francois. Il avanca plus rapidement quand il s'appercu que le noble ne bougait plus. Rendu a quelques metres du petit groupe qui entourrait Francois, il remarqua que la pretresse Domino etait en train de le soigner avec de la magie et il soupira de soulagement.

"Beregon, Torek te cherche, il est accoter sur un arbre par la bas, je pense qu'il veut repartir dans le bois comme il l'a fait avant pour essayer d'eloigner des mort vivants. Il a les jambes en mauvaise etat par contre."

Draken regarda la scene et attenda une reponse avant d'aller rejoindre le vendeur de composantes.

Se dirigeant vers le boisé, Wulf vit les autres s'occuper de Sir François.

-Voilà qui est bien, soupira-t-elle

Les membres de son unité étaient tous présents, blessés mais fidèles au poste; même Minuit. Marie-Isabeau reprenait ses forces, épuisée d'avoir refouler en enfer les lignes de zombies, elle devait se refaire car Wulf la trainerait encore au front. Alors que la Meute (Éliam, Beregon et Winsthroft)était ensemble, Wulf était rassurée. Quand une inquiétude s"empara d'elle:

-Wilson?? ou est ce foutu gueux... lorsqu'on a besoin de lui. Décidément son obsession avec les Shidee l'éloigne de nous! Il se cache comme ces salauds ....

Et Wulf continua de grogner