Un brin de répit...

Non loin dans un petit boisé ....

Gisant au mileu des corps de mort-vivants qu'il avais vaincu un peu plus tot dans la journée, le chevalier Devonien rempas jusqu'a cette petite source d'eau qui étais a peine a quelque metres de lui.

Apres quelque longues minutes il mie la main dans le ruisseau pour sentire et gouter l'eau qui si trouvais. Sans aucunne ésitation, il la recrachas et jetta un coup d'oeil au tour .... ces la qu'il remarquas les corps mort depuis fort longtemps qui repausais dans la petit ruiseau.

- La mort est partous dans cette endroit maudit !!!

Apres ces courtes paroles le chevalier salongas un peu pour reprendre des force vue que ca jambes et sont bras gauche étais griévement blaissé, il savais que le chemin serais long et pénible et malheureusement il ne pouvais utiliséser ces pouvoirs sur lui-meme.

Apres quelque minutes de repos il entandue des pas qui venais vers lui, le Paladin croyais que les phantomes de l'endroits lui jouais un vilaint tour pour le pousser a la folie une fois de plus. Il prie sont épée et laissas sont bouclier par terre vue que sont bras gauche ne pouvais plus rien porter.

Il regardais partous au tour de lui pour voir de ou arriverais ces mysterieux pas ... D'erriere lui ... Une forme humaine. Les yeux recouvert de sang le chevalier voyais tres mal. Sans aucunne hésitation il dit:

- Qui vas la ? Identifier vous sur le champs ....

Au plus profond de sont coeur le chevalier souhaitais que cette forme dans les bois lui répondrais ........

Mélodramatique ? Il pensait, après les commentaires de Torek. On peut pas tous être des assassins sans coeur comme toi était la réplique à laquelle il pensait, mais il se retient. Il était... Faché ? Frustré ? Traihi ?

En fin compte, Tirvor ne savait pas exactement comment il se sentait avec tout ce qui s'est passé. Mais une chose était certaine, Torek en était pas responsable. Ni Domino. Même pas Éliam, quoi qu'il aimerait bien lui sacrer un coup de point dans la face... Il savait pas pourquoi exactement, mais ses pensés lui dissaient que ca ferait du bien.

À ce moment, Draken arriva. Tirvor se leva pour lui donner la main. "Good to see you're ok as well."

Tirvor commenca à quitter les lieux pour aller trouver Garam et Beregon maintenant, comme Torek lui avait demandé... mais en quittant, il l'entendit demander la même chose à Draken. Bon, guess que Torek n'avait aucune confience en lui. Il regarda Torek, lui faisant signe vers Draken pour indiquer que le roublard s'occuperait de trouver les autres. Ensuite, Tirvor se tourna et quitta.

Tirvor se déplaça parmi les groupes, mais resta seul. Il vit Domino qui lui offra un sourire. Au moin elle allait bien, il pensa. Il retourna le sourire; c'était un peu forcé, mais il était vraiment heureux qu'elle était encore en vie. Des amis, ca se trouve pas partout. Il commenca à l'approcher, voulant la dire qu'il était content de la voir, quand les cris de Beregon les ont attirées. Éliam ramassa Domino, et les deux sont partie pour aider Sir François. Tirvor les regarda partir ensemble.

Tirvor secoua sa tête... jamais le temps pour parler. Pas qu'elle me parlait les autres fois que j'ai essayer d'attirer son attention non plus, il pensa sombrement. Il ria dans ses pensées. Et parler de quoi, au juste ? Ca lui tenta pas de parler de ses problèmes; trop de monde lui ont déjà approché sur ce qui se passaient dans sa vie, voulant tout se mèler dans se qu'il devrait faire à propo d'Isadora... ou même Domino, mais là ils cherchaient loin.

Non, vaux mieux faire autre chose. Partir. Faire l'éclaireur pour un peu, pour être certain qu'il n'y a plus de mort-vivants dans la région. A vrait dire, il espérait rencontrer quequelchose à tuer; les combats récents lui on fait se sentir... vivant. Une bonne facon de tout oublier.

Tirvor vérifia ses armes, remplit sa gourde d'eau au ruisseau, et se dérigea tranquillement vers les bois.

Laure-Emanuelle regarda la pretresse mettre ses mains sur son mari, elle la regarda pour un long moment comme si la comtesse avait un debat interieur. Finalement elle reussi a sortir quelque mots

- Merci Domino vous serez bien recompenser pour vos bonne action.

Laure expira fortement comme si ses derniers mots etait un effort. Elle esseya de reprendre ses esprits. Les yeux fermer elle murmura quelque mot incompris des autres. Encore une fois elle leva les yeux lorsqu'elle endendit la voix de Draken.

- Je crois que Domino serai peu-etre la meilleur personne a guerrie pour l'instant.

le regard de laure-Emanuelle à Draken etait intense, comme si elle combatait le demon en dedans d'elle.

Winthroft était toujours sur sa branche d’arbre lorsqu’il vu Lillaké s’approcher. Un haussement de sourcil fut sa seule réaction, malgré le fait qu’il était très curieux de savoir ce qu’elle pouvait bien venir faire. Maintenant rendue au niveau de l’arbre, la jeune femme commença à faire ses remerciements. Bien que son visage ne le laissait pas paraitre (en plus du fait que Lillaké ne regardait pas directement dans sa direction lorsqu’elle finit de parler), Winsthroft était content de savoir qu’au moins une personne était reconnaissante de ce qu’il avait fait la soirée d’avant.

Le voleur regarda un peu aux alentours de lui. Les environs étaient calmes et paisibles (du moins, elle le semblait probablement puisqu’il ne semblait pas y avoir de trace de morts-vivants). Puis d’un bond, il se laissa tomber de la branche d’arbre et arriva au sol pas trop loin de la jeune femme. Avec le choque provoquer par « l’atterrissage » quelque chose qui reflétait les rayons du soleil tomba de la manche de la cape du jeune homme. Toujours sans regarder Lillaké, Winsthroft se pencha pour ramasser l’objet qui était en réalité une dague. Il fixa des yeux l’objet pendant quelques instants puis finit par dire :

- Tu sais… dans ma vie je n’ai jamais vraiment aidé les gens de la façon dont je l’ai fait pour toi hier. En fait, je pourrais compter le nombre de personnes sur les doigts d’une seule main. Et de toutes ces personnes, tu es la première à me remercier…

Il continua à fixer du regard la dague qu’il avait dans ses mains.

- Je ne considère pas vraiment que tu me dois vraiment quelque chose en retour. En fais oui… tu peux bien faire quelque chose pour moi.

Le jeune homme se retourna d’un seul coup en direction de la nécromancienne. Il la regarda avec un air sérieux et intense… Ce regard pouvait sembler un peu inquiétant.

- Ne gâche plus jamais ta propre vie comme tu l’as fait hier soir. La vie est un cadeau qui nous a été donné et qui est beaucoup trop important pour vouloir l’épuiser de cette façon.

Quelque chose dans la façon de parler de Winsthroft pouvait laisser paraître qu’il semblais savoir parfaitement de quoi il parlait.

Éliam se souvint soudainement que les prêtres et prêtresses ne pouvaient s'auto-guérir ce qui voulait dire qu'il faudrait attendre encore un peu qu'ils puissent méditer et prier assez longtemps pour se guérir les uns les autres.

Éliam remarqua le petit sourir en coin lancé vers Tirvor et se demanda encore ce qui se passait avec ce dernier.

Tout en retournant son attention sur les blessures de Domino, même s'il ne pouvait les soigner, il tenta au moins d'empêcher que les plaies reste à l'air et s'infectent.

- Oui, Tirvor semble bien aller. Enfin, physiquement. Par contre il y a quelque chose qui le ronge c'est certain. Ce n'est vriament pas le même gars que j'ai connu il y a quelques mois. je crois que tu comptes beaucoup pour lui. Tu devrais lui parler et tenter d'éclaisir certaines choses, toi il t'écoutera surement.

Cette dernière restait un mystère et parlait constamment en paraboles. Elle semblait avoir une mission mais restait nébuleuse sur les détails. Elle parlait de la mort comme une grande connaissance qu'elle pourchassait. Il devrait la questionner un peu plus sur tout ça.

Il y avait aussi ce passé qui semblait la ronger. Chaque fois qu'elle en faisait mention elle perdait son jolie sourire et se refermait sur elle même. Qu'est-ce que tout celà cachait?

Mais elle arriva à le faire rougir et détourner son attention de toutes ses questions lorsqu'elle lui parla qu'elle c'était bien sentie contre sa nuque.

Au même moment Beregon l'interpella et rapidement Domino réagissa pour qu'il l'apporte auprès de Sir François. Il la rammasa lentement dans ses bras et l'approcha de ce dernier. Mais avant même qu'il ne puisse réagir elle posait les mains sur son tronc puis incanta.

Éliam ferma les yeux et hocha de la tête. Tristement il leva son regard vers Laure-Emmanuelle et ajouta:

Elle perd son temps. Il était déjà mort lorsque nous l'avons trouvé. Nienna avait déjà tenté de l'aider mais il était trop tard.
Ce que je ne comprend pas c'est pourquoi qu'après déjà plus d'une heure son corps ne c'est toujours pas volatiliser et il n'est revenu à lui.
Peut-être que l'abandon du village à détruit la consécration et que son âme erre?
Pour ce qui est de Nienna elle c'était caché dans un arbre et doit surement être morte d'inquiétude pas très loin.

Elle ecouta les parole d'Éliam lentement son regard rencontrait le sien, son coeur tomba dans ses talons les sueurs montai dans son dos, les larmes fit surface a ses yeux, elle tenait la mains de son mari aussi fort qu'elle pu.

-Quoi? ... non c'est pas vrai il n'est pas mort .. ca se peu pas ... je ne te crois pas. !!!!!

Laure-Emanuelle laissa tomber sa tete sur la poitrine de son mari, garda toujours une mains dans la sienne et l'autre sur son epaule, elle répéta

- réveil toi .... réveil toi .. s'il te plait ... Francois ...

les larmes coulais sur ses joues, jamais elle avait eu autant de peine que ce jour ci. La relation n'était pas si apparente avec son mari, mais elle l'aimait et ne voulais surtout pas le voir mourrir dans cet endroit. Ce n'était pas ainsi que ca devai se terminer .....

Lillaké regarda Winsthroft se laisser tomber sur le sol dans un mouvement gracieux et précis. Il ramassa un petit objet brillant qui tenait dans sa main. Elle s’aperçut que c’était une dague. Elle le regarda d’un air calme et Winsthroft se mit à parler. Son regard braqué sur elle, il lui dit :

-Ne gâche plus jamais ta propre vie comme tu l’as fait hier soir. La vie est un cadeau qui nous a été donné et qui est beaucoup trop important pour vouloir l’épuiser de cette façon.

Lillaké le regarda avec surprise. Elle ne s’attendait pas du tout à se genre de réponse. L’intensité dans le regard de Winsthroft amena en elle un sentiment de tristesse. Puis tout doucement un sourire éclaira son visage. Les yeux de Lillaké n’exprimaient plus la surprise mais la douceur. Elle lui dit :

-Lorsque je suis arrivé comme prisonnière au début, il est vrai que je voulais mourir. Je n’ai plus de famille, plus de clan, les gens me déteste ou me craigne, ce que je suis est une malédiction pour moi. Mais j’ai vue que je pouvais vous aidez, que je pouvais faire une différence, si petite soit-elle. Hier soir…. (elle se mordit la lèvre en repensant aux événements)… je n’ai pas fait ce que j’ai fait par intention suicidaire. Pour colmater la brèche, il fallait un sacrifice. Pour vous aidez, pour vous sauvez…. J’ai fait ce qu’il fallait faire pour que personne d’autre ne meure. Pour une fois depuis très longtemps, j’avais un but et ma mort a servit à ce but.

Les yeux pleins d’eau elle détourna le regard. Les événements de la nuit passée la hantaient toujours. Tout bas elle ajouta : - Je dois également aller remercier Wulf et Topanga de m’avoir aidé et d’avoir été là pour moi quand je suis sorti du mur.

[i]

Lorsque Draken l`approcha pour qu`il aille voir Torek, le forestier se contenta de hocher de la tête. Torek devrait entendre quelques minutes. Lentement il déposa sa main sur l`épaule de la comtesse en guise de respect. Puis il lui chuchota à l`oreille.

-Je dois aller voir Torek un petit moment, mais si jamais Marie-Izabeau ne peut rien faire pour aider Sir-Francois. Sache que je t`aiderai du mieux que je peux pour ramener ton époux.

Sans même la regarder, il se releva pour aller rejoindre Torek plus loin, accoter sur un arbre. Constamment, le forestier regardait dans les parages en espérant au moins voir sa belle Nienna. Mais elle manquait toujours à l`appel.

Péniblement il se laissa tomber aux côtés de Torek. Putin qu`il avait mal partout.

-Jevoudrais bien t`aider…mais les premiers soins ne fonctionnent toujours pas ici.

Une voix plus ou moins familière se fit entendre juste derrière Torek et Beregon. C'était une voix désespéré comme d'habitude, mais avec quelque lueur de joie à l'intérieur, Lionel se tenait à quelque pas derrière:

- La guérison divine fonctionne toujours n'est-ce pas? Laisse moi essayer, ou as-tu mal Torek?

Il sortit son talisman puis attendit la réponse.

Nienna watched as the gangly evil creature threw its pike at Sir François and Watson. She cringed in her tree, terrified and miserable. She wanted to scream, to hide, to run, to do anything but stay here and watch more people die all around her. She wanted the tree to stop its whispering. She screamed at the tree, "YOU LIE!!!!", but the tree didn't respond, and those outside did not hear.

Her hopes lifted a bit when she saw Watson charging the creature, but they were dashed again. Her stomach hurt, and tears felt like they were rolling down her cheeks, but they couldn't be. Not while she was in the tree. She could feel the life drain from Watson, as he was cut down by an axe the undead pulled from behind his back. The corrupted wood of the tree started to creep further into her being. Another had fallen, one that she really didn't know, but that didn't make it any easier.

She watched Sir François pick up the pike the vile creature threw at him and Watson, but the undead moved in too quickly. She couldn't breathe, she tried to scream, but there was no sound and she couldn't move. The dead wood creeped further into her. Time slowed, and slowly Sir François fell. She could feel the death, it whispered to her, it laughed cruelly at her. It called her a coward for not helping, for watching again as they died around her, those who she cared about. The tree whispered to her again and she closed her eyes, screaming, trying to drown out its whispers, until it finally ended.

Nienna slowly opened her eyes. It felt like every part of her was crying for air. The undead was gone, but the people remained. She looked around once more and ran for Sir François, tears streaming down her face and hoping he was okay. She checked for a pulse and found none. Still sobbing she quickly backed away, holding her weapon ready. She really didn't want to fight Sir Francois, she couldn't....

She backed up further and checked on Watson. Her hands shaking, and tears still streaming down her face. She didn't find a pulse either. Slowly she got back up and backed a way a bit more, back to the whispering tree. She waited, and watched, shaking and scared.

Why didn't the others return? Why didn't Watson and Sir François become undead? Did they already become undead? Did she lose that much time in the tree? Had they already been killed again by someone else?

She waited a while longer. Still no change. She moved forward and still crying, tried to pick up Sir François. Half dragging, half rolling, and a bit of carrying was all she could do to move him back towards where she hear others in the distance. She put Sir François down and then went back to try to move Watson.

It took a long time ....She looked up quickly when she hear some steps coming towards her and tried to look for the nearest tree, which was too far away. She tried to get out some salt, getting ready to try to cast, when she realized it was Eliam.

"I...S..s.sirr FFrr...anançççois..dd..dd ...I..t.t..tired...ttto ..hhhelp...hhhim ...aaand...tthe...ooot.t..ther...one... I..d...ca..aan't..t..ttthey...a..aa.re....d.d.ddeea.a.d....." With tears streaming down her face she took off through the woods, towards the direction Eliam came from, and disappeared.

The death creeped back into her, filling up the hollow space, and the whispering started again....

Le don était encore très nouveau, il ne fallait donc absolument pas se tromper. Et bien sur si son dieu n'était pas daccord avec lui, le sort ne marcherait tout simplement pas. Il fallait prendre le risque.

- Slanaghey, chuchota-t-il

Une faible lueur bleu se connecta entre les paumes de ses mains jusqu'a la surface endommagé. Après environ trente seconde, la lueur s'éteint, et la blessure sembla dejà beaucoup mieux.

- Voilà Torek, je ne suis pas certain comment j'ai fais, mais c'est fait.

Il se laissa tomber assit parterre en attendant. Même s'il l'avait fait, il se demandait lui même comment est-ce que son dieu aurait-il pu lui accorder cette chance, après l'avoir déçu une seconde fois, ou n'était-ce pas de sa foi que son pouvoir ressorti, mais de lui-même.

Beregon fut très heureux de voir Lionel revenir. Il se demandait pourquoi il avait disparut, mais il lui demanderait plus tard. Lorsque que les jambes de Torek fut soignées, Beregon se releva lui aussi. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi Torek devait quitter, mais il accepta de laisser les traces pour Liam. Quelque chose d`innatendu c`était produit depuis quelques temps, Beregon s`était lié d`amitié avec cet homme du désert. En le voyant quitter ainsi, il réalisa à quel point la meute pouvait souvent d`inquièter lorsque lui-même il quittait sans explication. Néanmoins, il ne l`empêcha pas de partir et se contenta plutôt de légèrement s`incliner tout en touchant son front de la main droite pour finalement saluer son ami qui disparaissait dans la forêt.

-AsSalam-u-Alaikum mon ami…

Il se retourna vers Lionel, lui souria puis se déplaca vers Winshroft.

-Tu penses pouvoir encore utiliser de tes pouvoirs sur Winshroft s`il est blessé?

Éliam avait le coeur en miette devant la complainte de la comptesse. La frustration devant l'impuissance montait en lui.

Je suis désolé.

Il se tourna vers Domino qui semblait tout aussi désolé de n'avoir pu rien faire.

Je dois... aller me laver les mains. Je reviens dans quelques minutes.

Il avait bien remarqué Wulf se dirigeant dans la forêt et jugea un bon moment pour mettre certains points au clair. Il avait besoin de savoir que serait la suite. Les derniers jours lui avaient laissé croire qu'elle n'avait plus besoin de lui et qu'il était innutile. Il se dirigean lentement sur sa trace.

Tirvor se déplaca tranquillement dans la forêt. Contrairement aux autres, il espèrait de rencontrer des mort-vivants. Ca lui donnera une cible pour sortir tout ses frustrations. Depuis qu'Isadora c'est montré au Fort de la Persévérance, il avait une colère qui ne voulait juste pas s'en aller. C'était déjà difficile de l'avoir quitter, car même si elle ne l'aimait pas, il avait encore des sentiments pour elle. Ses sentiments pour elle ont diminué beaucoup récement avec l'aide de Domino, mais ils étaient encore là.

Et maintenant elle est venu jusqu'ici pour simplement lui menacer de plus jamais lui laisser voir son enfant. Elle est venue, enceinte, jusqu'à la Passe. Il secoua la tête à cette stupidité... au danger inutile qu'elle s'était mit dedans.

Apès plusieurs minutes, il entendit finalement un bruit. Il se dirigea dans cette direction presque immédiatement. Il arriva à une clarière, ou il vue deux humanoides. Des zombies peut-être ? Il regarda de plus près et remarqua qu'un des deux était Francis; bon, voilà le barde dont tout le monde cherchait. Vue que ce n'étaient pas des mort-vivants, Tirvor se montra et se déplaca visiblement vers eux. Une foi assez proche, il suggèra à Francis de retourner au camp, car c'était trop dangereux pour lui d'être dans les bois seul.

A sa surprise, la voie de l'autre personne était très familiaire, et aussi moquante de lui. C'était Isadora. Ici. Avec Francis, en plus. Il s'approcha par instinct, voulant la protèger, mais ralentit en essayant de garder ses instinct et émotions sous control. Non, il était certainement faché contre elle.

Et lorsqu'il fut proche, c'était la chicane, avec les insultes et les accusations pour quelques minutes. Il l'avait laissée toute seule! Elle ne l'aimait pas et ne voulais plus de lui! C'était toujours la faute de l'autre. Tirvor n'était même plus au courrant de la présence de Francis à ce point; le barde aurait pu dire quelquechose, ou même quitter, et il ne l'aurait pas remarqué.

Mais une chose qu'il a vite remarqué était le ventre d'Isadora. Elle n'était plus grosse. Il y avait du sang. Elle n'était plus enceinte. Tirvor la demanda d'expliquer, et vite, ce qui est arrivé. Il n'y était plus interresé aux échanges d'accusations. Il ne supportera plus de conversations inutiles. Il voulait savoir ou était son enfant. Et c'est la qu'Isadora expliqua le combat dans laquelle elle s'est trouvée. Un combat qui a fini avec la mort d'Atéus, un ami qui les avaient aidé dans le passé, et la mort de leur bébé, un garcon qu'elle avait nommé Mathis.

L'enfant, qui, même s'il n'était pas encore né, a donné à Tirvor une raison de survivre la Passe. C'était la seule chose qu'il savait serait encore là pour lui... il ne savait pas qu'est ce qui était arrivé à sa famille après l'attaque du chateaux, et Isadora ne l'attendait certainement pas. Il avait juste l'enfant. L'enfant qui était maintenant mort.

Tirvor tomba à terre à ce point et se mit à pleurer. Isadora fit de même, car parler de Mathis lui a rendu en larmes aussi. C'est à ce moment qu'Isadora a mentioné que personne ne l'a jamais aimé. Ceci frappa Tirvor plus durement que n'importe quelle coup de masse aurait pu. Il avait passer plus d'une année avec elle, la disant toujours comment qu'il l'aimait, risquant ca vie pour elle, la sauvant des norns, des orcs, et même des démons de Légion. Il avait fait une quête de plusieurs mois pour retrouver la bague de son père, de cette facon obtenant l'acceptation de son père pour leur marriage dont ils planifiaient depuis un boute. Et quand elle est devenue enceinte, c'était le moment le plus joyeux de la vie à Tirvor... jusqu'à ce qu'elle a dit qu'elle ne voulait plus le marier. Qu'elle ne voulait plus de lui. Il l'a quité parce qu'elle ne lui voulais pas, mais il l'avait toujours aimé.

A ceci, il sorti le mouchoir d'Isadora qu'il avait toujours gardé avec lui tout ces mois. Celui qu'il sortait de temps en temps quand il pensa à elle. Celui que Domino lui a achelé à plusieurs reprises de s'en débarasser et d'au lieu penser au future. Elle avait peut-être raison.

Tirvor se leva et déposa le mouchoir dans les mains d'Isadora. Avec une voie moquante, il disa "Vue que je t'ai évidemment jamais aimé, tu es aussi bien de reprendre ceci, car je ne l'aurai plus besoin." Isadora a simplement continuer à pleurer. Tirvor se tourna et quitta, retournant dans la forêt.

Mais arriver au bords de la clarière, il arreta. Il pouvait encore l'entendre pleurer. Il baisa la tête. Maudit. Peu-importe ce qui est arrivé entre eux, il pouvait pas la laisser là, seule dans les bois. Ou pire que seule; seule avec Francis le barde. Il comprenna sa peine. C'était autant son enfant que la sienne. Ils avaient tout les deux souffère aujourd'hui. La Passe les a blessées gravement.

Tirvor fait demi-tour et s'approcha de nouveau d'Isadora. Il la ramassa avec le plus de tendresse qu'il pouvait donner dans son état. Dans ses bras, elle pleura encore, mais les larmes se sont réduites en nombre. Elle s'accrocha, comme arriva souvent dans le passé, vue qu'elle était rendue maintenant dans une situation qui la était familière. Il l'amena vers la piste ou tout les autres était campé, ou quelqu'un pourrait prendre soin d'elle.

En la transportant, avec le bruit de ces pleures en train de diminuer, Tirvor pensa à ce qu'elle lui avait dit sur comment elle a perdue leur enfant. Le combat dans le Fort de la Persévérance ou elle et son ami Atéus se sont fait attaquer. Le prêtre s'est fait tuer de facon vicieuse, le coeur arraché de son corps. Et Isadora c'était fait frapper au ventre, ce qui a tué Mathis. Dans sa tête, son colère se fixa sur la personne responsable de tout ceci...

Le tueur d'Atéus...

Le tueur de Mathis...

Éliam !

Domino soupira et leva la tête. Elle ne pouvait rien faire pour Sir François.
Elle baissa les yeux et hocha la tête négativement. En enlevant ses mains du torse de Sir François, elle sentit une bosse dans son manteau.

Curieusement, pendant que la comptesse vivait son deuil, Domino ouvrit la poche du manteau et sortit la masse. C'était une des boules blanches que le groupe avait trouver à la Passe. Ceci expliquerait peut-être pourquoi il ne s'était pas lever en zombie... Elle froncha les sourcils et vit Tirvor arriver.

Domino rangea la boule dans son sac et regarda Tirvor passé avec Isadora dans ses bras.

Un peu paniqué, elle essayait de se lever en s'accotant contre un arbre, ignorant la blessure à sa jambe. Domino se fraya un chemin à l'aide d'arbres morts, pour aller voir l'homme avec le regard perdu qui a prit la place de Tirvor.

Le paladin ne sut pas vraiment pourquoi, mais il regarda ses mains avant de répondre. Il soupira:

- Non, je ne crois pas pour l'instant. Désolé. Je suis moi-même surpris de l'avoir fait une fois, je ne crois pas avoir l'énergie nécéssaire pour une deuxième. Mais je prêterai l'assistance que je peux pour l'instant.

Il se relava sur jambes, prêt à tout.

Tirvor arriva en camp avec Isadora encore dans ses bras. Il chercha rapidement pour un prêtre ou prêtresse qui pourrait la soigner. Ca pas prit du temps avant qu'il remarqua qu'ils étaient tous dans le même endroit en train de guérir les autres blessés.

En arrivant là, il dépossa Isadora gentillement avec les autres blessés. Elle était encore en train de pleurer. Mais ceci n'était plus sont problème. Tout les liens qu'il y avait entre eux étaient cassés maintenant. Tout sauf le nouveau lien de la perte de leur enfant. Elle serait guérie, du moin physiquement, et elle serait capable de recommencer sa vie.

Tirvor quitta les lieux. Il pausa pour un moment, écountant encore une foie Isadora en train de pleurer. Il n'avait vraiment plus rien qu'il pouvait faire pour elle. Leurs vies seraient dorénavant séparées, comme elle le voulait. Il ferma les yeux, triste, mais éventuellement continua sur sont chemin. Il avait dit son dernier aurevoir dans la clarière.

Une foie éloigné d'Isadora, Tirvor se mit à chercher pour Éliam. Il regarda partout, mais ne pouvait pas le trouver. Evidement, il avait parti quelquepart dans les bois. Tirvor allait être oubligé de l'attendre.

C'est à ce moment qu'il remarqua Domino qui s'approcha de lui. Il regarda autour pour une place pour s'enfuir, car il ne voulais pas la parler en ce moment. Il n'y avait pas de doutes qu'elle découvera ses intentions et essayera de lui convaincre de pas aller après Éliam, et il ne voulait pas entrer dans une telle conversation.

Mais avant de partir, il remarqua vraiment Domino. Elle était blessée à la jambe, et avait du misère à simplement se tenir debout. Mais elle continua quand même à s'approcher de lui, même avec la douleur qu'elle avait. Et ceci a fait sortir une émotion autre que la haine; de l'inquiètude pour son amie.

Éliam temporairement oublié, Tirvor s'approcha de Domino. Lorsqu'il arriva, il la prenna dans un calin pour la soutenir, la tennant d'une facon pour enlever le poid de sa jambe blessée. Une foie qu'elle était stable, il la regarda dans les yeux. "J'ai pas encore eu la chance de te dire que je suis heureux que t'as survécue et que t'es encore ici avec moi." Domino pouvait voir qu'il était sincère dans ce qu'il disait, mais qu'il y avait aussi beaucoup d'autre émotions qu'il essayait de garder sous controle.

Maintenant que l`adrénaline de la situation venait de passer, les souvenir des derniers jours revenaient. Tout d`abord, il y avait Wulf qui agissait de plus en plus bizarre, Éliam qui tuait sans remord, quelqu`un qui avait ouvert le livre et finalement Nienna qui s`éloignait lentement du forestier.

Le forestier se sentait prit de tout côtés. Il aurait aimé pouvoir en parler avec quelqu`un, mais personne ne pouvait vraiment l`aider puisque tout le monde était suspect par rapport au livre. À qui pouvait-il vraiment parler?

Après que Lionel soit partit soigner d`autres blessés, Beregon vérifia si Winstroft allait toujours bien et il alla carrément s`écraser dans la forêt pas trop loin de son ami. Plus il pensait, plus il avait envit de tout laisser tomber et de quitter ses problèmes. C`est ce qui l`avait toujours gardé en vie après tout. À partir du moment qu`il avait décidé de s`en faire que pour lui, les problèmes avaient cessés de le suivrent. Cependant, depuis sa rencontre avec la meute, les problèmes avaient recommencés. Était-il vraiment condamné à ne jamais vivre paisiblement?

Aussitôt, il se releva pour se prendre la tête entre les deux mains. Ce n`était pas lui ca. Il devait arrêter de s`en faire. Oui les choses allaient mal, mais c`était la voie qu`il devait suivre. Puisque de toute facon, personne d`autre ne pouvait la suivre...du moins, c`est ce qu`il croyait. Si seulement il avait su...

Bien que le forestier n’avait pas crié, la brise avait tout de même porté ces mots jusqu'aux oreilles de Torek, mots qu’il n’avait pas entendu depuis son dernier séjour en Sahira. À cet instant même, tout devint clair, il ralentit, s’arrêta complètement, se retourna et fit de même, répondant «Alaykum As-Salām». Soudainement, son esprit était centré, tout était clair, et clairement quelque chose ne tournait pas rond, mais les gens sur place sauraient s’en occuper. Ainsi, Torek repartit au pas de course, disparaissant dans la forêt.

Sans savoir ce qui l'attendait à son retour, Éliam ne revint qu'au bout de quelques minutes.
Sa rencontre avec Wulf avait été des plus intense mais il semblait satisfait du résultat. Pourtant il revenait seul.
Il retourna directement vers Sir François où Laure-Emmanuelle et Domino se trouvait toujours.
Il jeta un regard rassuré vers Domino et lui dit tout bas:

- Je crois que tu auras droit à un répis. Wulf devrait te laisser tranquille... je l'espère. (clin d'oeil)

Il se releva puis s'approcha de Laure-Emmanuelle.
- Je crois que nous devrions se remettre en route. Plus vite nous nous éloignerons de cette endroit maudit et plus vite nous aurons la chance de peut-être revoir Sir François. Je sais que la nuit va tomber mais si on reste ici nous sommes trop à risque. Ce soir nous demanderons à Marie-Isabeau de nous faire une autre consécration et peut-être qu'ainsi nous libèreront l'âme de Sir François et qu'il pourra revenir. Je l'espère... sinon Nienna va devenir folle et nous pas longtemps après.

- Beregon! Beregon?

Quelqu'un lui pointa où ils avaient vu le rôdeur la dernière fois et il s'y dirigea rapidement.

- Je ne sais pas qui contrôle ce groupe en attendant que nous puissions faire de quoi pour Sir François? Mais il faudrait vraiment se remettre en route. La nuit tombe et je préfèreraits qu'on la marche. De toute façon je ne crois pas que personne puisse fermer l'oeil ici.

Éliam s'adressa à Beregon mais parla suffisamment fort pour que les autres autour entendent et puissent donner leur avis.
Voyant la mine qu'affichait son ami, il eu une bonne idée de ce qui le tracassait. Il mit une main sur son épaule et baissa le ton:

- Et pour ce qui est de ta Nienna, je ne crois pas qu'on la revoit tant et aussi longtemps que Sir François sera dans cet état. On devrait donc bouger.

Le forestier de questionna pas Éliam par rapport à l`absence de Wulf, mais son regard en disait long. Ou était-elle parti? C`était définitivement le monde à l`envers. Pendant le petit moment de répis qu`il avait eu, il en avait profité pour penser à ses problèmes et une seule solution lui était venue en tête. Il ne l`appréciait guère, mais c`était la seule chose qu`il pouvait faire pour la protéger. Lorsque Éliam mentionna Nienna, Beregon n`eu d`autre réaction que des paroles sans fond.

-Si elle juge important de se cacher, qu`elle le fasse. Je n`attend rien d`elle de toute évidence.

Il prit son sac, accrocha son arc à son dos, vérifia ses armes et débuta la marche.

-Ceux qui on affaire à la bilbiothèque ferait bien de se bouger le derrière, puisque nous partons maintenant.

Il se dirigea aussitôt vers le corps de Sir-Francois, le prit sur son dos (vive force 2) le plus respectueusement possible et passa devant tout le monde qui était encore assit.

Laure-Emanuelle essaya de se remettre de ses emotions mais c'etait plus fort qu'elle personne pouvais aider son mari. lentement elle leva les yeux vers Eliam.

-Maintenant ? ... Marie-Isabeau ne peu rien faire pour lui ? ...

Elle rebaissa la tete lorsque Eliam rejion Beregon. La comtesse se leva encore un peu ebranlé par les evenements et marcha vers Eliam et Beregon. Elle s'adressa aux deux.

-Eliam si il nous faut un Chef pour diriger ses gens je crois que peu-etre Wulf ou meme Beren serai a la hauteur. il nous faut quelqu'un qui a tout ses esprits. je voudrai bien prendre la charge mais je ne suis pas moi meme. Je reussi a controler un peu plus mes emotions mais ca me hante encore. je vais rassembler les gens et on pourra partir.

Lentement elle se tourna et commenca a rassembler tout les gens.

kirill ce levas de peine et misere. Sur ces guarde il se raprochas de cette forme humaine dans le boisé, l'épée a la main il étais pres a fair face a la mort ....

- Qui est-tu ? Allez répond moi .....

Aucunne réponce .... aucun mouvements. kirill continuas a s'avancer vers cette ombre.

Arriver a l'endroit il remarquas qu'une fois de plus ces yeux l'avais tromper, ce n'étais qu'une souche a la forme bizzard. Un arbre mort qui ce jouais du paladin ....

Apres quelque minutes de repos assie sur le tronc, Kirill anttendu une vois familliaire. Il prie ces choses et marchas pénniblement dans la direction ou la voie, les vois venais.... plus il avencais plus il anttendais parler.

Arriver dans un petit chantié il regardas un peu partous au tour de lui, en regardant sur ca droite il vue un homme en porter un autre et il dit:

- Beregon ?!?!?!?!