Un brin de répit...

Éliam n'aimait pas jouer les durs mais pleurer sur le corps de Sir François ne l'aiderait pas en ce moment.
Il aurait voulu consoler Laure-Emmanuelle mais les mots ne lui venaient pas. Il avait les idées ailleurs.

La peur d'une nouvelle attaque le poussait à faire bouger les choses et il fut très content de voir la vitesse à laquelle Beregon se leva pour se mettre en route.
Il s'approcha de la comptesse:

- Vous avez raison, il faut se secouer un peu. Mais j'ai comme l'impression que Wulf est dans une position actuellement pour prendre le lead d'un groupe. Et pour ce qui est de Beren, il s'est blessé aussi durant le combat et aura besoin de plus de soin une fois le matin arrivé.

Il la regarda avec un petit sourire en voyant Beregon prendre sur son dos celui qui lui avait permis de faire ses premières preuves.

- Je crois que Beregon en ce moment à les choses bien en mains.

Il posa la main sur son épaule et l'invita à r'assembler le gens comme elle l'avait suggéré.

Pour sa part il s'approcha de Domino maintenant seule puisque Klore suivit Beregon ou plutôt le comte sans jamais le quitter d'une semelle.
Il la ramassa la prêtresse délicatement. Il semblait beaucoup plus joyeux soudainement. Comme elle ne l'avait vu depuis plusieurs semaines.

- On dirait que tu pourras rebénéficier d'une petite promenade sur mon dos. Et en passant... nous sommes toujours en vie. Oui... en vie!

Sa réaction ne l'avait pas surpris lorsque'il lui annonça qu'elle ne devrait plus avoir de trouble avec Wulf.
Elle n'avait qu'haussé les épaules sans rien dire. Rien ne semblait la déranger ou l'effrayer.

Il se remis donc en route derrière Beregon mais s'arrêta brusquement en entendant quelqu'un crier ''BEREGON''.

Beregon ne croisa même pas le regard de la comtesse puisqu`il voulait éviter le plus de contacts possible avec elle. Il ne savait plus vraiment comment la percevoir. Éliam et elle avaient tous deux touchés le livre et il ne pouvait aucunement leur faire confiance. Peut-être que Légion était à quelque part dans l`un de ses corps et le forestier ne savait plus quoi faire à propos de cette situation. Quelqu`un avait volé le livre pour libérer Légion et ainsi, quelqu`un devait mourir aux mains du rodeur. Une chose était certaine, Beregon se souvenait très bien qu`Éliam l`avait vu cacher le livre et qu`en plus il l`avait rencontré à la sortie du fort, peu avant qu`il s`appercoive de la disparition du livre. Évidemment, Éliam lui avait dit qu`il allait rejoindre les autres au mur des morts, mais le doute règnait néanmoins dans la tête du forestier.

C`était assez clair pour Beregon. Si jamais il ne parvenait pas à trouver une solution pour détruire le livre à cette foutu bibliothèque, il allait quitter
définitivement le plus loin possible.

Tranquillement, il avancait sur le chemin et ne portait aucune attention à la personne qui criait son nom. Si c`était important, la personne devrait attendre au lendemain lorsque le groupe se reposerait à une plus longue distance de cet endroit maudit.

****

Après plusieurs heures de marche, Beregon déposa le corps de Sir-Francois tout prêt d`un arbre afin que Nienna puisse être tout prêt de lui. Cependant, le forestier ne porta aucun regard vers la forêt. Il se contenta plutôt d`aller de l`avant afin de surveiller les environs.

Ca ne fut que quelques instants que Tirvor avait Domino dans ses bras losqu'Éliam est revenu. Tirvor cessa de regarder Domino et regarda son enemi. La prêtresse qui le regarda encore a vue la confusion et mélange d'émotions dans ses yeux tout disparaitre et se faire remplacer avec un seul: la haine.

Tirvor voulait sortir ses armes et l'attaquer. Il lancera son défi pour un duel, et le tuera. Mais il ressenti Domino se déplacer dans ses bras pour voir qu'est-ce qui avait attirer son attention avec autant de haine. Tirvor savait qu'elle ne permettrait jamais un duel entre les deux. Même si c'était un duel honnorable, comme demandé par Valédens, elle s'interposerait entre les deux. Et fort probable les autres: Wulf, Bear, même Beregon qui était en train de quiter avec le corps de Sir François interferaient aussi. Non. Il faudra trouver un moment ou ils étaient seul. Un duel un-à-un. Ca prit tout sa concentration pour se retenir.

Domino, qui avait maintenant vue Éliam, était pour demander à Tirvor qu'est-ce qui se passait, mais avant qu'elle puisse le faire, il la déplaca pour l'accoter contre un arbre. Il s'apprèta à le laisser là, mais elle le retena et répèta son nom: 'Tirvor.' Encore une foie, la haine a disparue pour un moment, et il la regarda de nouveau. Elle pouvait voir qu'il retenait des larmes.

"Je ne peut pas te l'expliquer maintenant, mais je ne peut pas être ici lorsque Éliam arrive." Il prenna sa main en le serrant, puis dit. "Il faut que je parte. Désolé." Avec ca, il lacha sa main, se tourna de bord, et quitta vers le devant de la ligne... dans la direction opposé d'Éliam.

Losqu'il fut en avant, près de Beregon (qui avait encore le corps de Sir François), Tirvor arreta et regarda de nouveau en arrière. Domino s'était déplacée, et était maintenant à terre, mais elle regardait directement vers lui. Et encore, elle le distrayait de tout le reste avec ces yeux cintillants qui étaient juste pour lui.

Et ceci fini soudainement lorsqu'elle fut ramassé par Éliam. Encore Éliam. Il la prit dans ses bras, et il souriait. Tirvor senti la haine revenir encore plus fort. Il se tourna vers un arbre et le frappa avec un coup de point avec autant de force qu'il le pouvait. Le bruit du coup, qui a même attiré l'attention de Beregon qui se promenait un peu dans la lune juste à coté, surement indiquait qu'il a du avoir cassé quelquechose dans sa main. En le retirant, sa saignait, mais Tirvor ne ressenti rien.

Ignorant le regard inquisiteur de Beregon, il regarda de nouveau Domino... et ensuite Éliam. Je vais vraiment aimer le tuer, celui là.

Et Tirvor s'est mit à courir en avant de la ligne dans les bois...

Samia approche Éliam et lui demande de faire l'interprète avec Nienna. Elle se souvien que Sir François a acheté un baume de résurection avant que l'on parte pour la faille, mais n'a aucune idée ou Sir François aurait pu le cacher. Alors il serait très important de retrouver Nienna le plus vite possible et de trouver le baume de résurection pour l'appriqué le plustôt possible!

Le chevalier arretas de marcher et regardas le forestier passer devant lui avec un autre homme sur le dos, il semblais plus déterminer que jamais de prendre les chauses en main, il semblais aussi troubler apr quelque choses d'autre. Ces longs jours seule dans les bois si pres du murs des morts avais un peu troubler le chevalier alors il ce la fermas et commenca a marcher parmi le groupe.


Apres quelque heure de marche le groupe arreta pour ce repauser donc il en fis autant, un peu de repos lui ferais un grand bien... Ca jambes et sont lui fesais de plus en plus mal. il regarda au tour pour voir des gens troubler, blaisser et certain semblais effreyer.

Le chevalier resta assie .... impuissant devant la situation ...

Pendant que certain ramasse leur effet personnel la comtesse s'approcha des bois et appella Wulf avec une voix douce.

- Wulf ? ... tu es la ?

De ses yeux elle cherchai la guerriere en esperant de la trouver rapidement. Lorsque celle -ci ne repondit pas de si tot elle tourna les talons et aida les autres a ammasser leur bagages.

Laure-Emanuelle essaya fort de ne pas se remettre a pleurer mais les larmes coulait comme le ruisseau. Les gens debuta leur marche pendant que la comtesse resta derriere pour attendre Wulf. Elle se tenait debout perdu dans ses penser. Doucement les gens disparaissaient dans la foret.

La brise annonçant une nuit fraîche et Wulf encore occupée dans le boisé entendit le murmure de son nom. Les bras de Brigid la quittèrent pour laisser la guerrière retourner à ses devoirs. Elle était capitaine d'une unité et pour ce faire, elle devait retourner au poste même si ses pensées étaient ailleurs.

Lorsqu'elle sortit de l'orée de la forêt, Wulf fut surprise de trouver Dame Laure seule derrière le convoie. La pauvre femme avait une mine effoyable, et des cornes qui inquiétaientt Wulf de plus en plus.

-Dame Laure, il ne faut pas rester derrière.

Rapidement, elle pris le bras de la comtesse et la dirigea vers le groupe. Lorsque celle-ci fut entourée de gens fiables, Wulf traversa ,d'un pas assuré avec un brin d'une nouvelle légèreté ,le convoi pour se rendre à sa tête. Elle flaira l'air, ferma les yeux et dit à Beregon qu'elle ne voyait pas mais qu'elle savait pas loin:

-Vas voir devant et trouve un endroit sécuritaire pour la nuit . Plusieurs ont besoin de dormir et de se guérrir..ou du moins garder les plaies propre afin d'éviter les infections.

Wulf se retourna pour faire face aux voyageurs et éleva la voix. son ton était assuré et rassurant. Certains qui avaient vu Wulf blessée ont pu remarquer qu'elle était guérrie et pourtant elle n'avait fait appel à aucune magie.

-Je garderai la tête du convoie et Beren, Garan surveilleront les arrières. Nous en avons encore pour 1heure de marche. Aidez les blessés à se déplasser et Marie-Isabeau, Topanga veillez sur Dame Laure.

Elle se retourna vers Domino et Éliam...

-Domino....Éliam...une fois arrivés vous vous assurerez que les blessés demeurent hydratés et veillez à leurs bandages. Et tout ceux qui peuvent stabiliser les blessés veillez à cette tâche.

Rapidement, elle fit le décompte, sachant que certains préféraient voyager dans la forêt, elle comptait donc sur les forestiers pour limiter le terrain en forêt. Wulf savait que la meute était derrière elle alors assumerait la direction du convoit jusqu'à la bibliothèque.

Levant la tête, laissant l'air danser dans ses cheveux Elle tourna les talons à ceux qui la regardaient faisant voler sa cape en élipse et entama le pas. Wulf, la guerrière seule devant.

Décidément Wulf agissait de plus en plus bizarre. Était-elle aveugle ou elle ne voyait pas que le forestier tenait Sir-francois sur son dos? Malgré tout, il continua la marche sans vraiment écouter ce qu`elle avait à dire. Après quelques heures le groupe arriva à un endroit sécuritaire afin de se reposer un peu. (comme je l`avais déjà mentionné dans un post avant!!!)

Après avoir déposé tranquillement Sir Francois, Beregon s`installa seul dans la forêt. Il prit dans son sac, quelques feuilles de papier, de l`encre et une plume Lentement, il commenca à rédiger une lettre.

Lorsque Wulf gagna la tête du convoie, elle remarqua que trop tard Beregon qui avait trainé mon seigneur sur son dos tout ce temps. Pendant que celui-ci déposa Sir François, Wulf orchestrait les tâches de chacun et établit les tours de gardes ainsi que limiter le territoire du campement.

Elle suivit les traces de Beregon et le retrouva facilement grâce à ses sens plus aiguisés dernièrement. D'une voix simple et douce , elle s'approcha et lui dit:

-Beregon, t'as manqué mes directives du camp et les tours de garde... en en consédérant pas ton calvaire de livre et ta relation avec Nienna ça va? Tu sais que tu n'as pas à m'obéir comme un général.. je ne chapaute pas ce poste mais je prends juste le lead afin de rassurer les autres ... ceux qui n'ont pas l'habitude.

Elle regarda brièvement la lettre mais n'y compris rien et décida de s'installer au côté de son frère d'arme. Wulf aimait de plus en plus se retrouver en forêt.

-Beregon.. la lune sera pleine dans 2 jours.. et tu sais ce qui est arrivée à Brigid?.. jt'avoue que ça m'inquiète.

Elle respira l'air et sourit pour un bref instant, Beregon pu voir un nouvel éclat dans le regard de Wulf.

Beregon fut grandement surpris de voir Wulf l`approcher ainsi. Il remarqua que Wulf posa son regard sur la lettre, mais il allait seulement lui en parler plus tard. Ce qu`elle venait de mentionner l`inquiètait tout autant que ses propres problèmes à lui. D`un coup il déposa ses affaires, enleva son bandeau (ce qu`il fesait rarement) et accota sa tête sur l`arbre.

-Je suis désolé si j`ai disparut ainsi, mais les choses commencent vraiment à mal tourner dans ma tête et je ne sais pas trop comment tout bien gérer. Tu n`as pas à t`inquièter par rapport à moi par contre. Je vais prendre les tours de guardes qui me seront assignés et je ferai ma part comme tout le monde. Pour ca par contre, je dois me reposer la tête. C`est d`ailleurs pourquoi j`écris présentement. Je suis en train d`écrire à l`inquisition Dévonienne pour faire une demande.

Il l`a regarda dans les yeux lorsqu`elle mentionna la pleine lune.

-Je ne sais pas ce qui va t`arriver à ce moment, mais j`espère vraiment que tu ne te transformeras pas…Si c`est le cas, on va trouver une facon de t`aider…on réussit toujours après tout…

Wulf le voyait très bien, Beregon était à bout et il était possible de lire que le désespoir dans son regard. Il n`en pouvait tout simplement plus.

-Par rapport à Nienna, sache que tu avais raison…les relations nous écartent de notre fonction. Je ne peux pas me permettre d`aimer ouvertement quelqu`un. Je ne pourrai jamais le faire…

Sur ces dernières paroles, Wulf baissa les yeux et en savait soudainement quelque chose...

[b]-je sais... mais je crois que l'amour pour quelqu'un fait en sorte que nous voulons resortir de ces foutus aventure toujours vivants...

Wulf fut quelque peu surprise de cette déclaration.

-Cependant Beregon, sache que je ne ressens pas la malédiction en moi.. mais pas assez puissante pour une transformation mais le changement qu'a subit Brigid m'affecte bizzarement. La lune ... j'ai le besoin et le désir de l'honorer .. de participer à ses rites.. et pour cela je dois .. j'ai le goût de chasser. Bon tu vas me trouver drôle mais bon .. cependant je ne ressens pas de mauvais dans tout cela... et je t'en parle parce que tu es mon frère et tu connais bien la nature. PEut-être sauras-tu m'aider comme je vais t'aider. La meute.. se mobilise pour réduire ce livre ou te libérer de cet emprise.. Je veux te redonner ta liberté Beregon .. tu a mauvaise mine et un lourd fardeau sur les épaules.. faut que ça cesse.[b]

Wulf se tourna vers lui et il pu voir la sincérité dans les gestes et paroles de la guerrière.

-Beregon, laisse la Meute pour un instant, regarde moi Wulf et partage ton fardeau.. tu sais que je suis ici sur cette planète pour alléger le monde de l'emprise du mal.. alors laisse-moi partager tes inquiétudes.

Trop de gens avait pris pour acquis la guerrière dernièrement la réduisant à de simples tâches de garde de porte, attaquante au front sans jamais l'informer de leurs inquiétudes et surtout de la meute. Winsthroft en était une belle démonstration 2 fois avait-il menti à Wulf et caché ses dessins...mais fallait-il ne pas oublier qui elle était.

-Parle moi Beregon .. tu serais surpris à quel point jpeux être bonne à écouter!

Beregon futr surpris de voir apparaître un regard espiègle et rieur sur le visage de Wulf. Elle ne semblait plus froide et distante.

Le forestier hésite un bon moment avant de reparler. Ce qu`il s`apprêtait à dire pourait avoir des répercutions à long terme. Lorsque Wulf lui souria, il réalisa à qui il avait affaire et parla.

-Je crois qu`Éliam à ouvert le livre. Je crois qu`il s`est emparé du livre lorsque je n`étais pas présent et je crois qu`il avait comme objectif de l`ouvrir, laissant ainsi Légion s`installer dans le corps de Laure pour finalement laisser le livre à un endroit évident afin que je le trouve et le referme sans me poser de questions. Légion est libéré à nouveau Wulf...

Le forestier frotta ses yeux. Beregon pleurait.

-Je n`en peux plus Wulf...je n`en veux plus de se livre. Tien!! prend le!! je te le donne.

Il voulu lancer le livre dans les mains de son amie, mais il en fut incapable. Au lieu de ca, il lanca le livre le plus loin possible dans la forêt pour ensuite crier toute la rage qu`il avait accumulé depuis le temps. Tout en criant, il fixait Wulf et s`enrageait contre elle. Par contre, Wulf resta indifférente à l`homme. Beregon accoura ensuite vers le livre, prit sa hache et frappa le plus fort possible sur celui-ci. Il frappait, frappait et frappait encore, sans aucuns résultats.

Les maisn de Wulf empoignèrent les épaules de Beregon par derrière. Elle fit en sorte que sa rage se calme et le maintenait dans ses bras ainsi pour quelques instants. Sa caresse n'avait pour but que de libérer le fardeau que Beregon supporta. Finalement, elle le retourna vers elle.

-Si légion est sorti Beregon , tu en es pas responsable.. nous le sommes tous.. et je le suis tout autant.. j'aurais du t'accompagner d'avantage et partager avec toi le guêt de ce livre maudit. Je crois que pour te libérer de ce livre Légion devait sortir. Et qu'il vaut mieux le détruire, oui le renvoyer en enfer plutôt que de l'enfermer dans un objet sur lequel n'importe qui peut tomber. Selon moi c'est le seul moyen de mettre fin à ce fardeau!!!

Pour un cours isntant son visage deveint sombre et fragile à la fois.

-Éliam tu dis.. pourtant....

Elle secoua sa tête comme pour chasser quelques souvenirs récents.

-Oui Éliam.. il faudra aussi garder un oeil sur lui.. Il vit des chagement de comportement sombres et douteux.

Wulf se laissa choir sur le sol et adossée contre un arbre afin de réflichir à une stratégie.

La force de Wulf aurait été suffisante poute retenir le forestier, mais c`est plutôt autre chose qui lentement le calma. Il recommencait à respirer tranquillement lorsqu`il réalisa ce qu`il venait de faire. Il prit une grande respiration et s`agenouilla pour reprendre le livre, qui n`était absolument pas abîmé. Il le serra dans son sac et en sortit son bandeau. Il fixait le chemin, ou était présentement Éliam. Celui-ci était en train de parler avec Domino.

Beregon remit son bandeau regarda vers Wulf.

-C`est simple, nous devons lui parler et surtout le faire parler. Suffit de l`éloigner de cette Domino, et nous pourrons peut-être avoir un peu de temps avec lui. Je te laisse aller chercher Winsthroft? Ou peut-être préfères tu aller chercher Éliam?

Il se dirigea en direction de Winshroft sans même attendre la réponse de Wulf. Avant de trop s`éloigner, il se détourna pour sourire à son amie.

-Je commence de plus en plus à croire que les anges existent...mais peut-être pas comme nous le pensons.

Il lui fit un clein d`oeil.

Elle n'eut le temps de riposter que Beregon se dirigea vers Winsthroft. D'un pas calme et quasi trop léger, Wulf se dirigea vers Élaim et Domino.
Sa voix était ferme et douce :

-Jm'excuse Domino...

Se tournant vers Éliam:

-Éliam on aurait une petite réunion la Meute. On t'attend.

Wulf s'était approcher des deux calmement et n'avait dit aucune paroles désagréables sur Domino ou Éliam même.

Éliam fut un peu surpris de voir Beregon ignorer ainsi Kirill mais invitant ce dernier à les suivre il poursuivit.

Domino pour sa part était bien silencieuse. Il regardait à l’occasion par dessus son épaule pour voir ses beaux grands yeux fixer l’horizon. La profondeur qu’il y lisait lui fit comprendre qu’elle ne regardait pas vraiment au devant mais qu’elle était plutôt perdue dans ses pensées.
Très discrète depuis leur rencontre, il préféra garder le silence se doutant bien qu’elle refuserait d’en parler durant le voyage. Une fois arrêté et soigné, ils auraient tout le temps d’en reparler.

Lorsqu’enfin Beregon s’arrêta puis déposa Sir François, Éliam ne se fit pas prier pour déposer Domino au pied d’un arbre bien confortable. Il repris son petit sac et ses armes que Topanga avait gentiment transporté pour lui. A plusieurs reprises elle lui avait offert de le remplacer mais son orgueil l’avait poussé à refuser.

Aussitôt prêtres et prêtresse se mirent en prière pour ensuite terminer de soigner les blessés restants. Éliam tenta de nouveau d’aider la pauvre jeune femme mais n’y fonctionnait.

Rapidement le camp se mit en place sous les directives de Wulf. Une fois un feu allumé, Éliam y fit réchauffer un bout de viande séchée et le partagea un peu autour. N’étant naturelement pas suffisant mais les quelques miettes retantes à gauche et à droite leur permettraient d’attendre au matin pour chasser et cuillir des fruits dans cette zone où la nature semblait avoir repris un peu le dessus.

Au moment où il pensait pouvoir entammer une discussion avec Domino, il vit Wulf venir s’excuser auprès de la prêtresse avant de le quérir pour une rencontre. Il resta vraiment surpris par son attitude mais bien fier que leur petite rencontre ait portée fruits.

Il regarda Domino puis s’excusa à son tour avant de se lever et suivre la guerrière.

La Meute se réunissait enfin depuis un long moment.

(Pour la réunion vous devriez partir un autre post. J'ai comme l'impression que ce sera long avec tout ce que j'ai pu voir )

(Pendant la discutions avec Lillaké)

Winsthroft ne savait plus quoi dire. Une partie de lui aurait voulu répliquer que de se sacrifier pour les autres quelque chose d’inutile, que de toute façon il y avait toujours une autre solution à exploiter. Et que dans les cas on il n’y avait pas d’autre solution, c’est la vie des gens faibles et inutiles qu’il fallait sacrifier avant. Mais le fait qu’elle mentionnait que pour une fois elle avait un but lui empêchait de répliquer ce genre de chose. « Peut-être… » fut la seul réponse du jeune homme.

Quelque instant passa puis les deux survivant de la passe décida qu’il serait plus sage de rejoindre les autres. Rendus au campement ils se séparèrent et alla chaque un de leur coté sans rien se dire de plus. En fait Winsthroft n’adressa la parole a personne jusqu’à ce que le groupe prenne une pause de la marche forcé. Il vérifia s’il pouvait encore aider quelque blesser, mais se rendis vite compte qu’encore une fois la situation le rendait inutile.

Il s’accota donc sur un arbre et resta seul dans son coin jusqu’à ce que Bérégon l’approche. Quelque chose dans la démarche et l’allure générale du forestier démontrait qu’il était troublé.

- Sa va Bérégon?

En chemin vers Winsthroft, Beregon remarqua que Kirill était parmi eux. Comment était-il arrivé la lui? Il se souvint soudainement qu`il avait cru entendre sa voix quelques heures avant. Enfin bref, la discussion avec la meute était trop importante pour encore une fois s`arrêter à une autre conversation. Il continua donc sa marche vers Winsthroft. C`est à ce moment que celui-ci lui parla en premier. Le forestier voulait répondre que tout allait bien, mais rien n`allait bien.

-Il y a une rencontre entre la Meute. C`est moi qui à fait la demande. J`ai besoin de questionner quelqu`un du groupe et j`ai besoin des autres pour l`empêcher de s`enfuir si le pire arrive.

Il se retourna pour aller rejoindre les autres, mais s`arrêta aussitôt. Il avait changé depuis quelques temps, et il ne devait pas laisser l`ancien Beregon refaire surface. C`est donc ainsi qu`il souria à son ami.

-Ne me dis pas que tu veux que je te porte tout de même?

C`est ainsi que les deux aventuriers se réunirent avec Éliam et Wulf. L`endroit choisi était parfait. Une petite clairière pas trop loin du groupe qui permettait néanmoins un peu de tranquillité. Les deux autres était déjà placé pour former un cercle. Beregon et Winsthroft prirent place. En ordre, il y avait Wulf, Éliam, Beregon et Winsthroft.

Aussitôt, Beregon ne laissa aucunes paroles sortir de la bouche de ses amis. Il prit son sac, en sorti le livre et le lanca au centre du groupe. Les quatres amis étaient tous debout à regarder le livre qui était au centre.

Domino était vraiment perdu dans son monde. Depuis qu’elle reçu ce coup fatal à l’entrejambe (ahem, crotchshotofYAB) et que l’inconscience prit le contrôle – son état fit surface une fois de temps en temps. Comme si dans un rêve, elle se souvient que quelqu’un l’aille ramasser sur le chemin vers la Grande Bibliothèque et lui a murmuré que tout serait correcte. La voix ressemblait étrangement à Tirvor, mais reste à savoir si c’était la réalité ou non… Ensuite c’était la scène avec Sir François et la bille blanche. Son incapacité de le guérir l’avait confuse. La défaite dans les yeux de Laure-Émanuelle était touchante, mais en même temps curieuse. Domino ne savait pas que celle-ci avait des sentiments pour cet homme qu’elle nommait « Son mari ». L’état de Tirvor l’inquiétait beaucoup. Domino ne savait pas si sa disposition était à cause de cette Isadora encore une fois. Elle cru avoir vu Tirvor la portant dans ses bras avec beaucoup de haine dans le regard. Le hasard fit qu’elle ne pu se rendre à lui à temps pour lui parler. Son énergie était à bout – elle n’en pouvait plus. L’humeur d’Éliam qui avait définitivement changé la bafouilla encore une fois de plus. Les hommes de ce convoi étaient toujours là pour lui changer les idées et lui mettre le sourire, ainsi que de l’empêcher de réussir ce qu’elle a été envoyé à faire. Mais Hop ! une fois de plus, le train était en marche. Pendant la marche, Domino repensa à plusieurs choses. La scène violente du lac, de l’orc, de Tirvor, d’Isadora, la meute… Toutes ces histoires et aventures qui unissaient cette bande.

Lorsqu’Éliam la déposa, il avait l’air de vouloir lui parler, de se vider le cœur, d’être curieux. Qu’elle réponde aux questions qui lui tracassaient l’esprit… Wulf vint le chercher, et à la surprise de Domino, semblait beaucoup plus douce avec celle-ci. Encore une fois, Domino croyait qu’elle rêvait.

Domino dirigea son regard vers la forêt… Tirvor ne s’était pas montré encore. Elle ne l’avait pas vu depuis le dernier arrêt. Pendant la longue marche, elle laissait des morceaux de rubans tombés, pour qu’il puisse trouver son chemin. Ces rubans étaient quelques fois noirs, quelques fois blancs. Elle esperait qu’il réaliserait que c’était elle.

(Voir autre poste pour la suite… )

Un cri percant se fit entendre dans le campement et fini par des echo dans la foret, un cri pour alarmer tout ce qui était tout près.

-NNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNN

d'un coup sec elle se redressa de son arbre et regarda autour d'elle mais elle ne vit rien, le noir total

- y'a quelqu'un ... ? ... pourquoi il fait si noir ? .... vous avez pas fait de feux?

d'un pas ebranller elle se leva et mit ses mains devant elle pour ne pas faire face a un arbre.

- pourquoi il n'y a personne ?

les gens qui était proche se demandais pourquoi elle etait ainsi le feux rechauffait bien les gens et il y avait assez de lumiere pour le campement entier. C,etait evident que les reve de la comtesse se manifestait dans le monde réel.

-répondez moi !

Depuis quelques temps déjà, Topanga gardait son œil sur la comtesse. Cette fois-ci, le cri était plus fort que les autres, elle savait que quelque chose n'allait pas. Topanga se réveil donc en sursaut, s'approche de la comtesse et lui met ses mains sur ses épaules pour lui démontrer qu'elle est là:

-Emma....c'est moi, Topanga, je suis là!...Qu'est-ce qu'il y a?

Lorsque Topanga deposa ses mains sur ses epaules, Laure-Emanuelle sursauta. Dans tout ses etats elle chercha le visage de la guerrière avec ses yeux.

- Topanga je ne voie plus .... pourquoi il n'y a plus de lumière ? il y a du danger .. c'est Legion ... il a apparu ? ...

avec la lueur du feu Topanga vue que les yeux de la comtesse etait recouvert d'un voile grisatre. ce qui a pue expliquer l'aveuglement de la comtesse.

- je croyais que les cauchemars avait arreter , mais je me suis tromper il son encore plus noir que d'habitude . je suis plus capable de suporter ces terreur. vous connaisser quelque chose qui pourrai m'empecher de dormir ?

laure-Emanuelle ne regarda pas Topanga dans les yeux, ceux-ci etait sans expression .

Topanga ne comprenait pas se qui se passait. Elle ne pouvait pas comprendre comment ceci arrivait à Emma. Lorsqu'elle prononça le nom de Légion, une certaine haine venu s'installer en elle et pour un court moment les pensées de ce que Légion avait fait à sa famille lui venu à l'esprit. Mais non, elle ne pouvait pas penser à cela à ce moment même, elle devait aider Emma. Topanga gardait toujours ses mains sur les épaules de La comtesse pour faire en sorte qu'elle puisse avoir un minimum de réconfort.

-Emma, À ma connaissance, il n'y a aucune présence de Légion!

-Je le sais que c'est peut-être difficile pour le moment, mais essaye de rester calme, on vas arranger ce qui se passe et faire sortir ce bordel de Légion qui est en toi une fois pour toute! Si tu veux je peux rester avec toi, ou je pourrais aller chercher quelqu'un qui t'est plus proche ou que tu aimerais mieux en ta présence, mais je dois définitivement aller voir pour quelqu'un qui pourrait t'aider pour tes yeux!

Topanga resta donc avec la Comtesse jusqu'à ce qu'elle lui dise quoi faire. Elle ne voulait pas l'abandonner, mais ne voulait pas la voir souffrir comme elle le fessait depuis maintenant quelque temps.