Firenze, l'enquête se poursuit

Après s'être arrêté ''Au Chaud Chaudron'', tous furent probablement drogué et enlevé pour se retrouver séparé dans un dongeon apparemment amménagé pour le bon plaisir du Marquis de Sadis.

Heureusement ils en étaient tous sortit sain et sauf. Retrouvé par Portos qui avait finalement bravé le froid pour venir au secour de sa belle, ils furent tous conduis au village le plus proche où il trouvèrent de quoi manger et des vêtements chaud pour remplacer les leurs. Mais qui les avaient enlevé?
Est-ce que le Marquis était complice aussi de l'enlèvement de la Princesse?

Il faudra poursuivre l'enquête pour le savoir.

A la première occasion Éliam avait remis l'épée d'argent à Sir François. Cette marque de confiance l'avait profondément touché.

- Je vous remercie pour tout. Ce fut un plaisir de combattre à vos côtés et Niena une fois de plus. (clin d'oeil à Niena)

Il s'éloigna et alla prêt du feu chasser les quelques frissons qui parcouraient encore son corp gelé.

Mais pourquoi les avaient-ont apporté en Firenze? Est-ce que Faolan s'y trouvait déjà? Et ce Marquis de Sadis, il aurait bien aimé lui dire quelques mots du genre ''Wulf va te faire regretter notre enlèvement'' et Sir François siègera bientôt sur ton trône.

Sortant de ses pensées Éliam vint rejoindre Wulf.

- Tu m'as manqué. J'ai eu très peur de plus te voir. Et d'ailleur j'aurais aimé t'avoir à nos côtés dans ce dongeon de merde. Certain ont faillit y laisser leur peau. Mais j'ai suivit tes instructions et je me suis bien battu. Tu vas voir, je vais devenir un bon guerrier. Si Windstrof est ton bras droit, je serai le gauche dans ce cas.

Se tournant vers le reste du groupe...

- Quelqu'un a une idée d'où chercher maintenant?

Wulf songeait aux derniers évènements pendant qu'elle se réchauffait près du feu. Elle n'observait pas les allées et venues des autres tant qu'elle essayait de trouver le sens de cette aventure dans les quartiers lugubres du comte de Sadis.

Son regard fut attiré par l'arrivée d'Éliam près d'elle. Il avait les yeux brillants et vifs. Il ne pouvait caché le plaisir qu'il avait eu pendant cette aventure. La guerrière fut touchée par la sincérité d'Éliam mais quelques soudaines paroles la marquèrent.

- euh... Winstroph est un ami d'enfance, il n'est pas mon bras droit mais seulement un grand ami qui se trouve au bon endroit au bon moment. Tu m'as manqué??


Ces mots d'affection frappèrent la guerrière qui réalisa qu'Éliam avait manqué certainement la force et le courage de Wulf plutôt que sa compagnnie.

-Tu t'es bien débrouillé sans moi Éliam... Bravo!

Une soudaine inquiétude envahissa Wulf. Éliam devriendra un bon guerrier, il ne sera plus qu'un simple serf. Il devriendra beaucoup plus difficile de le rendre libre à présent. Wulf continuait de ruminer cette pensée pendant qu'Éliam tentait de s'informer de notre prochaine direction.

Décidément, les problèmes ne cessaient de les suivres et bien qu`il était épuisé, le rodeur tentait, comme à son habitude, de ne pas le démontrer. Puisque le groupe était en pause pour une période indéterminée, il en profite pour bien netoyer et réparer son équipement. Il s`était installé non loin du feu, tout en gardant un oeil ouvert sur les lieuxje ne spécifie pas auberge ou foret puisque je ne comprend pas trop ou nous sommes présentement). Encore plus que jamais Beregon détestait la présence de tout ces inconnues parmi le groupe et il ne fesait toujours pas totalement confiance à Wilson...

Ce nom lui disait quelque chose et depuis qu`il avait joint le groupe, Beregon tentait de trouver d`ou il avait entendu parler de ce Wilson...suposément rodeur des milandes.

Lorsqu`un moment de silence se présenta, le rodeur parla:

-Après avoir fait la vérification de mon équipement, je vais aller faire un tour dans le coin, je vais tenter de trouver des pistes ou des informations pour nous aider. Je crois pouvoir vous rejoindre d`ici peu de temps. Wilson restera avec vous pour le moment, donc vous aurez ainsi un rodeur comme guide si vous le voulez bien.

Sur ces dernières paroles, il se leva, accrocha son carquois et bouclier à son dos, serra son épée et sa hache dans leur fourreaux. Après s`avoir bien couvert contre le froid, il prit son arc pour se préparer à quitter.

Tout le temps après que le groupe d'aventurier soit sortie du dongeon, Winsthroft resta silencieux. Il était songeur, mais ne semblais pas disposé à en parler aux autres. La seule à qui il aurait voulut parler était déjà occupé à parler avec Éliam. Pour l'instant il ne faisait que suivre le groupe sans rien dire.

Il réfléchissait. Il y avait certains détails dans le dongeon du marquis de Sadis qui avait fait resurgir de vieux souvenirs d'enfance. Pour la majorité de gens, ce n'était que des détails insignifiant, mais Winsthroft les avaient remarqué. Le jeune homme semblait au plus profond de ses souvenir et, l'instant d'une seconde, il eu un visage effrayé. Il venait d'imaginer se qui aurait pus se passer si les kidnapeurs avait été ceux de son ancien seigneur. L'idée le troubla énormément, mais Winsthroft le cacha tout de même aux autres.

Puis le dernier commentaire de Beregon le fit sortir de ses souvenirs. Le rodeur allait partir. Peut être seulement temporairement, mais il allait tout de même partir.

Winsthroft regarda le groupe, puis regarda Beregon qui commençait a s'éloigner. Finalement le voleur pris un décision. Il prit une feuille de papier ainsi qu'une plume, écrivit rapidement quelque chose puis attendit le moment ou personne ne semblait regarder dans sa direction. Lorsque le moment arriva, il s'éclipsa sans que personne ne le remarque en laissant derrière lui la petite note. Beregon allait avoir de la compagnie.

Winsthroft continua sont chemin jusqu'à se qu'il rattrape le rodeur, mais il ne signala pas sa présence. Tester les aptitudes de Beregon allait être un jeux intéressant.

Sur la note, on pouvait y lire : "Je reviens bientôt".

Wulf : Repose-toi bien cette nuit Éliam, la route risque d’être longue demain à l’aurore. N’oublie pas de changer de chaussettes afin d’éviter des engelures.


La guerrière aimait taquiner Éliam et elle se surprit à regretter son futur départ car elle appréciait de plus en plus sa compagnie.

Après avoir ingurgité un bouillon chaud, Wulf se dirigea vers la tente principale. Elle installa sa couche où elle découvrit un message qu’elle s’empressa de lire.

Message : "Je reviens bientôt".
Signé: Winsthroft


C’est avec désolation qu’elle réalisa que Win avait quitter le groupe et elle s’accusa de ce soudain départ.

Wulf : Je t’ai négligé Win.. je suis désolée.. quelle genre d’amie suis-je…Tu sais comment je suis maladroite dans ce genre d’affaire. *soupir*

La jeune guerrière s’agenouilla et implora doucement Bridgid, la déesse de la guerre.

Wulf : Gente de dame de la guerre, Bridgid.. je demande humblement de protéger Éliam, Winsthroft et Beregon des futurs obstacles qui croiseront notre chemin. Je sais que les affronts se multiplieront et je reconnaît ta force en moi mais ceux –ci ne sont pas bénis des Dieux comme votre fille. Alors je demande de veiller sur eux et je sais que tu exauceras ma prière car c’est ta fille Kaerian qui le demande.

Éliam: Kaerian?
Ayant suivis des yeux la grande guerrière qui quittait, Éliam avait ingurgité rapidement ce qui restait de sa soupe afin de la suivre et rejoindre les autres en même temps. La surprenant à converser et prier tout haut en compagnie de Winsthroft (c'est ce qu'il croyait ne sachant pas qu'il avait quitté avec Beregon), il se retourna et sans un son regagna la petite auberge.

N'ayant pas suffisamment de place pour héberger tous les nouveaux arrivant, une grande tente chauffée fut érigé contre une des parrois extérieur de l'auberge. Les chambres étant bien sûre réservées pour Sir François, Portos et ses hommes de main.

Après avoir tiré la langue à Wulf sur la remarque de ses chaussettes, il réalisa que dans son très peu de stock il n'en avait pas d'autre. Il décida donc de rester de longues heures assoupie près de la cheminé attendant que son linge soit bien sec. A son réveille, aux petites heures du matin, il se surpris de trouver Sir François encore réveillé une tasse de liquide chaud à la main. Il regardait silencieusement par la fenêtre.

Croyant qu'il serait déplacé de le questionner sur ses pensées ou inquiétudes, Éliam préféra tenter de lui changer les idées.

Éliam: Mon Seigneur? Que savez-vous au juste sur cette grande guerrière qui a accepter de vous servir pour un an de ma libertée?

In general, Nienna stays close to Sir François and remains quiet, as usual.

When Éliam comes in to talk to Sir François she nods a little hello to him and then quickly heads out to give them some privacy.

She stays alert while she is outside and heads into the woods a little bit, avoiding the others in the group, and disappears amongst the trees only heading back once Éliam is finished meeting with Sir François.

Sans dire mot à personne, Wulf se dirigea vers un espace relativement dénudé afin de s'entraîner. Parades, moulinets, changeant son rythme d'attaque et maintenant un équilibre parfait entre ses mouvements, elle s'adonnait à ces multiples techniques afin de garder sa forme et sa précision. Elle répétait ses gardes comme si elle se protégeait d'un ennemi invisible: la dent du sanglier afin de protéger la sénestre de sa jambe suivit de la porte de fer, pour finir avec la garde de la barrière.

Les goutelettes de sueur ruisselaient sur son front, ses épaules et sur son galbe. wulf ne semblait pas se préocuper de cet exhébition et après afoir repris son souffle, elle recommença ses prouesses de combat.

Il fallut à François quelques instants pour s'extirper de ses pensés, lorsque Éliam vint le rejoindre. Il indiqua à Éliam la chaise que Nienna venait tout juste de quitter..

François: Ce que je connais de Wulf, Éliam..? Hmm.. Et bien, je suppose que je n'en connais pas particulièrement plus sur elle que les autres voyageant avec nous... Je connaissait déjà sa répuation de guerrière lorsque j'ai retenu ses services, bien sûr. Mais, je suppose qu'à se point-ci, tu te trouves à la connaître un peu mieux encore, puisque ça fait déjà plusieurs semaines que tu voyages à ses côtés...

Éliam se surpris de ne pas avoir remarqué Nienna et sursauta légèrement. Il adminrait énormément cette femme mystérieuse et si réservée. Il aurait bien aimé connaître son histoire qui doit être incroyable.

Éliam: Sorry Nienna I didn't saw you.... You don't have to go. I have nothing to hide.

Elle le salua d'un signe de la tête et poursuivit sa route jusqu'à l'extérieur.

Il se retourna vers Sir François et poursuivit la conversation.

Éliam: C'est vrai que j'en beaucoup appris avec elle et sur elle. En fait surtout sur sa façon de se battre puisqu'elle est plutôt réservé et mystérieuse elle aussi. Je viens d'apprendre que ma liberté temporaire est dû au fait qu'elle vous ait vendu ses services pour un an. Avoir su qu'elle était la monnaie d'échange je n'aurais jamais accepté. Je n'arrive pas encore à comprendre son geste.

Éliam: Je vais vous laissé à ses pensées qui sembles vous tenir réveiller et je vais tenter d'aller dormir à mon tour. Mais j'aurais une dernière question hors contexte comme ça... est-ce que le nom de Kaerian vous dit quelque chose?

Pendant ce temps, Wulf qui avait terminé sa session d'entraînement, se dirigea vers le bassin d'eau afin de s'y rafraîchir. Sachant que tout le monde vaquait à ses affaires, elle prit le temps d'enlever son armure et tout son équipement de combat. Après l' avoir étendu au soleil, elle remplit sa gourde et s'installa sur un petit monticule sur lequel elle pouvait observer la forêt.

La brise printanière fit frisonner la guerrière qui s'enroula rapidement dans sa cape ornée de fourrures. Sans son armure, on pouvait deviner l'allure plus féminine de cette guerrière légendaire.

Elle demeura là dans un silence presque divin à contempler la nature comme le ferait une romantique en songeant à son amant.

Lorsqu’enfin Éliam ouvrit les yeux, il était déjà tard dans l’avant-midi. La grande tente maintenant vide, personne ne l’avait réveillé. Il enfilla sa grande cape puis se pointa le bour du nez à l’extérieur pour y découvrir un magnifique paysage.

Le vent c’était calmé et un soleil radieux s’offrait à eux. Il demeura un moment les yeux fermés à laisser la chaleur des rayons lui renouveler son énergie. Il remarqua bientôt Wulf près du bassin et s’y dirigea lentement.

Éliam: Bon matin. Désolé de me lever si tard, j’ai eu de la difficulté à m’endormir. Je te suivais hier soir pour aller me coucher mais comme j'ai surpris ta conversation avec Winsthroft, j'ai préféré vous laisser seul et je retourné sècher mon linge près de la cheminée.

Wulf fit un sourire enigmatique vers Éliam.

WULF: Winsthroft? Impossible, Elliam...Il a quitté le campement depuis deux jours déjà.

Wulf tenta de se rappeler quelle conversation Éliam aurait bien pu entendre puisqu'elle passe ses journées seule. Soudain, elle se rappela ses prières solitaires.

Wulf: Tu as peut-être tomber sur une de mes pr^ères à la grande déesse de la guerre ... celle que je vénère comme guerrière . C'Est elle quyi me donne la force, le courage et qui me protège. Je lui demande souvent de veiller sur mes coéquipiers.

Si le jeune aventurier portait attention au regard de Wulf, il aurait pu la voir rougir. Mais elle tenta habilement de changer de sujet.

Wulf: Bientôt nous reprendrons la route et qui sait ce que nous rencontrerons.. l'affaire des driades n'est pas résolu à ce que je sache..


Wulf aimait bien taquiner Éliam.

Éliam: Ne change pas de sujet. Donc comme ça tu te parles seule lorsque tu vas te coucher. Est-ce que la folie serait en trein de s'emparrer de toi?
Je t'ai pourtant bien entendu parler à Winsthroft. Mais où est-il partie? Et Beregon? Je ne l'ai pas vu depuis un bout. Pourquoi ils n'ont rien dit? Le quatuor tombe à l'eau déjà?

Éliam cessa alors toutes ses questions en réalisant l'air surpris de Wulf.

Éliam: Je suis désolé. Tout ce froid, cette neige, les dryades et ce maudit marquis de Sadis...
Et maintenant, comme je pensais pouvoir partir en aventure, j'apprend que tu as acheté ma liberté en t'attachant toi même à Sir François. Au diable la grande aventure s'il faut que tu restes à son service. C'est pour ça que les deux autres ont quittés? ca n'avance pas assez vite pour eux probablement. T'as raison, nous devrions nous remettre en route. Je vais aller préparer mes affaires.

Avant qu'Éliam ne quitte, Wulf l'accrocha par le capuchon et le poussa sur la pierre derrière eux. Celui-ci n'eut le choix de s'asseoir. Malgré la force de la guerrière, son geste était particulièrement tendre.

Wulf: Oh la!! Éliam.. depuis quand que prier à sa divinité s'apparente à la folie?? Oui je pris Brigid tout haut mais je ne serais pas qui je suis si je ne lui rendais pas hommage quelques fois.

Elle prit une grande inspiration car elle n'avait pas l'habitude de raconter sa vie.

Wulf: bon écoute-moi Éliam parce que je ne manie pas aussi bien les paroles que l'épée. Beregon est un rôdeur et il est très difficile de maintenir ce genre d'aventurier en place dans un campement et rassure-toi, il reviendra au réveil de la forêt. Pour Winsthroft.....Bien.. nous sommes des amis d'enfance... il reviendra..

**soupir**

Wulf: Ta curiosité , Éliam, me coûte cette conversation mais je veux bien l'avoir avec toi...peut-être sont-ils partis parce que je suis au service de sir François en gage de ta liberté provisoire. Qu'à cela ne tienne... ils reviendront car nous avons une mission commune...

Elle détourna son visage afin de perdre son regard dans la forêt.

Wulf: Je ne voulais pas que tu saches le pris de ta liberté Éliam.... euhh...Il est vrai que j'ai promis mes services à ton ancien maître mais je ne pouvais plus te voir réduit à ramasser du bois et servir tel un hôtelier ton seigneur. La flamme que je vois en toi avait besoin de cette liberté.

*silence*

Wulf: Mais retiens cette leçon.. ce n'est pas parce que nos coéquipiers sont loin de nos yeux qu'ils ont abandonné le quatuor... tu verras lorsque nous reprendrons la route... ils nous rejoindront. J'ai une confiance aveugle envers eux.................Profite de ce moment d'Arrêt parce que mes entretiens avec la déesse Brigid annoncent des temps plus troublés.
Y-a-t'il d'autre choses pour rasasier ta curiosité Éliam??


Wulf lui fit un sourire tendre avant de se lever les mainssur les hanches et le regard au loin!

Éliam resta extrêmement surpris de voir avec quelle facilité la guerrière l'avait transporter du point A au point B. Elle possédait une si grande force pour une femme.

Il réalisa que sa remarque l'avait blaissé profondément. Mais malgré toutes les explications il ne comprenait toujours pas pourquoi elle c'était privée de liberté pour que lui puisse y goûter un peu.

Éliam: Je suis désolé ce n'est pas ce que je voulais dire.
Par contre, si tu dis que nous sommes égaux, tu dois me promettre de ne plus jamais prendre de décision me concernant sans me consulter. va pas penser que je ne suis pas reconnaissant, au contraire, mais ça me met un peu mal à l'aise.

Éliam: De plus, comme je n'ai pas l'intention d'être un fardeaux que tu dois surveiller et protéger lors de combat, je veux que tu m'entraînes.

Sur ces mots et avec le sourrire de retour sur ses lèvres, Éliam pris Wulf par surprise et se dégagea de sa prise et dans une roullade dégaina ses armes avant de se porter à l'attaque.

Éliam: Et cet entraînement peut commencer tout de suite.

Wulf se régala de l'initiative d'Éliam et elle dégaina son épée afin d'engager un combat ludique avec lui.

Wulf: Comme ça, ça te rend mal à l'aise de me devoir cette année de liberté?? Et ne t'en fait pas .. je ne suis pas ta gardienne et je ne me sens aucunement obligée de veiller à ta survie parce que Sir François m'a légué tes services. Oui... je te considère comme mon égale...


Sur ces dernières paroles, elle empoigna son bouclier et fit virevolter son épée au dessus de sa tête avant de miser sur l'épaule sénestre de son adversaire. Ensuite, pivotant sur elle-même, Wulf tenta un moulinet afin d'atteindre la cuisse d'Éliam. Elle était agile et belle lorsqu'elle faisait danser son arme autour d'elle. C'est avec un sourire au lèvres qu'elle s'amusait à arsener de ses meilleures attaques et éviter de ses meilleures parades les coups d'Éliam.

Wulf: Si tu continues comme ça .. j'aurai de la peine à me séparer de toi .. le moment venu!!

Cela fesait déjà quelques heures que Beregon s`était éloigné du groupe comme il fesait à chaque fois. Il ne tentait pas vraiment de fuir ou d`aller le plus loin possible...Il voulait tout simplement respirer l`air de la solitude. Évidemment, il respectait certains dans le groupe mais son passé lui avait bien appris à ne pas tenter d`intéragir socialement. Il n`était tout simplement pas fait pour la vie en communauté. Jusqu`à ce que d`autres choses se présente par rapport à la disparition de la femme de Portos, le rodeur avait bien l`intention de garder ses distances avec le groupe sans toutefois les quitter. Comme à son habitude il allait surveiller la route que le groupe prendrait.

Après un certain moment il réalisa que quelqu`un d`habile le suivait de loin...heureusement pour Beregon...la chasse à l`homme avait été sa spécialité. C`est ainsi que Winstruff fini par passer exactement la ou le rodeur s`était arrêté. Toutefois, celui-ci avait cependant laisser plusieurs traces dans la neige qui pouvaient mélangés le voleur. Après que Wind s`arrêta un moment pour réfléchir, il pu entendre Beregon parler:

"Alors, on a décidé de suivre le forestier?"

Beregon était assit sur une branche d`arbre non loin de Wind.

"Je peux faire quelque chose pour toi peut-être?"

Le rodeur semblait manger quelque chose...quoiqu`en cette période de l`année il était préférable pour Wind de ne pas savoir ce que le rodeur mangeait.

Il n'était pas le meilleur combatant mais malgré tout il maniait bien ses épées courtes. Ses années à aider Alura, un petit armurier de son coin, lui apprirent à reconnaitre les différentes armes et leur maniement afin de s'assurer qu'elles étaient bien balancées. Mais ses armes préférées demeuraient ses dagues et autres armes courtes. Il trouvait les autres trop lourdes et encombrantent.

Tentant tant bien que mal d'éviter et dévier les attaques répétées de la grande guerrière, Éliam n'arrivait malhereusement pas à se trouver de répis pour passer à l'assault. Elle ne lui donnait aucune chance.

Une attaque bien esquivée lui permis de se coller et feinter un coup à l'épaule gauche. Wulf s'empressa de lever son bouclier pour bloquer le coup mais quelle fut sa surprise de voir apparaître son protégé d'en dessous du bouclier dans une roullade avant de lui pincer une fesse du plat de sa lame au passage.

Rapidement debout et en position de garde, ce dernier tout essoufflé affichait un grand sourire de fièreté.

Éliam: Tu te débrouilles pas mal. Mais ça manque de rigueur un peu!

Il savait que cette remarque lui coûterait cher. C'est ce qui arrive lorsqu'on parle trop

Suite au parole du forestier, Winsthroft fit un léger sourire mesquin et se mit a applaudir tranquillement.

- Je dois te féliciter Beregon. On voit tout de suite que tu est vraiment dans ton élément contrairement a moi. Peu de gens aurais été capable de remarquer ma présence comme tu la fait. Je dois avouer que c'était une excellente idée de laisser plusieurs trace par terre afin de confondre les directions. Une méthode probablement vieille comme le monde, mais tellement efficace.

Puis le voleur, fit un sourire taquin. A première vu, on aurait put croire qu'il venais d'avoir une idée qu'il trouvait très drôle.

- La prochaine fois, tu essaiera de me suivre dans une grande ville pour voir si tu est habile dans se type d'environnement.

Après sa dernière phrase, Winsthroft se mit a faire un petit rire, puis son visage redevint sérieux.

- Pour répondre a ta question, je ne crois pas que tu puisse faire grand chose pour m'aider. A part peut-être supporter ma compagnie. J'ai décider de temporairement prendre quelque distance du groupe qui a soudainement doubler voir tripler de grandeur... Disons que je n'ai jamais trop aimer être entourer d'autant de personne en même temps. Surtout qu'il a trop de noble a mon gout. C'est selon moi un type de personne pas très fréquentable.

Voyant que Bérégon ne semblais pas trop voir se a quoi Winsthroft faisait référence, ce dernier décida de préciser son idée.

- J'ai toujours trouver étrange que Portos ne fasse rien pour retrouver sa femme. Il préfaire utiliser des aventuriers qu'il ne connait presque pas à la place de mener les recherche lui même. Je ne te cacherais pas non plus que je ne porte pas François dans mon coeur. Il est toujours la a se mêler des choses qui ne le concerne même pas. Je pense que de façons générale, je n'aime pas les nobles depuis.... A pis finalement c'est probablement une vieille histoire qui ne va pas t'intéresser...

Après une légère pose, le voleur continua :

- En gros, j'ai juste voulu prendre l'air tranquillement et en voyant tu partais, je me suis dis que sa pourrais être intéressant d'aller te rejoindre. Au fais, se que tu mange, c'est tu........ Heu..... je pense que j'ai pas besoin de savoir finalement.

Wulf surprise par l'arrivée d'Éliam dans sa zone, elle tourna afin de s'en dégager et senti un pincement sur sa fesse. Suite à cette escarmouche, Éliam osa l'agacer sur son style de combat. Si Éliam avait porté attention , il aurait pu voir une petite flamme briller au fond des yeux de Wulf.


D'un geste rapide et fulgurant, la guerrière lança son bouclier sous les pieds d'Éliam de façon à lui faire perdre l'équilibre.
Ensuite, elle se rua vers lui afin de l'attraper et de lui glisser un sac de jute sur la tête. Celui-ci décidément pourvu de vision se débattait comme une poule avant qu'on l'y conduise à l'abattoir.

Elle tira ses bras derrière lui pour bien les nouer et d'une force presque invraisemblable, pour une femme humaine, Wulf jetta Éliam sur ses épaules. Wulf n'écoutait pas les plaintes du jeune serf et elle se dirigea vers la forêt.

Après quelques minutes de marche, Wulf n'ayant toujours pas parler à sa victime. Elle laissa tomber le paquet sur le sol et l'accota sur un arbre. I. pu entendre Wulf préparer un feu.. et son odorat pu déceler une agréable odeur de cerf cuit sur feu.



WULF: Alors?... Mon style n'est pas à la hauteur de ma réputation??



La guerrière avait trainé Éliam dans un petit campement reclu au centre de la forêt. Elle aimait s'y retrouver seule en particulier .. mais cette fois-ci elle, elle entraîna son apprenti.


WULF: Alors...tu vas les utiliser maintenant tes habiletés secrètes?? où dois-je te laisser ici en proie au loups?


Elle demeura assise dos à un arbre et observa Éliam.

Trop occupé à se moquer, Éliam fut extrême surpris de la réplique de Wulf. En fait, il s'attendait à une réplique, mais plus du genre d'une charge pour le déstabiliser.

Pris complètement à la renverse après avoir été fauché par le bouclier, elle n'avait eu aucun mal à l'attrapper.

Maintenant adossé contre un arbre, il ne trouvait plus la plaisenterie très drôle. Surtout lorsque cette bonne odeur de viande vint lui chatouiller les narines.

Éliam: Tu vas le regretter (Sur un ton très calme)

Le sac en jutte qui lui couvrait la tête laissait pénétrer suffisamment de lumière pour qu'Éliam puisse suivre les gestes de Wulf qui régulièrement lui faisait dos pour s'occuper du feu et du repas. Semblant immobile, se faisant aller plus la bouche pour l'insulter plutôt que de tenter de se libérer, Éliam était arrivé à se défaire un bras des liens. Attendant le bon moment ou elle lui tournerait encore le dos.

Jusqu'au moment ou le contact froid d'une lame sur sa gorge fit sursauter légèrement la guerrière.

Éliam: T'étais bien mieux de me garder à manger.

Il ramassa un bon morceau de viande de son assiette puis décolla la lame de sa gorge avant de prendre place sur une buche prêt du feu. Il avait le ragrd sérieux mais une légère grimace dans son visage semblait montrer qu'il souffrait.

Éliam: Je te concède la victoire pour cette fois-ci. Mais tu devras me montrer comment tu fais. Et... j'apprécierais énormément que tu me replaces l'épaule qui c'est déboitée en me détachant.



(P.S. Comment oses-tu me traiter de voleur petite effrontée)

Wulf déposa son morceau de viande et contente de voir qu'Éliam avait réussi son évasion, elle tenta d'aider ce dernier à replacer son épaule. Même si elle ne connaissait pas grand chose à l'anatomie humaine, la guerrière avait assez vu de massacres et de blessures pour avoir le coeur solide pour replacer une simple épaule disloquée.

Malgré la force qu'elle pouvait dégager durant un combat, ce sont de douces mains chaudes qui se glissèrent dans la chemise d'Éliam. Sa main empoigna doucement l'épaule du pauvre homme, serrant entre ses doigts l'os qui semblait sortit de son emplacement. L'autre main, tenait fermement son dos. Lentement, elle tourna la tête et regarda Éliam droit dans les yeux, pénétrant ainsi son regard et sans broncher, elle tira brusquement l'épaule dans son socle. Ensuite, elle se dégagea de son emprise comme si elle refoulait quelque chose et veint s'asseoir silencieusement autour du feu.



Après quelques minutes,

Wulf: Nous ne retournons pas à l'auberge ce soir.....J'espère que tu n'y vois pas de problème?


Éliam pouvait pressentir que Wulf avait de grands secrets mais allait-elle partager avec lui ce qui se cachait derrière elle ? ou allaient-ils avoir une nuit mouvementée par la visite de loups-garous, de dryades ou autres créatures de la nuit?

La journée déjà bien avancée, Éliam aquiessa à la demande de Wulf mais il sentait que quelque chose clochait.
Après s'être bine remplit la pence, il la laissa à ses pensées et s'assura de ramasser suffisamment de bois pour maintenir le feu suffisamment gros toute la nuit afin qu'il n'est pas froid. Enfin c'est l'excuse qu'il lui donna. C'était surtout pour s'assurer de garder les créatures le plus loin possible d'eux.

Une fois les étoiles bien hautes dans le ciel, Éliam vint s'étendre sur une couche en branche de sapin qu'il c'était fabriqué pour couper l'humidité et la fraicheur du sol. Un petit truc que Nienna lui avait appris. Il s'enroula dans sa cappe et garda le silence un bon moment écoutant les alentours.

***Après un bon moment à regarder les étoiles***

Éliam: Tu crois qu'elle nous regarde en ce moment?

Voyant l'ai interrogateur de Wulf, il poursuivit avec plus clareté.

Éliam: Kaerian... est-ce qu'elle te surveille d'en haut tu crois? Parles moi d'elle un peu.