Firenze, l'enquête se poursuit

Wulf s’avança vers lui d’un air détaché afin de lui remettre un bandage qu’elle avait trouvé sur sa commode. Lorsqu’elle vit le sang glisser lentement sur le doigt d’Éliam et que son odeur titillait ses instincts de louve, Wulf se mit à humer l’air ambiant, elle s’approcha encore un peu….Elle échangea un regard avec lui. Ses pupilles étaient dilatées et un flût de chaleur montait en elle. Ce soudain changement la pris par surprise et elle se recula dans le coin sombre de la pièce. Elle resta quelques instants en regardant Éliam panser soigneusement sa plaie fraîche. Demeurant calme et dans l’ombre, Wulf s’adressa à Éliam.

Wulf : Soigne toi Éliam… Vite….Je suis désolée.. je suis partie au village afin de recueillir de l’information et de me distraire…Mais ma réputation me précède et on a célébrer toute la nuit en mon nom. Je me suis réveillé tard ce matin et … me revoilà.. Je ne pensait pas que j’allais te manquer!!!

Wulf savait bien que l’interrogatoire d’Éliam ne s’arrêterait pas là alors elle s’empressa de poursuivre.

Wulf : J’ai été un peu rude envers toi…excuse-moi. Je dois ce comportement à de courtes nuits de sommeil et je crois que la peur de perdre la trace de Dame Marguerite m’inquiète. Je dors très mal…..Bon .. Tes sacs ne sont certainement pas faits .. alors je te suggère de t’y mettre!

Wulf souhaitait plus que rien que ces paroles suffiraient. Mais elle demeurait tout de même dans l’ombre et à une distance certaine d’Éliam. Il sentait bon cet homme .. son sang chaud et frais coulait dans ses veines. Le son de sa respiration chatouillait l'ouïe développé de Wulf. Elle ferma les yeux et tenta de chasser ces idées meurtrères qui la hantaient soudainement.

Wulf : Alors?...

Lorsque sont regard croisa le sien, Éliam fut saisi et sa gorge se serra. Il attrapa nerveusement le bandage puis se r'assoya sur la chaise. Il prit une grande respisation pour se calmer sachant que les créatures pouvent normalement sentir lorsque les gens ont peur ou sont nerveux. Enfin c'est ce que Beregon lui avait dit. Si seulement il avait été là pour lui venir en aide. Que faire maintenant?

Une fois calmé, il réalisa que sa petite mise en scène venait au moins de confirmer les craintes qu'il avait. La potion qu'on lui avait fait boire ne semblait pas avoir fonctionné apparemment. Par contre, peut-être que dans cette condition elle serait un atout pour tracker Faolan ou encore mieux Dame Marguerite. Chose certaine, ce n'était point le moment d'alarmer tout le monde avec ça et risquer que Sir Francis l'apprenne et alerte les devonniens. Il était un peu trop droit celui là à son goût.

Il regarda Wulf du coin de l'oeil puis porta son doigt à sa bouche pour en essuyer le sang avant de mettre le bandage autour de celui-ci en attendant qu'arrête le sang.

Éliam: Pfff! Mes bagages? Tu sais très bien que je ne possède rien. Ca me prendra 2 minutes.

Il garda le silence quelques secondes regardant le front de la guerrière, terrée dans un coin sombre, qui commançait à perler de sueur suintante à la lueur des quelques rayons du soleil perçants les volets qu'elle gardait fermé par une si belle journée. Pourquoi?

Éliam: Je ne te crois pas. Tu me caches quelque chose... et j'ai de bons doutes. Je te jure de ne rien dire mais tu dois me laisser t'aider.

Voyant qu'elle jouait l'innoçante un peu pris de court, il se leva et fit un pas dans sa direction en leva son bras en sa direction laissant parraître une lingette blanche maintenant immaculée de sang. Il avait discrètement posé l'autre main sur le pommeau de l'épée sachant très bien que son attention serait attiré vers le sang. Il avala un peu de travers et espéra que le pire ne se produise pas.

La tentation devint trop forte et Wulf se rua vers Éliam, le faisant basculer et tomber sur le dos. La louve ne s'était pas transformée mais ses instincts trop longtemps retenus firent surface. Chevauchant le pauvre homme, emprisonnant ses bras et paralisant ses jambes à l'aide de ses cuisses Wulf approcha ses lèvres au côté de l'oreille de sa proie.

Wulf: Éliam... tu joues avec le danger et Beregon ne t'as surement pas enseigné que lorsque le prédateur goûte au sang de sa victime, il ne peut plus se contenir?...Faloan m'avait prévenu de cette malédiction et je n'ai besoin d'aucune aide. L'effet s'estompera ..j'ai fait le nécessaire.

La voix de Wulf n'était pas agressive mais plutôt séduisante et la langoureuse guerrière poursuivit son discours intime.


Wulf: Nul n'a besoin de connaître ce léger probléme temporaire. Tout est sous contrôle.. il ne faut donc pas provoquer l'irréparable!

Sur ces mots doux, Wulf huma la nuque d'Éliam... et se dégagea rapidement comme si une peur soudaine l'envahie et elle regagna le fauteuil au fond de la pièce. Éliuam crut entendre ce qu'on aurait pu appeler des sanglots. Ce spectacle désolant démontra une Wulf déconfite mais qui tenta de reprendre le contrôle d'elle même.

Pris par surprise et la rapidité de la femme, Éliam n'eut jamais le temps de sortir l'arme.
Tombé à la renverse, il sentit une légère bosse lui pousser derrière le crâne. Lorsqu'enfin elle le libéra, il resta allongé plusieurs secondes sur le dos se répétant ce qu'elle lui avait dit.
En temps normal il aurait quitté la chambre en courant mais toujours allongé, il put entendre les sanglots de son amie refoulée dans le coin de la pièce. Surprenememnt il demeura là un moment. Il ne referait pas la même erreur d'il y a quelques mois en l'abandonnant.

Éliam: Tu dois te reposer... ouais c'est ça te reposer. Je vais prévenir Sir François que tu ne vas pas bien et que tu aimerais bien dormir un peu. Je lui dis de prendre les devant et que nous les r'attraperons sous peu. Oui NOUS, j'ai bien l'intention de rester avec toi que tu le veuilles ou non.

Il sortit de la pièce en continuant de se parler à lui même à voix haute comme un singlé. Ce n'est qu'au bout de 20 minutes qu'on refrappa à la porte.

Éliam: C'est moi, je suis de retour. Tout est sous contrôle. Il son sur le point de partir. Je t'ai aussi apporté de quoi manger et boire avant que tu ne te reposes. Ouvres moi s'il te plaît. On voulait t'envoyer une prêtresse pour t'osculter mais après leur avoir raconté ta supposément escapade en ville je les ai convaincu que seul le repos te remettrait sur pieds. Allez ouvres!

Elle ouvrit la porte et Wulf qui avait l'air enfin sereine le fit entrer. Sans mot dire, elle enfila sa cape et fit lui fit signe de la suivre. Ils déambulèrent silencieusement dans les corridors déserts du manoir pour enfin sortir dans le jardin arrière. Wulf fit signe à Éliam d'attendre, ensuite elle se plaça à genoux et commeça une prière.

Wulf: Brigid .. déesse de la guerre .. toi qui ose utiliser le chaos et les armes pour défendre ses idées, ses terres et le siens. Toi qui m'a donner vie. Mère.. Ici ta fille Kaerian qui implore ton aide....

Suite à ces mots, Wulf demeura silencieuse afin de se recueillir.

Quelques minutes plutard, Wulf qui ne semblait pas satisfaite se releva et adressa un regard sympathique à Éliam.

Wulf: Ça ira.. je le crois...maintenant je dois me reposer. Tu devrais faire de même. Je comprendrais si tu ne voulais pas poursuivre avec moi.. Au village ... ? tu crois que... enfin .. c'Est imoposible... Je crois que je n'ai seulement quelques instincts animal qui surgissent lorsque la lune se pointe mais croire à ce que je me transforme... Impossible.. vous m'avez guérri. Faolan m'avait prévenu que des traces de loup demeuraient à jamais dans mon corps mais les transformations ont été stoppées. Alors c'est à moi à les aprivoiser.

-ATTENTION DERRIÈRE TOI!!!

Voici les seuls mots que Winsthroft eu le temps de dire avant l'attaque. Trop rapidement, les deux aventuriers se sont retrouvé encercler par leur opposant.

Les dommages de cette bataille leur avaient coûté cher en effet. Mais au moins ils avaient triomphé. Le sang coulait encore des plais du dernier ennemi qu'ils avaient abattus alors que le voleur se jeta sur la jambe de Bérégon pour tenter de la soigner. La blessure était profonde... trop profonde a son goût. Mais d'où étaient sortit ces adversaires? Surtout, qui était-il?

-Je t`ai dit que ça pouvait attendre Wind, nous devons repartir immédiatement, sinon le loup garou va nous échapper et nous allons encore une fois perdre la trace de la meute.

-J'aime mieux te soigner maintenant. Peut importe se que tu dira, je sais que si je ne fais pas cela tout de suite, se sera pire plus tard. De plus, tu sais autant que moi que nous allons les retrouver même si on perd leur trace encore une fois. Disons qu'un loup-garou, c'est loin d'être discret. De toute façon tu veux faire quoi si on réussi a rattraper cette meute tout de suite? Nous n'avons pratiquement plus de flèche, tu es gravement blessé et une de mes épées a été brisé pendant le combat.

Winsthroft se donnait l'air d'une personne qui n'est pas inquiet. Mais en réalité, il était complètement sur les nerfs. Jamais il n'avait sentit une émotion aussi intense depuis la fameuse nuit où il avait retrouvé sa liberté. Cette fameuse nuit au manoir du seigneur Gardecouronne...

Cela faisait déjà plusieurs semaines que les deux hommes voyageaient ensemble. En fait, peut être même que plusieurs mois s’étaient écoulés. La route était longue et les discutions très courtes. Par contre Winsthroft était convaincu que cette "aventure" avait quand même du bon. Après tout se temps passé ensemble, une sorte de confiance absolu c'était créer entre eux. Du moins, c'était l'avis du jeune homme.

-Voila on peut partir maintenant. Ta blessure a été nettoyée du mieux que j'ai pus dans les conditions actuelles. J'espère juste ne plus avoir besoin d'utiliser mes bandages pour un bon moment car il ne m'en reste plus beaucoup. D'ailleurs, nous allons probablement devoir penser a chasser prochainement car il ne reste pratiquement plus de provisions pour la route. Et ça, c'est sans parler de l'eau.

En effet, pendant que Wulf, Éliam et tous les autres se la coulaient douce dans le manoir de Sir Francis Desmarais, les deux autres aventuriers continuait d'avancer dans une situations qui devait de plus en plus catastrophique.

Si seulement il existait une échappatoire facile qui leur permettrait tout de même de réussir leur quête.....

A son retour, Éliam fut très surpris de trouver Wulf remise sur pied et même prête à quitter sa chambre. Il aurait voulu protester et la voir se reposer un peu mais elle était en route pour les jardins. Il suivit sans rien dire se méfiant tout de même un peu.

Lorsqu'elle commença sa prière, il s'installa sur un banc de pierre puis écouta sans rien dire.
Dès le début sa curiosité fut piquée. Lorsqu'elle mentionna "Ici ta fille Kaerian qui implore ton aide", beaucoup de chose se clarifia dans sa tête. C'était donc elle.

Éliam: Je ne t'avais pas reposer de question mais je crois que maintenant j'aimerais comprendre. Pourquoi avori changer de nom.
Qu'est-ce qui est arrivé à Kaerian pour qu'elle devienne la Wulf qu'on connaît aujourd'hui?
Ta mère... est vraiment une déesse? Je n'ai jamais cru en l'existance des dieux. S'ils existent... j'ai dû les décevoir énormément pour qu'ils m'aient laissé souffrir comme ils l'on fait.

Winstroft avait totalement raison, la situation s`était aggravée à un tel point que le rodeur ne savait même plus quoi faire. D`un coté, il y avait la sécurité et une rencontre certaine avec les autres. De l`autre coté, il pouvait peut-être arriver à retrouver Faolan et tenter de secourir la Dame...

Il prit un bon moment à observer et réfléchir à la situation. Les deux étaients assez mal en point et quelque chose lui disait que ca n`irait pas mieux d`ici la rencontre avec Faolan. De plus, Winstroft ne possédait pas la capacité de résister au coup contagieux des Loups-garous. Jusqu`à maintenant, ils avaient été chanceux et les griffes avaient seulement frapper le rodeur.

-Je...je propose de rebrousser chemin. Tu as raison, d`ailleurs je crois que même si nous trouvons la Dame, nous allons faire plus de tort que de bien. Il nous faut l`aide des autres et plus précisément celle de Wulf. Je croyais que nous aurions p-e pu règler le problème à nous deux, mais la situation est beaucoup grave et nos compétencs combinées ne sont pas assez pour surmonter le problème. Retournons aurprès des autres membres de la Meute...

Wulf avait intentionellement ouvert cette porte de sa vie privée à son ami Éliam. Elle savait que cette information l'occuperait pour un certain temps et détournerait son attention. Il oublirait peut-être l'histoire de loup-garou.

Cependant, Wulf n'allait pas tout lui révéler de façon aussi facile. Toute fois, le passé qu'avait évoqué Éliam intrigua la guerrière.

-Wulf: Tu as eu un passé difficile et souffrant Éliam? Tes maîtres n'ont pas été juste envers toi?.. tu vois maintenant l'importance que je donne à ce que tu retrouve la liberté? comme ça tu pourras goûter à la vie sans souffrance et au nom de personne. Cependant ...**silence** je suis inquiète lorsque l'heure arrivera et que Sir François réclamera tes services. Je crois qu'il faudra repenser à cette situation de façon stratégique et sérieuse. S'il le faut je me batterai pour toi.

Sur ces mots quelques peu héroïques, Wulf lui fit un sourire en coin et se dirigea vers les chambres.

Éliam: En fait je n'ai jamais été qu'un serf de la société. Oublié à lui-même dans les pauvres cartiers isolés de la ville. Jamais visité des seigneurs, sauf lorsque vient le temps de clamer leurs taxes. Je devais trop souvent voler pour manger et faire des travaux pour payer ma paillasse. Qui voudrait engager un faible maigrichon salle et mal nourrit. Heureusement, ya encore des âmes charitables qui m'ont donné chance mais lorsque la demande n'est pas là on ne garde pas d'employé pour rien. Je crois qu'une crise approchait. J'avais 4 travailles à temps perdu qui ne r'apportait presque rien. Le midi j'essayais d'aider au marché en échange de nourririture. Lorsque tout à coup j'ai tout perdu en deux jours. Heureusement qu'est arrivé l'annonce de Sir François pour cette aventure. Un méchant coup de chance pareille. Je n'aurais peut-être jamais eu le temps de me présenter aux inscriptions si j'avais gardé toutes ses maudites jobs d'exploiteurs.

Éliam avait la tête basse, assis sur une chaise maintenant qu'ils étaient revenu dans la chambre, Wulf cru peut-être voir une larme perler mais ce dernier se resaisie.

Éliam: Bon, fini de m'apitoyer. Je vais chercher ma couverture et que tu le veuilles ou non je couche ici ce soir.

Wulf n'eut pas vraiment la chance de rouspetter qu'il était partie, revenu et installé dans le temps de la dire.

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Le lendemain matin...

Éliam c'était réveillé bien avant elle. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, Éliam était assis dans un coin et tentait de recopier les lettres d'un livre.

Éliam: Bon matin. Un beau jour je serai capable de lire un livre moi aussi. Je t'ai apporté des fruits secs, du pain et de l'eau sur le chaise. J'aimerais savoir mainteant ce que tu penses de tout ce qui se passe. Il faudrait se rendre à Pyrgosie le plus vite possible pour intercepter Faolan tu crois? Si seulement Beregon était là. Il aurait surement pu nous aider à trouver sa piste. Surtout s'il est passé par la ville hier.

Lorsque Wulf ouvrit l'oeil discrètement, elle nota qu'Éliam avait passé la nuit dans la chambre et qu'il était déjà éveillé. Il y avait longtemps que quelqu'un avait veillé sur elle, quelqu'un qui pouvait croire qu'il y avait une femme derrière le masque de Wulf.

C'Est alors l'air ébourifé et la bouche pleine, Wulf sourit aux propos d'Éliam. Elle n'osait pas lui avouer qu'elle même ne savait pas lire.

Wulf: Tu t'aranges pour être vraiment indispensable Éliam.. mais je suis fière de toi! Que de tenacité tu as!! ... Assurément, il faut retrouver Beregon et Winstroft.. Cependant lorsque vient le temps de retrouver ce genre de personne .. il faut mieux se laisser trouver. Nous partons aujourd'hui, ensemble .. nous garderons la route et soyons à la vue de nos amis.

Sur ces mots, Wulf sortit du lit enveloppée vulgairement de son drap. Elle ne se doutait pas des yeux fureteurs de son ami et se dirigea derrière le paravant. Éliam avait peut-être remarqué les formes musclées de sa coéquipière et sa silouhette colossale. Malgré tout , il pouvait voir qu'elle tentait de cacher sa figure suave et féminine. Pourquoi?

Quelques minutes plutard, elle sortit vêtue de son armure et prète à voyager.

Wulf: On y va?

La tête plongée dans son petit livre, Éliam avait tout de même les yeux relevés espérant peut-être appercevoir un brin de peau ou plus encore. Elle était divinement belle mais... Éliam rêvait au jour où il rencontrerait et libérerait une jolie paysanne toute délicatte avec qui il s'installerait sur SA terre où elle lui ferait de merveilleuses tartes aux pommes bien chaudes. Mais tout ça n'était que de beaux rêves. En attendant il n'était que le serf prêté dans un échange de liberté conditionnelle.

Sortant de sa rêverie, il remarqua la grande guerrière debout devant luiprête à partir.

Il roula rapidement sa petite couverture puis lança son sac sur son épaule.

Éliam: En avant!

En passant prêt des cuisines innoccupées, Éliam ne pu s'empêcher d'emprunter quelques réserves pour la route ;o)

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En peu de temps, ils rattrapèrent le reste du groupe partie un peu plus tôt la veille. Sir François accorda à Wulf la permission de prendre de l'avance et de passer en éclaireur en avant.

Ils voyagèrent le plus rapidement possible en direction de Pyrgisie. Après maintenant une semaine de voyage, tout ce passait pour le mieux. Chaque fois qu'Éliam croisait Sir François, il se demandait s'il dvait parler de l'état de Wulf. Pour le moment il gardait l'épée bien caché sur lui et s'assurait que Wulf prenne un bon repas de viande chaque soir. ;o)

Assis prêt du feu, Éliam discuta pendant un moment avec Nienna de tout et rien. Lorsque soudainement il réalisa qu'un coin de sa couverture venait de s'emflammer. Rapidement il se leva et la projeta au sol. Comme il n'avait pas plue depuis quelques jours, les brindilles s'emflammèrent rapidement et bientôt les buissons suivirent la vague. Pris de panique, tout le monde se précipita sur le bord de la rivère trempant tout se qu'ils pouvaient pour tenter de maitriser les flammes. Tous eurent bien chaud mais heureusement le tout fut maîtrisé assez rapidement et le pire fut évité. Heureusement il n'y avait aucun vent, se qui aurait été catastrophique. Une odeur de fumée resta dans l'air durant toute la nuit.

Éliam: Je suis désolé

Wulf entreprit d'éclairer la route en allant de l'avant. Curieusement sa tactique de traquer l'ennemi avait quelque peu changée. Elle sentait en elle certains sens plus aiguisés.

Les nuits passèrent sans évènement, à part un pauvre petit incendie qui fit prendre de panique plusieurs en ces temps chauds et secs.

Wulf ne parlait pas beaucoupdurant les dernières semaines, elle se sentant tiraillée de l'intérieur cependant elle accepta les soins et l'attention que lui donnait Éliam. Sans rien dire et d'une douceur redoutable, elle accepta les plats de viande qui lui donnait d'un air inquiet.

Elle se reteint de lui mentionner les rêves qu'elle faisait chaque nuit.


Les jours se suivèrent et Wulf toujours en grande courageuse dirigea la délégation de Sir François.

Éliam et Wulf marchaient devant les autres à quelques minutes de distance. Le convoi ne pouvait plus voir les deux qui avaient pris l'avance sur le reste du groupe. La guerrière marchait devant silencieuse et perdue dans ses pensées, elle ne pu se rendre compte qu'Éliam était resté derrière figé. Il regardait droit devant lui l'air découragé et même appeuré. Lorsque Wulf regarda dans sa direction, elle vit une femme dont les membres étaient drôlement alongés et qui semblait sortir de l'arbre. Avant que Wulf réagisse, la créature empoigna Éliam par l'échine.

Sa gaffe de la nuit dernière lui avait ramené en mémoire un incident pour lequel certaines créatures cherchaient encore à le lui faire payer.

Cette belle journée de marche s'achevait lentement. Le soleil s'apprêtait à plonger derrière les arbres et de grandes ombres se dissinaient de tout leur long sur la route. Une légère brise faisait danser les branches et du même fait ses ombres. Éliam sentait son imagination qui travaillait un peu trop fort. De vieilles craintes le maintenaient aux agêts et alimentaient ses peurs en s'imaginant à l'occasion voir des choses bouger ou bien sentir que des yeux le regardaient.

Figé au beau millieu de la route, il espérait ne pas avoir été vu. Il aurait voulu interpeller Wulf, mais le regard glacé qui le fixait droit dans les yeux le pétrifia sur place. Il analysa ses chances de sortir de là mais la fraction de seconde où il aurait voulu se mettre à courir il fut agrippé par le collet sans même pouvoir esquiver. Il tenta tant bien que mal de sortir de son linge pour se faufiler mais la poigne se reserra l'empêchant soudainement de respirer. Il se sentit lentement trainé et soudainement aspiré dans l'arbre. Il empoigna rapidement la dague dans sa manche et tenta de poignarder l'ennemi sans très bien voir où il faissait mais sans succès. Il frappa donc l'arme de toute ses forces contre le tronc de l'arbre, s'y aggripant de son mieux.

Les yeux appeurés qu'avait vu Wulf en Éliam c'était maintenant transformé en rage de vivre.

Sans broncher, Wulf se dirigea vers Éliam et croyant que les dryades la craignaient encore, Wulf tenta d'en effrayer une. Sans succès, la guerrière fit tournoyer son arme afin de libérer son ami qui se débattait avec une fureur surprenante.

Concentrée à son art, Wulf assenait de multiples coups la créature. En une danse effrénée, Wulf combattait la créature sans se laisser déconcentrer. Elle était divine et dans son élément.

Wulf: Dégage-Toi Éliam...

La dryade complètement surmenée tenta de maitriser Éliam tout en bronchant sous les coups de Wulf. D’un bras elle maintenait sa prise par le cou puis de l’autre tenta de repousser la guerrière.
Habilement, Wulf esquivait ses coups et dans une riposte phénoménale lui en asséna un qui lui arracha un cri strident. Alors qu’elle allait lui donné ce qui pourrait être le coup de grace, sa lame qui faisait des vrilles autour d’elle se stoppa soudainement dans les airs. Une autre dryade venait de sortir d’un autre arbre pour mettre la main sur la lame de Wulf et venir en aide à sa compagne.

Éliam se sentant faiblir arriva à reprendre sa concentration puis se calma. Se débattre davantage ne lui servirait plus à rien de la façon dont il était pris. Faintant l’inconscience, il sentit la prise sur son cou se déserrer lentement laissant l’air lui revenir normallement de nouveau. Les deux dryades aux prisent avec les multiples coups de la guerrière, elle préféra laisser tomber sa proie maintenant inconsciente pour venir à bout de cette ennemie redoutable.

Wulf assainna un coup qui arracha d’attroce souffrance à la nouvelle venue qui rapidement fit un bond par derrière en tombant au sol. Voyant la tournure des évènement, la seconde se routourna pour s’enfuir mais au même moment fut frappé au genoux par une grosse branche que lui balançait Éliam. Dans un craquement, le genoux de la dryade se fractura et en tombant s’empressa de toucher un arbre et y disparaître comme elle allait être frappé de nouveau. Surprise, Wulf ramena son attention sur l’autre gravement blessée qui malheureusement avait disparue elle aussi.

Éliam aurait voulu dire à Wulf toute sa gratitude mais aucun son ne pu sortir de sa gorge gravement blessé. Ils montèrent le camp non loin de là ne craignant pas trop de revoir les dryades. Éliam ramassa quelques herbes et passa une partie de la soirée à tenter de se soigner. Ce n’est que quelques heures plus tard dans la soirée qu’il arriva à émettre quelques sons encourageant. Par contre il était convaincu qu’il avait quelque chose de brisé. Seul une guérison magique pourrait l'aider.

Winsthroft étudiait la situation. Bérégon était d'accord pour rebrousser chemin. Le connaissant, cette décision devait lui être très difficile a prendre car jamais Bérégon avait abandonné une proie. Le voleur était lui aussi un peu déçu de devoir abandonner si près du but. Mais la situation était rendu trop critique pour continuer.

C'est donc de cette raison que les deux aventurier repartir en direction des autres membres de la meute. Bien sur, la route été longue et dangereuse, mais il avait quand même du bon. En effet, suite a l'attaque d'un petit groupe de goblinoide, les deux aventurier pus refaire une bonne provision de flèche. De plus, Winsthroft retrouva une épée qui lui convenait.

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Quelques jours plus tard, à un autre endroit

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Alors que Éliam était en train de se guérir a l'aide des quelques herbes qu'il avait pus trouver dans les environs, la nuit commença a devenir de plus en plus sombre (c'est normale puisque les heures passes). Soudainement, un léger craquement presque inaudible se fit entendre dans la forêt. De plus, une ombre qui se camouflait un peu trop bien dans la forêt semblait observer de loin le campement ou se reposait Wulf, Éliam ainsi que tout les autres...

Mais quel était cette chose qui semblait être tranquillement en train de se rapprocher?

Tapez ou collez votre texte enLes deux dryades avaient disparues, elles ont eu à faire à une attaque mémorable et elles n'oseraient pas se manifester pour le reste de la soirée. Wulf se dirigea vers Éliam mais celui-ci, plus connaisseur en matière de guérison, avait déjà commencé à se concocter un remède. Pendant ce temps, Wulf regagna le groupe et empoigna une éponge d'eau salée afin de nettoyer quelques estafilades. Du coin de l'oeil, elle constata que son ami souffrait un peu plus qu'il en démontrait mais elle regrettait de ne pouvoir l'aider et espérait que quelqu'un le soigne rapidement. Elle se contenta de lui laisser voir l'ombre d'un sourire avant de se placer en retrait.

Soudainement, un léger craquement sortit Wulf de son léger repos. Elle scruta la forêt pour enfin apercevoir une ombre. D'un geste lent et certain, elle glissa sa main sur le pommeau de son épée afin d'être à l'affût du nouvel arrivant.

Wulf l'odorat effilé crut reconnaître cette odeur.... Elle huma l'air en direction de l'ombre.

Alors que Wulf tentait d'identifier ce qui approchait, un son sourd se fit soudainement entendre. Un lame venait de planter dans un arbre et brillait maintenant à la lueur de la lune à deux pouces de l'ombre.

Éliam c'était lui aussi isolé dans un coin. Il sentait que Wulf s'en voulais un peu et se sentait impuissante devant sa blessure et que c'était pour ça qu'elle se tenait elle aussi à l'écart. Un peu honteux de ce qui c'était passé, il s'en voulait de ne pas avoir réagit plus vite et de ne pas avoir eu d'arme sous la main. Mais les choses changeraient. Après avoir ramassé une vieille peau tannée, il entreprit de se fabriquer un nouveau fourreau qui lui permettra d'avoir une arme cachée dans son dos et rapidement accessible en cas de besoin.

Loin du bruit et des racontages autour du feu, Éliam avait lui aussi entendu qu'on s'approchait.
Après avoir lancé sa dague il était disparu dans l'ombre à son tour attendant que Wulf approche. Il pourrait ainsi couvrir ses arrières (Tousse!!!) (Bin quoi? C'est vrai!!!).

Lorsque que le couteau se planta dans l'arbre, l'ombre ne bougea pas. La seule chose qu'elle fit après fut de le ramasser et se recula un peut dans la forêt. De cette façon elle n'était plus visible car elle se trouvait maintenant trop sous le couvert des arbres.

Après d'interminable seconde, Wulf pus sentir grâce a ses sens éguisé que l'ombre c'était approché. Mais ou était-elle exactement? Très difficile de le savoir puisque qu'elle semblait avoir la même odeur que tout se qui se trouvait dans la forêt. Seul une très minime odeur de sang trahissait la présence de l'ombre.

L'instinct protecteur de Wulf la fit réagir dès qu'elle réussi a découvrit ou se trouvait maintenant l'ombre. En effet, sa première réaction fut d'avertir Éliam afin qu'il se retourne car l'ombre se trouvait maintenant juste à quelques mètres de ce dernier. Mais comment avait-elle fait pour se rendre jusque la sans se faire remarquer?

Malgré l'avertissement de Wulf, Éliam ne fut pas assez vite. L'ombre avait parcourut les derniers mètres qui la séparait de sa proie. Éliam fut plus surpris que jamais lorsqu'il ne sentit que le bout d'une dague venir s'accoter sur son dos et cela sans douleur (la pointe de la dague ne fait que légèrement toucher le dos). Visiblement, la personne qui se trouvait maintenant derrière le filou ne voulait que lui faire peur.

Maintenant que l'ombre était assez proche, il était possible de voir a quoi elle ressemblait. D'après la forme générale, il s'agissait sûrement d'un homme de taille moyenne. Il était entièrement recouvert d'une longue cape noire qui cachait pratiquement tout son corps. Un espèce de foulard de couleur foncé cachait les parties du visage et de la tête qui n'était pas recouvert du capuchon de la cape. Seul les yeux de la personne étaient visibles. Les vêtements du nouvel arrivant était de plus taché de sang sécher, de boue et de plein d’autres choses dont la composition semblait douteuse…

Une voix familière se fit entendre :

-Tu sais Éliam, il faut faire attention lorsque tu joues avec tes dagues. Tu pourrais blesser quelqu'un avec lorsque tu les lances a l'aveuglette comme tu viens de le faire.

La voix grave de l'interlocuteur avait un ton moqueur. Un peu celle qu’une personne prend lorsqu’elle veut taquiner un de ses amis.

Arès avoir parler, l’inconnu tassa la dague du dos d’Éliam et la retourna de façon a tendre le manche vers ce dernier. Éliam remarqua rapidement qu’il s’agissait de la dague qu’il avait lancé quelque instants plutôt. Après cela, le nouvel arrivant décida d’enlever son capuchon ainsi que son foulard afin de dévoiler un visage qui était bien connu de Wulf et d’Éliam. En effet, les deux aventuriers purent voire le visage souriant de Winsthroft.

-Bin quoi? J’ai pas le droit de m’amuser un peu avec mes amis après avoir passé les derniers mois à pourchasser un loup-garou?

(ok je sais c’est un peu poche comme retour, mais bon…. Je fais se que je peux entre deux moment ou je travail sur mon gn….)

Wulf regagna son campement afin de se nettoyer, panser ses plaies et plier bagages avant de se diriger vers le nord en direction de la tanière de Faolan. Elle avait un regard fier,car ces deux derniers jours elle avait réussi à offrir la liberté à Éliam (ouais .. Sylvain c'Est grace à moi lol..c'Est à Wulf que tu es redevant!!!), inspiré Éloïse à vivre en tant que serf et non esclave, combattu plusieurs orcs, mais ceux qui la connaissent trop bien pouvaient décerner une nouvelle tristesse au fond de la grande guerrière. Cette liberté offerte avait un prix....

De plus, la nuit précédente, Beregon avait presque réussi à briser la force intérieur de Wulf. Elle a presque cédé, elle s'est presque transformée. Est-ce possible ? Wulf refusait de croire à une telle chose, elle demanderait la protection divine afin d'être assez forte afin de contrôler sa bête intérieure. Mais avant, elle devait prendre la route avant les siens, avant la meute afin de les épargner si jamais elle n'arrivait pas à se contrôler durant les prochaines nuits. Elle pris donc de l'avance sur la route et une chose hantait son esprit ou son coeur : Faolan.

Maintenant que son travail était accompli, le forestier pouvait enfin regagner la compagnie de son groupe d`amis. Bien que ceux-ci voyageaient toujours avec trop de monde, il refusait de s`éloigner à nouveau…quelque chose le dérangeait intérieurement et pour une fois la solitude n`allait aucunement aider.

Malgré le fait que les trois derniers jours avaient été très spéciaux, Beregon avait fait plusieurs liens dans sa tête et il comprenait maintenant comment pouvait se sentir Wulf la légendaire. Il refusait toujours de croire en l`existence des dieux dans sa vie, cependant il ne pouvait nier que le destin semblait avoir joué un grand rôle au courant de celle-ci.

Sans trop parler, il aida le plus de personne possible à rassembler leurs affaires afin de quitter le plus vite possible. Il voulait en finir une fois pour toute avec ce foutu Faolan. Après tout, il avait maintenant une quête beaucoup plus importante que n`importe quoi…mais p-e pas n`importe qui…

À un seul moment au courant des préparatifs il croisa le regarde de Nienna, et à ce moment, la culpabilité prit le dessus et il se contenta d`aussitôt regarder à terre. Ce regard lui rappela très brutalement une seule phrase ; « And I thought you actually cared about me? »

Winsthroft avait un gout amère dans la bouche, et cela n'était pas du a la viande sécher de voyage qu'il venait de manger. En effet, quelque chose clochait. Il y avait vraiment quelque chose qui ne tournait pas rond autour du jeune voleur.

Peut être que c'était du a la dernière aventure qu'il venait d'entreprendre. Pendant qu’il était en train de ramasser distraitement ses objets personnels, Winsthroft pensait à au personnes qui avait été impliqué dans tous les derniers évènements qui venait de se passer...

Premièrement Sir François... Qu'est-ce qui avait bien pus motiver un si grand changement de mentalité? Non seulement avait-il fait d'Éloise une serf mais en plus il avait libéré Éliam. Comment était-ce possible? Lui qui était si borner sur ces principes de noblesse, avait soudainement changé pour agir a l'encontre de se qu'il avait toujours été. Peut-être que c'était du au deux tentative de meurtre sur sa personne? Qui pouvait bien savoir se a quoi pensait le seigneur de la Britain?

Ensuite il y avait Bérégon. Le compagnon d'aventure avec qui le jeune voleur avait passé six derniers mois. Celui qui se faisait passer pour un simple forestier était maintenant devenu un sergent dans une armée de croisé. De plus, il était une sorte d'élu pour contrôler le pouvoir d'un livre maléfique. Jamais quelque chose du genre aurait pus être imaginable lors de la première rencontre avec se membre de la meute.

Il y avait aussi Chad, le nouveau protecteur de la comtesse... Il était un peut étrange. Il restait endormis très longtemps comparé au temps qu'il restait réveillé. De plus, pourquoi est-ce qu'il ne sortait que la nuit? Est-ce qu'il avait quelque chose a caché? Et pourquoi est-ce qu'il tenait tant que cela à intégrer la CRAP? Mais le plus intrigant, qu’est-ce que ce dernier faisait avec La Bête, lorsqu’ils ont été surpris à parler avec Faolan? Winsthroft décida de découvrir ce que cet étrange individu voulait vraiment... Mais il y avait un problème, Chad ne parlais que la langue des barbares... et le langage par signes n'était pas si précis que cela.... Winsthroft décida donc qu’il allait apprendre le Français a Chad afin de réussir a avoir des discutions avec ce dernier voulait percer le secret de se dernier...

Même Wulf, son amie d’enfance avait agit étrangement. Cette dernière qui autrefois était d’un tempérament assez contrôlé semblait de plus en plus sur les nerfs. Et pour quel raison avait-elle but du sang de son ami quelque temps après qu’il se soit fait embrocher (le terme est assez bien choisi selon moi :p ) au mur de l’auberge. Peut importe ce qu’elle disait, Winsthroft avait beaucoup de difficulté a croire que son amie était vraiment complètement guérit de son problème de lycanthropie…

Mais le plus étrange de tout restait quand même cette frase que Faolan lui avait dit. « Si je te rencontre de nouveau, je ne te ferez pas de mal… » Qu’est-ce qu’il voulait bien dire par la? Mais surtout, pourquoi l’avait-il dit?

Les choses devenaient de plus en plus dangereuses, cela était une des certitudes que le voleur avait. Il était assez facile de savoir que les prochaines semaines seraient très difficile et qu’il allait bientôt être de plus en plus délicat de faire confiance a ceux qu’il espère être ses alliers… Par contre quelque chose était certain, la Meute allait réussir a traverser cette épreuve.

L'enquête se poursuivit évidement, mais la concentration était si difficile et devenu si faible, qu'Eugène-François devait économiser ses sorts, puisque d'appartir de maintenant, il serait un défi de regagner du repos. Les derniers jours avaient été des plus difficile, la princesse de LaRochelle disparaissait un peu de son esprit et Faolan prenait plus de place, comme s'il en faisait une affaire personnel. Le silence étouffant lui donnait des maux de tête. Quoique toujours ensemble, il semblait se manigancer quelque complot. Il ne connaissait pas tout le monde personnellement, mais quelque un était de confiance:

- Mon cher Beregon, c'est a votre avantage, si vous voulez, que je vous réangage pour la route, parceque je vous suiverai quand même. Je dois poursuivre la route, quoique Watson à dut retourner a Challon pour un rapport détaillé des évenements qui ne sont pas prévu tel que... bien prévu!