After the night of Chiron

Tout près de la comtesse un tronc d'arbre flotta. Elle le reguardat se demandant si elle pouvait peut être s'y installer pour flotter, puis elle rmarquat que le tronc d'arbre avait on dirais des yeus... et une bouche... et les vestiges d'un nez, et... des bras.... A l'horeur de la comtesse elle réalisat que ce n'était pas un tronc d'arbre qui flottait, mais un corps mutilé, elle rguardat ver la berge au loin et elle put compter une dizaine de troncs d'arbre de pareille taille....

Wulf qui était déjà sur la rive, entendit le cri de la comtesse qui l'extirpa de sa prière solitaire. En quelques enjambées, elle se trouva aux côtés des deux femmes.

Wulf: Comtesse qu'avez-vous? Vous me semblez pâle?

Après ces paroles, la guerrière observa le lac afin de trouver la trace de l'agresseur. N'y voyant rien, Wulf s'avança dans le lac. L'épée au dessus de sa tête, elle cherchait la chose qui avait effrayé la Dame. Lorsque Wulf fit le pas suivant elle se retrouva la tête submergée dans l'eau et en tantant de nager, Wulf mit la main sur un de ces corps inanimé. De sa grande force divine, elle tira le corps dans l'eau peu profonde et appela Éliam afin qu'il puisse l'examiner et déterminé la cause de sa mort. Mais Wulf en avait une petite idée voyant une marque comme celle des victimes de Pyrgosi.

La nuit précédente avait été des plus difficile pour Éliam. Il trouva donc le voyage quelque peu difficile et il se tenu tranquil jusqu'au lac où ils camperaient.
Il avait installé sa petite couverture au pied d'un arbre et pendant que tout le monde semblait se dispersé il se retenu d'aller donner un coup de main à Klore et la Bête à monté l'abrit de la Comptesse. Il ramassa plutôt du bois et alluma un bon feu. Il s'installa ensuite sur sa couverture et grognotta un peu les miettes qui lui restait.

Il vit bientôt les dames quitter, parfum et serviette à la main pour un coin moins achalendé.

Au bout d'un moment le sommeil le gagna et à la lueur des flammes qui fascillaient il s'endorma. Mais que très peu longtemps alors que le cri strident de dame Laure-Emmanuelle résonna dans tout le camp.

Au moment ou Wulf cria son nom, Éliam venait de surgir en courant les armes à la main.

Ses premières observations furent d'abord la comptesse effrayée et probablement nue enroulé dans sa cape et Wulf tout habillée dans l'eau avec dans une main son épée et dans l'autre le cadavre d'un homme.

- C'est qui ça?
- Tu l'as tué ?!?!

Après que Bérégon eu fini de parler, Winsthroft fit un sourir réconfortant. Son ami était un peu perdu, et c'était normal. Après l'annonce d'une telle nouvelle il était normal d'avoir de la difficulté à plus savoir ce qui est vrai et ce qui est faux. D'une certaine façon, le voleur avait déjà passé par une épreuve du genre… sauf que dans son cas, il se l'était imposé lui-même.

Avant de prendre la parole, Winsthroft pris quelques galets et s'amusa à les lancer de façon a se qu'ils fassent des ricochet sur la surface du lac.

- Tu sais Bérégon....….

Visiblement Winsthroft ne savait pas par quoi commencé. Il continua a lancé quelques galets.

- La question n'est pas vraiment qui tu es, mais plutôt qui tu veux être. Il est vrai que le que la découverte de ton vrai père doit être troublant pour toi… d'autant plus qu'il est Dévonien, ceux qui tu détestais. Mais dans le fond, est-ce que sa change vraiment quelque chose? Après tout, tu ne l'as jamais vraiment connu et tu n'as pas été élevé dans le même monde que lui (dans le sens que Bérégon viens des Milandes). Tu as peut-être travaillé dans l'armée Dévone, mais malgré tout tu es devenu Bérégon, le ranger des Milandes… Pas Bérégon le soldat. Tu as toujours vécu pour défendre les opinions que tu crois juste et bonnes ainsi que les personnes que tu aimes, pas pour faire la guerre… Vois-tu la différence?

Il pris un petit moment avant de dire la suite.

- Pour moi, tes véritables origines ne vont jamais rien changer à mes yeux… Tu es et tu seras toujours un homme de Milandes. Mais ça, c'est se que moi je crois… Reste plus qu'a savoir se que tu veux.

Wulf fit glisser le corps dans l'eau peu profonde et le tourna afin qu'Éliam puisse voir son état de décomposition.

Wulf: Humm.. je ne suis pas mâitre en médecine mais à l'allure qu'il a celui-là, je dirais qu'il est mort depuis quelques jours.

Elle continua de tirer le corps de façon à le laisser sur la berge. Wulf se tenait là, trempée ses vêtements révélaient ses formes féminine qu'elle cachait trop souvent.

Wulf:Il y a d'autres corps sur l'autre rive...J'ai l'impression que nous sommes sur la piste de Légion. Dis-moi Éliam.. vois-tu une marque? ont-ils été brutalisé?

Fyrodan accoura de la forêt avoisinant le lac et apperçu la scène.

Il fut content de voir que tous les gens furent en sécurité, mais ça l'inquiétait de voir autant de corps morts... L'impact de ce soi-disant démon l'effrayait de plus en plus. Il semblait en savoir si peu sur ces créatures que ça le rendait inconfortable. Il commençait à avoir hâte de parler à Beregon pour connaître davantage de détails, mais il attendrait que celui-ci semble davantage prêt à parler. Fyrodan ne voulait pas empiéter sur son espace personnel dans ces temps de grands changements.

Fyrodan s'approcha du corps que Éliam observait, le regarda un peu, attendit les résultats de son diagnostique, puis alla voir la comptesse et klore pour s'assurer que tout allait bien, avant de repartir.

Il décida de procéder à examiner les lieux pour tout indice révélateur. Il fit le tour du lac à la marche, observant les autres corps flottant sur le lac de temps en temps. Puis il décida de faire quelques périmètres plus éloignés du lac, assez tranquilement pour voir s'il ne pourrait pas observer autre chose d'inhabituel ou des marques quelconques pour déterminer le lieu d'origine de ces corps.

Il se fit un note mentale qu'il irait repêcher les corps pour les enterrer proprement lorsqu'il aura finit ses recherches.

Décidément, le voleur avait bien raison. Bien que ses origines étaient dévoniennes, rien ne pourrait jamais lui enlever ses propres convictions. Beregon était d’abord et avant tout, un homme libre des Milandes, rien de plus, rien de moins. Malgré tout, il ne pouvait s’empêcher de ressentir de la peine par rapport a son père. Il ne sait pas vraiment pourquoi, mais il se sentait comme s’il avait toujours connu l’homme maintenant décédé. Cependant, il n’avait toujours pa la force pour réaliser ce qu’il était vraiment...il se sentait si faible depuis sa rencontre avec son père...ou plutot, Légion.

-J’admire vraiment ta sincérité mon ami, et c’est dans des moments comme ceux-ci que je...

Évidemment, comme à chaque fois que le forestier tentait de se vider le coeur, un bruit vint les déranger.

-Et merde...

La comptesse semblait crier un peu plus loin sur le bord du lac. Sans même hésiter les deux amis avaient déjà disparut dans la forêt pour arriver, à peine une minute plustard, auprès des autres. Beregon, arc tendu, s’arrêta un peu plus haut sur une grosse roche afin d’avoir une bonne vision sur la scène. Ce qu’il appercut l’horrifia au plus profond de son ame. Heureusement pour lui, ses années de militaire lui avaient apprit à ne pas montrer de sentiments face à une telle situation. Cependant, ses gestes le trahissaient...Beregon était effrayé malgré lui. Il ne pouvait empêcher sa main droite de trembler.

Après un court silence, le rodeur laissa son arc et son manteau afin d’aller rejoindre Wulf dans l’eau. Avant d’enter, le rodeur essuya à nouveau ce qui semblait être une larme et il se diriga vers un autre corps pour l’apporter sur la terre ferme. Sans dire un mot, il déposa un corps d’enfant sur la rive pour ensuite se laisser tomber à ses cotés. Sans trop savoir pourquoi, l’homme tenta les premiers soins. À toute vitesse, il enroulait le torses de l’enfant avec plusieurs bandages, mais tous savait très bien qu’il était trop tard. Il était maintenant clair que leur ami avait perdu la raison.

La peur avait de multiple facon de prendre le dessu sur un homme, et Beregon en était maintenant sa cible préféré...

La comtesse toujours terroriser, pleurait et tremblait, ses yeux toujours grand ouvert et repetait sans cesse

- des morts .. il son tous mort .. je me suis baigner avec les morts, son tous morts ...

elle regarda avec froyeur le corps que Wulf sortie de l'eau, la Contesse pleurai encore plus de voir c'etait avec ce corps mutiler quelle a partager le bain de minuit. la scene d'horreur n'arretais pas pour Laure-Emanuelle. Lorsque Beregon arriva a son tour sur la rive avec un enfants, la Contesse mis sa mains devant sa bouche pour retenir son gouter. elle regarda Beregon et lui dis tout haut.

- Beregon arrete .. arrete .. ils sont morts .. ils sont tous morts .. ca sert a rien de les soigner .... arrete..


Laure-Emanuelle couvrit un peu plus son corps denuder et s'exclama un peu plus fort au autre

- Arreter le .. quelqu'un enlever lui l'enfant ...

les larmes ne cessa pas de couler sur les joues de la Comtesse.

Éliam compris rapidement le scénario que se dressait devant eux.
Ne sachant trop s'il sagissait d'un homme ou bien une femme, il aida Wulf à le sortir de l'eau. Et à leur grand étonnement les jambes n'y était pas. Lorsque Beregon sortit l'enfant, il eux la même fâcheuse décourte. On se rendit compte bientôt que tout les corps était vraiment méconnaissable. Complètement nu, privé de leurs membres inférieurs, de leurs organes génitaux et même défiguré au point de pas pouvoir différencer les hommes des femmes pour la plupart.

Éliam était normallement habitué au sang et blessures graves mais il ne pu s'empêcher de prendre du recule 2 secondes se couvrant la bouche et le nez pour respirer un bon coup et reprendre ses esprits.

- Beregon arrête! (Il tira son ami et le poussa au sol pour le raisonner)
- Je suis désolé.

Il s'agenouilla pour sortir de menus outils de sa pouch qu'il trainait à sa ceinture. Puis se pencha sur le corps.

- J'ai jamais vu pareille chose avant. Nienna tu es où lorsque j'ai besoin de toi?
Ok.... premièrement à l'odeur... ça ne semble pas faire très longtemps qu'ils sont là. Il n'ont pas encore commencé à se décomposer. Ceux dans l'eau ont commencé à être mangé par les poissons ce qui rend les choses un peu compliqué. Nous devons aller voir de l'autre côté.

Alors qu'Éliam contourna, les autres le suivirent tout en se sèchant ou s'habillant. Il aida bien sûr Wulf à sortir avant.
Lorsqu'enfin ils arrivèrent de l'autre côté, ils purent voir le découragement dans le regard appeuré de Fyrodan qui s'y trouvait déjà. On pouvait compté entre 30 et 40 corps dans le même état que le premier.
Éliam hésita un moment regardant autour espérant y trouver un survivant. Puis il résigna à reprendre l'autopsie.

- C'est affreux! Ils sont complètement dévisagé. Il ya des marques de tortures partout et à voir le sang et les moignons, leurs jambes ont été coupées alors qu'ils étaient encore vivant.

Un frisson lui traversa l'échine.

Il y a avait probablement les corps d'hommes, femmes et enfants mais pas en assez grand nombre pour que ce soit un village. Une légère odeur de brûlé ne semblant pas venir de leur feux et Beregon porta à leur attention les traces au sol qui laissait croire que les corps auraient pu avoir été trainé là ou qu'ils ce seraient trainés d'eux mêmes.

Suivant les traces ils trouvèrent rapidement ce qui devait être un petit village l'autre côté d'une butte. Des animaux couraient et se chamaillaient pour des bouts de corps. Le village était presque complètement en cendre. Plusieurs signe religieux couvraient les murs et le sols et certain corps étaient définitivement disposé de façon à présager des cérémonies quelconques et sacrifices humain.

- Ca ne fait pas plus d'une journée... maximum deux qu'ils sont mort. Vous croyez que c'est Legion qui aurait fait ceci à lui seul?

Prêt du lieu où avait probablement eux une cérémonie, ils purent voir une pile pouvant contenir les jambes d'une centaine de personne.

Fyrodan en était à son deuxième tour du lac lorsqu'il arrêta et se mit à genoux puis pleura. Ses compagnons de voyage étaient très loin de lui maintenant, à l'autre extrémité du lac.

Ça l'avait frappé tout d'un coup, après le massacre du village puis maintenant tous ces corps dans le lac, il ne pouvait continuer sans laisser tout ce choc, cette tristesse et cette peur évacuer un peu. La mort de tant de gens... et n'a pas pu empêcher le massacre.

Il continua à pleurer pour plusieurs minutes puis s'endormit finalement sur place, après une quizaine de minute à laisser couler silencieusement ses yeux.

Lorsqu`Éliam le poussa, le rodeur resta couché à terre un bon moment pour finalement se relever de peine et misère. Encore une fois, sa main droite ne cessait de trembler et peut importe ce qu`il tentait de faire, celle-ci persistait.

Il prit plusieurs grandes respiration avant d`aller rejoindre le restant du groupe qui s`était rendu au petit village. Dès son arrivé, il remarqua les traces et l`indiqua aux autres. Encore une fois, le forestier n`avait adressé la parole à personne, pas même pour exprimer des sons de dégouts.

Pendant que les autres observaient la scène afin d`y trouver ne serait-ce qu`une petite source d`espoir de survivants, le forestier ne pu s`empêcher de s`assoire désesperément à terre. Après quelques minutes à faire le symbole de Légion dans le sable, son attention fut porté vers une trace particulière...mais ce n`était pas possible...qui aurait pu accepter...

Il se leva péniblement pour finalement suivre plusieurs traces et s`arrêter subitement à la lisière de la forêt. Très calmement il se retourna vers ses amis et laissa quelques mots sortir de sa bouche.

-C`est normal d`après vous qu`un seul entre...mais que plusieurs sortent?

Lorsque Wilson vu le corps sur le bord de la rivière et la comptesse qui était dans tout ses états, il accouru vers elle. Klore était traumatisée par ce qu'elle voyait et n'appercu pas Wilson se glisser derrière la comptesse. Il l'a pris dans ses bras et la serra contre lui.

Malgré qu'il était lui-même boulversé par ce qu'il voyait, il s'efforca de détourner le regard de Laure-Émanuelle.

Wilson : Ne regarde pas la mort de cette façon. Cet enfant est bien entendu mort trop tôt, mais la nature va l'accueillir en son sein.

Wilson remarqua que les corps semblaient mutilés tout comme ceux qu'il avait remarquer au village de Firenze. Surement que c'est l'oeuvre des disciples de légion ou de ce prêtre fou.

Wilson : Laure-Émanuelle, je sais que tu veux que je regarde mon passé, mais avant nous devons empecher ce démon et ses disciples de continuer leurs ravage. Je te promet que je vais te suivre lorsqu'il ne sera plus une menace.

Wilson ne savais pas trop comment réconforter une dame. Il avait passé trop de temps dans le bois... dix ans déjà... à 35 ans il commencait à etre rouillé.

Wilson : N'ait pas peur... je vais te protéger. Je vais faire en mon possible pour qu'il ne t'arrive rien.

Wulf détourna ses yeux de Beregon et se désola de le voir ainsi. Elle voyait la peur clairement qui s'affichait dans les yeux de son ami. Plutard, elle veillerait à cette affaire mais pour l'instant, l'effet chaotique qu'éveillait cette situation Wulf avait comme devoir de garder la tête froide et de se préparer à affronter de nouveau une créature de l'enfer.

Toujours trempée et oubliant les frissons qui la gagnaient, la guerrière se tenait droite et n'affichait aucune peur seulement de la déaolation. Elle se mit à réfléchir à haute voix.

Wulf: Il faut retrouver les prêtresses de Myarr. Je dois absolument discuter avec Isabeau....Oh.. Brigid.. donne-moi la force et l'énergie afin de mettre à terme cette mission avant que d'autres pauvres innocents payent de leur sang!!!


Et lentement, comme dans un ballet guerrier, wulf mit genou au sol.

Lorsque Wilson entoura ses bras sur la comtesse elle sursauta, deja fragile et terroriser par la situation elle se tourna vers l'homme et se serra contre lui laissant couler des larmes. Son corps vetue seulement d'une cape grelotais de peur et de froid. au parole de Wilson, Laure-Emanuelle detourna son regard du corps du jeune enfant. Elle le serra encore une fois avant de lever son regard rempli d'emotion.

- l'auteur de ce crime est inhumain, comment quelqu'un peu penser faire ca a des enfants .. et si jeune.

elle deposa sa tete sur la poitrine de Wilson, les batement du coeur de l'homme la reconfortait. elle resta ainsi pendant un moment et ecoutais les promesses de Wilson. elle retourna son regard vers lui

- et je vous aiderais du mieux que je peux pour demolir cet individue. je n'ai pas beaucoup de pratique au combat mais je me batterai a ma facon ... meme si il faut que je soi encore la proie.

La jeune Comtesse regarda Wilson dans les yeux et lui fit un leger sourire et sur les dernieres parole de Wilson les joues de Laure pris un peu plus de couleur.

- je vous remercie grandement pour votre protection. j'en suis reconnaissante. merci encore ..

Elle se serra encore une derniere fois sur l'homme pour ensuite reserrer la cape a son corps nue.

- je crois que je vais aller me vetir ....

Éliam resta figé un bon moment devant la scène. Il avait l'impression d'entendre encore les cries de douleurs, des pleurs d'enfants, les flammes, ses gens démembrés qui se trainent....

La comptesse, accompagné de Wilson et Klore arriva peu de temps après. Cette dernière s'approcha d'Éliam puis posa ses mais sur ses épaules. Était-ce pour le réconforté ou de la peur et de l'effroie. Ce qui fit faire un saut à Éliam et le sortit de sa torpeur. Au bout d'un moment il se dégagea et insouciemment avança parmis les corps.

Il rejoignit lentement Beregon qui venait de trouver des traces.

Après un moment à essayer de voir ce que ce dernier lui montrait, Éliam arriva à les déceler. Une piste encore toute belle dans la terre humide montrait belle et bien que quelqu'un était entré récemment. Et une dizaine d'autres empiétaient par dessus dans le sens inverse.

On avait maintenant une piste à suivre. Avec Beregon et Wilson nous devrions pouvoir le suivre. Un seul problème demeurait. Combien de temps d'avance avait-il sur eux? Et restait à savoir s'il avait besoin de dormir. S'il avait maintenant des gens qui le suivaient, eux devraient probablement dormir et manger. A moins que la cérémonie était pour les tranformer en undead?

- Dire que j'ai discuté avec cette chose comme si de rien n'était. Il aurait pu m'écraser comme une fourmie. (Éliam se parle à voix haute)

- Wulf, est-ce que les démons doivent dormir et manger eux aussi?

Contrairement aux autres, Winsthroft était moins affecté par la mort de toutes ces personnes. En fais, il s'en foutait presque. Voila bien longtemps qu'il avait appris a ne pas se préoccupé de la mort des gens qu'il ne connaît pas. Dans le cas présent, ce n'était que des malheureux qui se sont trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment.

Le visage du voleur en disait long sur sa manière de penser. En effet, il était possible de voir un petit sourire sur ces lèvres… un petit sourire sadique. Mais comme tout le reste des gens de son groupe était préoccupé par la scène qu'ils étaient en train de voir et qu'il était un peut en retrait, personne ne le remarqua.

La question était maintenant, qui avait vraiment fait cela? Bien sur, vu le contexte, les soupçons poussaient vraiment sur Légion. Mais pourquoi? Qu'est-ce que sa lui rapportait de massacrer des villages de cette façons? A part le plaisir du meurtre, Winsthroft n'était pas capable de voir d'autre explication…

Soudain une idée lui passa par la tête… une idée qui le terrifia. Et si le Marquis de Sadis avait aussi une part dans cette histoire? Après tout, ce ne serait quand même pas la première fois qu'il ferait tuer plusieurs personnes en un seul coup. Peut-être qu'il voulait de la chair fraîche afin de créer des morts-vivants pour les mettes dans ses sinistres donjons (ici, faut se rappeler la salle remplis de mort vivant de la game de Dnd l'hiver passé). A moins que ceci ne soit qu'un message….

Non… cette théorie était trop poussé… voir impossible. Quoique… Qui pouvait vraiment savoir se à quoi peut penser le marquis?

Afin de voir a quoi s'attendre, Winsthroft commença a examiner de plus prêt les corps qui était au village afin de voir les marques qu'ils avaient sur eux. Ils voulait la source des marques qui avait porter les coups mortelles… Avaient-elles été fait avec des armes humaines ou avec autres choses?

Wilson : Éliam, est-ce que tu peux t'occuper de la comptesse? Elle a besoin de réconfort et j'ai une tâche importante à accomplir.

Wilson regarda la comptesse droit dans les yeux.

Wilson : Je sais que cette scène vous horrifie, essayer de vous mettre à l'écart pour reprendre vos esprit. Loins de moi l'idée de vous laisser seul avec ces tourments, mais je dois récupérer les corps de ces malheureux villageois et leur donner une scépulture décente.

Wilson savait qu'il en aurait pour une ou deux journée de travail. À moins que les hommes du groupe se mettent à la tâche, mais il faut aussi poursuivre Légion. L'empêcher de continuer son ravage.

Wilson : Éliam, je ne sais pas ce qui motive ce démon, mais il n'est certainement pas sur le point de s'arrêter.

Wilson : Bérégon, est-ce que tu peux guider le groupe à la poursuite de ce démon? Laisse moi le signe des forestier sur la piste pour que je puisse vous retrouver. Je dois retourner ces malheureux à la nature pour qu'elle prenne soins de leurs âmes.

Sur ce, Wilson enleva sa cape et sa chemise et plongea dans l'eau du lac. Il se dirige vers un des corps flottant et commence à les rapporter sur la berge. Même s'il semble ne pas être affecté de l'extérieur, de l'intérieur il était totalement boulversé. Il se parlait à lui-même tout haut.

Wilson : Pourquoi tuer si ce n'est pas pour se nourir ou pour répondre à ses besoins primaires? Même les loups garous ne tuent pas seulement par plaisir. Ici ce n'est qu'un massacre tout simplement cruel.

Beregon était déjà parti dans ses pensées. Il ne savait pas trop pourquoi, mais il semblait incapable de rester concentrer dans cet endroit. Pourtant, il avait vu et fait des choses pratiquement aussi horrible sans jamais se laisser emporter par la peur. Quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire...Beregon n'était pas lui-même...le symbole? c'était ca!!!

-Le SYMBOLE!!!

Beregon réalise qu'il vient de crier inutilement. Essuit une larme de l'oeil gauche à nouveau.

-Désolé...je...sans problème Wilson. Je vais ten...je vais guider le groupe à la recherche de mon pèr...de Légion.

Il prend une grande respiration.

-Cependant, il est hors de question que tu restes ici seul. Winstroft? tu sembles avoir le coeur plus solide que la plupart d'entre nous...

Le forestier regarde la lune et à la grande surprise de tout le monde se parle à haute voix.

-Wulf à raison..oui oui...il nosu faut les pretresse...mais..mais nous ne pouvons nous séparer d'avantage...tu pourrais demander à Windston d'aller chercher les pretresses...oui oui...c'est ca Windston

Ne réalisant pas qu'il vient de parler à haute voix.

-Windst...Wilson et Winstroft, lorsque vous aurez terminé, ca vous dirais d'aller chercher Isabeau et ses disciples? Comme Wulf l'à mentionnée, nous allons avoir besoin de leur aide...principalement celle d'Isabeau qui semble très puissante...elle possède peut-être la force de repousser les démons?

Fyrodan se réveilla un peu plus tard et se leva pour lentement se remémorer où il était. Il décida d'abandonner les rondes qu'il avait entrepris pour s'affairer à extirper les corps de l'eau. Il commença à se dévêtir de sa cape, son sac et ses accessoires lorsqu'il apperçu un oiseau perché à quelques mètres de lui. Il sortit un petit cube de sucre et dit: "co-ennaghtyn"

Il s'approcha doucement de l'oiseau, mais celui-ci ne bougeait pas. Fyrodan demanda à l'oiseau ce qui s'était passé ici. L'oiseau s'agita un peu comme pour dire à Fyrodan qu'il ne préférait pas parler ce cet événement... Fyrodan lui demanda encore gentiment et l'oiseau lui fit comprendre que tous les animaux de la régions ont fui à lorsque la créature est venue porter tous ces corps et qu'ils ne faisaient que retourner. La peur se voyait dans les mouvements de l'oiseau si bien que l'oiseau s'envola subitement vers le nord. Fyrodan pouvait déceler que des forces maléfiques d'un envergure terrifiante étaient bel et bien à l'oeuvre ici.

Il plaça ses effectifs à l'abrit et pénétra dans l'eau avec une seule couche de linge sur le dos. Il nagea un peu plus loin pour ramener un corps de jeune femme. Sur le chemin du retour il fut surpris de voir Wilson dans l'eau émettre un commentaire... Fyrodan s'arrêta un peu et répondit:

"Les démons ne sont pas des créatures de la nature. Leurs besoins primaires semblent bien différents des nôtres. Je ne les connais pas bien du tout, mais on pourrait croire qu'ils se nourrissent de l'esprit des gens de leur mort..."

Il semblait que Wilson aussi avait pensé à enterrer les corps. Puis Fyrodan continua sa route avec son corps, ne désirant pas passer une éternité accroché à un corps mort.

Il déposa le corps que Fyrodan avait traîné hors de l'eau avec peine et misère. Ils étaient décidément très lourd. Il aurait besoin d'y aller à son propre rythme. Il décida donc de prendre une pause et consacrer un lieu qu'ils pourraient creuser et faire reposer les corps et les esprits de ces gens paisiblement. Peut-être ceci leur permettra-t-il de regagner leur corps comme. Ce pouvait-il que le démon détruisait toute vie dans ces personnes?

Fyrodan trouva un endroit dépourvu de végétation dense, mais qu'ils pourraient creuser facilement. Il y délimita un endroit à l'aide de branchailles et créa des petits monuments de pierres autour desquels il installa quelques chandelles ainsi que des fleurs. Il se trouva des pierres qu'il pourrait utiliser pour creuser. Il attendit que Wilson regagne la berge et le convia à le rejoigne afin de faire une prière et une cérémonie en l'honor des défunts.

"Que la nature, bénie par la grâce de Myharre consacre cet endroit.
Ces brâves gens étaient au mauvais endroit au mauvais moment.
Une terrible souffrance s'est abbatu sur leur corps physique.
Puisses-tu te remémorer de leur vie et ainsi leur accorder à tout le
moins un repos paisible auprès de leurs ancêtres.
Myharre, sauve ces gens de l'emprise de ce démon, Légion.
Fait de cet endroit un sanctuaire pour tous ceux qui y seront enterrés
où qui y erreront lorsque leur esprit sera séparé de leur corps.
La nature saura vous protéger de vos aggresseurs, reposez en paix."

Puis Fyrodan s'assoya puis pria paisiblement et silencieusement pendant quelques minutes. Puis il se leva et retourna au lac afin d'aider Wilson à repêcher les derniers corps. Cela prendra beaucoup de temps pour creuser et enterrer les corps convenablement, mais c'était important pour Fyrodan d'accomplir ce geste. La terreur de Légion ne doit pas nous réduire à des êtres oubliant leurs rites et à perdre notre sensibilité à des événéments tels que ceux-ci, sinon c'est lui qui l'aura déjà emporté.

Wilson : Merci de guider le groupe vers Légion. Si Winsthroft veux bien m'aider ca serait apprécié. Par contre je veux pas diminuer trop le gros de nos forces au cas où vous ayez des problèmes.

Wilson continua de trainer les corps vers la berge. Lorsqu'il vu Fyrodan l'aider à trainer les corps et leur préparer une scépulture, il fut soulager.

Wilson : Merci Fyrodan, je sais que tu peux aider ces âmes à rejoindre Gaïa. Tu sais qu'on en a pour quelques temps. Il faut retirer les corps de l'eau et ensuite récupérer ceux du village. J'aimerais leur donner une scépulture pour chacun. J'aimerais aussi faire un peu de ménage dans ce village. S'il n'y a pas de survivant, on devrait bruler le village de manière contrôler pour le retourner au sol et permettre à la forêt de purifier l'endroit.

Sur ce, Wilson s'agenouilla et fit une prière à Gaïa avec Fyrodan. Malgré que Fyrodan croyait aux dieux, Wilson croyait fermement que les âmes ne quittent jamais la terre. Ils restent dans l'énergie commune qu'il nomme Gaïa. C'est elle qui donne la force à la nature, c'est de là que les mages, druides et prêtres puisent leurs sorts. Ce n'est pas un dieu conscient, c'est tout ce qui est vivant autour d'eux.

Wilson : Fyrodan, j'ai demander à Beregon de guider les autres sur les pistes de Légion. Nous pouvons prendre le temps de remettre cet endroit à la nature et de donner les derniers respects aux villageois. Beregon m'a demander d'aller chercher Isabeau. J'aurais aimer rejoindre rapidement le groupe à la poursuite de ce démon. Par contre si la seule manière de contacter Isabeau est de se rendre vers elle, je le ferai.

Wilson replongea dans le lac pour repêcher d'autres corps. Il n'avait pas beaucoup de problème pour trainer les corps, mais cette situation l'affectais tout de même.

Suite à sa réplique, Wulf regarda Éliam et le darda d'un air découragé.

Wulf: Manger? dormir?

Elle entraîna Éliam à l'écart afin de s'entretenir plus discrètement avec son ami.

Wulf: Éliam.. tu ne sembles pas comprendre la grandeur et la force de l'être qu'on poursuit. Il ne s'agit pas ici de loup-garou qui chassent leurs proies, ni de dryades frustrées par tes mauvaises actions et encore moins d'orc sales et puants. Mais nous avons à faire à l'oeuvre d'un démon! Un être immonde qui se nourrit d'âme! et toi qui doute des dieux..laisse-moi te dire que manger des âmes pour déjeuner c'est encore plus troublant que de perdre un bras aux crocs d"un loup! *silence* Bon ...on a besoin de ton aide....

La guerrière laissa Éliam rejoindre la comptesse pour qu'il la réconforte au désaroie de Wulf.

(j'ai édité .. vous êtes contents la?... avant de traiter les autres d'ignorants faudrait p-e vérifier les faits!.. Wilson et moi on a posté en même temps c'est tout)

Beregon fut assez surpris par Wulf...et lorsqu'elle quitta il se permit de parler, comme si cela servait vraiment à quelque chose.

-Bon et bien les plans semblent avoir changés...Wulf est partit seul. Wilson et Fyrodan s'occupe des corps. Le reste...on part si vous voulez bien?

(SVP lire un peu les autres post avant d'écrire le sien...)

(les histoires se modifient à mesure qu'on écrit lol!... ça m'a pris près de 45 minutes écrire mon post plus tôt Pat...)

Fyrodan répondit à Wilson:

"Je crois que ce serait plus avantageux pour moi d'aller chercher Isabeau pour quelques raisons. Premièrement, Isabeau me connais assez bien puisque j'ai vécu au même manoir qu'elle pendant plusieurs années, alors elle me reconnaîtra et n'aura pas de misère à me croire et me suivre. De plus je sais où la trouver exactement puisqu'elle est encore au même endroit où moi et la comtesse l'avons quitté il y a quelques temps. De plus, j'aime savoir que la comtesse et les autres sont entre les mains de braves combattants comme vous Wilson. Moi je suis maître à me promener dans la nature. Je n'aurai pas de problème à vous retrouver par la suite, les animaux me guideront si vos traces sont difficiles à retrouver au bout d'une semaine."

Fyrodan réfléchit quelques instants et ajouta:
"Il y a un certain temps lorsque je suis allé à la bibliothèque du Roi avec la comtesse j'ai cru avoir lu un passage sur une certaine magie druidique qui protège des créatures maléfiques. Je vais voir si je ne pourrais pas me renseigner davantage pour apprendre comment faire. De mémoire je peux vous dire que ça risque de prendre quelques mois... mais il faut bien commencer quelque part."

"Qu'est-ce que vous en pensez?"

(je pars de 20 au 31 août alors ça me donnerais une excuse pour être absent du bab ;P)

Après quelque temps, Winsthroft abandonna ses recherches. Visiblement, la cause de la mort de toutes ces personnes ne semblait pas être humaine… Dans une certain sens, le voleur en était heureux. (au fais, est-ce qu'il y avait le symbole de légion sur les corps?)

Puis il entendis Bérégon crier ainsi que se parler a lui même. Il était très facile de voir que le rôdeur n'allait pas bien…. Cela n'était vraiment pas bon… Quelqu'un devait faire quelque chose pour l'aider, car autrement, comment pourrait-il mener le groupe jusqu'a Légion?

Winsthroft eu une idée. Il s'approcha doucement de Bérégon lorsqu'il eu fini de parler. Rendu a quelque pas de ce dernier, le voleur leva son bras droit dans les air et…. *BANG* … Le voleur venait de gifler son ami dans la figure d'une façon assez forte au grand étonnement de tous les autres aventurier (oui oui, même avec mon "force 0" je peux gifler fort bon! ). L'objectif était bien sur de remettre les idées de son ami en place. Par la suite, le voleur commença a parler d'une façon autoritaire :

-Bérégon, sa suffit maintenant! On se réveille! Comment penses-tu que l'on va être capable de finir cette aventure, si le chef de groupe n'est même pas capable de réagir normalement?

Winsthroft regardait directement dans les yeux du rôdeur. Un peu comme si le simple fais que ses yeux bleu le regarde son ami de cette façon pouvait le guérir du mal qui le rongeait. Puis, tout d'un coup, l'expression faciale du voleur s'adoucit et il dit d’une façon très douce et amicale :

- Inquiette toi pas, je vais aller aider Wilson a enterrer les morts. Ensuite on partira chercher Isabeau et les autres prêtresses qui voudront bien suivre. Peut être qu'en me déplacent directement a leur monastère je vais pouvoir avoir plus de conquêtes… heu... Je veux dire on va pouvoir avoir plus d'aide. On revient le plus vite possible.

Après son léger "lapsus", Winsthroft regarda en direction de Wulf et lui fit un clin d'oeil. Il était assez facile de voir que le voleur avait dit cela afin de détendre l'atmosphère assez tendue qui régnait depuis la découverte des corps.

(Introduisez ici la réaction de vos personnages)

Lorsqu'il eu fini de parler, Winsthroft partis en direction du lac. Après quelque mètre de parcouru, il se retourna en direction des autres aventurier puis pointa Bérégon.

-Bear… (si on se souvient bien, c'est comme ca que Winsthroft surnommais Bérégon avant)… en attendant que moi et Wilson reviennent, arrange toi pour survivre. De toute façons, je ne donne pas le droit de mourir avant qu'on ne revienne.

Puis c'est a se moment que Wulf décida de partir seul en direction de Larochelle pour aller chercher les prêtresses. Winsthroft était légèrement confu par la réaction de son amie d'enfance. Il la salua lorsque celle-ci passa devant lui et il se retourna en direction de Bérégon puis dit :

-Bon bin… sa a bien l'aire que je c'est moi qui va rester pour veiller sur toi. Par ou on va chef?

Il fit un sourire. Bérégon savait très bien que Winsthroft était en train de se moquer gentiment de lui.