Vous avez dit Larochelle?

Le vent était tombé dru et Éliam pu percevoir l'arrêt respiratoire que sa demande provoqua chez Wulf. Elle serra ses poings à blanchir ses jointures. Elle avait le choix de demeurer de glace devant la demande et de lui répondre oui contre son gré ou elle pouvait se ruer sur lui en rage. Domino...Domino...

Sans le regarder , Wulf sérieusement blessée, teint son discours d'un timbre qui se voulait des plus détaché. Mais sa voix traillissait parfois cette blessure.

[b]-Ta demande est sincère mais tes arguments ne tiennent pas. Ta vérité m'empêcherait peut-être de me cloîtrer dans la tour de Wulf. Sincèrement, si c'est l'envie d'être accompagné par une prêtresse ne serait-ce pas Izabeau que nous choisirions? Si mon épée et celle de la meute ne suffisent pas à nous protéger, ne demanderions-nous pas à Topanga? Tu me dis qu'il n'y a rien entre vous à part ;l'amitié.. et pourtant cette ... femme affecte ton jugement car tes arguments ne sont que de pauvres prétextes pour me suivre sans quitter Domino. En suivant la meute, Éliam, Domino nécéssitera ton support pour la protéger, pour la réchauffer et pour la combler et pour ce faire faudra que la ... meute s"immobilise. Parce qu'elle ne peut pas retourner à LaRochelle, tu es prèt à m'affronter pour lui éviter de faire face à son destin cependant pas plus que quelques minutes tu n'y voyais aucun inconvénient de t'y retrouver et cela malgré mes propres rétissances.

Il était aller trop loin dans sa demande.. et pourtant elle lui avait juré de ne pas intervenir. Il était libre et ça Wulf devait le respecter malgré tout le mal que cela lui coûtait. Elle était prêtre à souffrir pour son bonheur.

Éliam, je ne vois pas de raisons valables pour traîner Domino avec nous. Mais je te fais confiance et selon ce que Beregon en pense je plierai avec vous.

Elle se teint à ses côtés sans bouger .. mais une voix intérieur voulait tout autre chose.

Tirvor watched dispassionately as the usual small groups had formed, each with their own plans about whether or not to help Count Francois. Tirvor had no inclination to participate; he didn’t particularly care whether the Count got his lands back. Actually, he didn’t particularly care about anything anymore. He merely sat there on a comfortable spot on the ground he had found, waiting to see what would happen.

He would go back to LaRochelle, but not for the Count. He had to go home. See if anyone had survived. It had been several months since he received news of the attack, and he hadn’t heard anything since. They were likely all dead. And the worse part is, he realized with disgust, is that he didn’t really care… how the last couple of months had changed him for the worse. And he didn’t even care enough to change it.

He had almost ended it, almost gone through to the world of the dead with the lich. It would have probably made things easier. But at the last minute, he was pulled from the lich’s grasp. Now he had to try and figure out what to do with the rest of his life.

And after the battle, Domino had reminded him of his promise to help her. He watched her walk back to her camp to get start packing her gear. She was a stranger to him now. He wasn’t sure what had blinded him before, what he had seen in her, but now that he could watch her without any emotions or feelings, he realized how little he knew about her, despite the months spent together, as she never answered any questions about herself, even though he had talked freely about his own life.

He didn’t particularly want to help her anymore. Because of her, Eliam was still alive. Tirvor had suffered, holding back his desires for revenge. And in the end, it got him nothing, except the death of his own feelings and emotions. And after all that, everyone still remained with the murderer, defending him because it was obviously a completely unfortunate accident that he ripped someone’s heart right out of their chest. Nothing malicious was intended out of that, he thought with utter sarcasm.

Still, he would honor his word, and follow her into LaRochelle. His honor was all he had left. For how long, he wondered.

His thoughts were interrupted when a young girl approached him. He had seen her before, when he was walking with Samia, but couldn’t remember her name. He hadn’t really paid attention at the time, since he didn’t really care who she was. But here she was sitting beside him and asking him a lot of questions about who he was, why he was upset, what was this about Eliam killing his wife and child, and other personal questions. Tirvor avoided answering them, or responded sarcastically in such a way as to insult the girl so that she would leave, but it apparently didn’t seem to bother her. Well, he at least got her name this time: Mélielle. Now if only she would go away.

Trying to ignore the pestering child, Tirvor scanned about the camp. He could see Draken hovering near the Countess. Then he noticed Eliam and Domino talking… and then the long hug. While they had first left on their own separate way, Domino then stopped, yelled out Eliam’s name, then went running after him. It was as Tirvor suspected… the reason she defended Eliam’s murder of his son. He shook his head at this, realizing how everyone he thought were his friends were merely using him. It had certainly been an eye-opening weekend.

He then realized that Mélielle was still talking to him, asking questions, and wondering why Tirvor wasn’t answering. The young girl had noticed him staring at Eliam and Domino, however. << ahhhhh.... tu l'aimais ! >> she said. Really starting to get annoyed, he got up and walked away, hoping to be rid of the girl.

Thankfully, she got the message and went her own way.

Le forestier accepte aussitôt le chocolat que Nienne lui tend. Cependant, il ne répond absolument rien à la remarque au sujet de Légion. Il se contente plutôt de tourner son regard vers les feuilles qu`il tient dans ses mains. Le moins il pensait à Légion, le mieux c`était pour tous le monde.

Tout aussi longtemps qu`elle resta dans ses bras, Beregon en profita pour la serrer le plus tendrement possible. Lorsqu`elle approcha sa bouche de son oreille, le forestier profita du moment pour lui donner un léger baiser sur le front. Puis, elle se retira pour reprendre ses distances.

Pendant quelques minutes, qui semblent éternels, il pensa à ce qu`il devait faire. Quelque chose lui disait dans son coeur qu`il devait trouver cet enfant avant l`accomplissement de la prophétie, mais quelque chose d`autre lui disait de tout laisser tomber et de seulement rester auprès d`elle. Il repensa alors à ce que Sir Francois lui avait dit il y avait longtemps. C`est à dire qu`il ne pensait constamment qu`à lui-même et qu`il fuyait constamment les problèmes. Mais il n`était plus le même qu`il y avait deux ans. Il devait s`assurer que l`enfant existait vraiment. Cet enfant était, après tout, le seul espoir si la prophétie s`averait fausse.

-I do not like the idea of leaving you again. I need you Nienna. I...

Il ne pouvait quand même pas lui dire ca maintenant. Tout devait encore attendre. Il se contenta plutôt de la remercier pour le sort tout en lui souriant.

-I will see you really soon.

Subtillement, il prit soin de déposer quelque chose dans le sac de la belle druide. Sans trop le vouloir, il s`éloigna lentement de celle-ci. Pour finalement se retourner afin de lui adresser pour une dernière fois la parole.

-When I come back, I would like to talk with you. Not about all the problems that surrounds us...but only about us...I wish to know you...

Lorsqu`elle fouillerait son sac, elle y trouverait un pendantif envelopé de feuilles d`automne. Seulement plutard, elle apprendrait peut-être la signification de se symbole pour le forestier. Jusqu`à ce jour, personne ne le savait, et ce même les membres de la meute.

Éliam resta bouche bée pendant un moment.
Il savait que sa demande la ferait réagir mais jamais à se point.
Sous prétexte qu'elle ne voulait pas avoir à trainer des plus lents qu'elle. Éliam étant toujours celui qui lui demandait de s'arrêter pour une pause, il serait donc un boulet pour eux au long de se voyage qui s'annonçait des plus ardu. Il voyait très bien le scénario. Il ne s'y connaissait pas en géographie mais il avait déjà fait le voyage des Milandes à ici une fois et ça avait pris beaucoup plus qu'un mois. Ce qui annonçait un mois d'enfer. Les marches poussées deux fois trop longues que normales. Des racourcis dans des endroits désolés. Et l'hiver qui arriverait bientôt.

Il réalisa à ce moment que La Meute n'était peut-être pas sa place. Après tout, même Beregon et Win c'était trouvé une autre association avec la CRAP.

- De tout ce que je t'ai dit, tu n'as retenu que mes excuses sarcastiques. Je sais très bien que tu peux t'autosuffire. Que la lame de Topanga ou Garan ne ferait pas bonne équipe avec la tienne. Le voyage serait bien trop agréable. Il se doit d'être aride et difficile.

Je te parle ici d'une amie qui nous demande de l'aide pour ne pas avoir à retourner dans son enfer. Mais c'est peut-être là que tu veux la voir. J'aimerais bien savoir ce qu'elle t'a fait? Je le lui demanderai, peut-être qu'elle me parlera honêtement sans avoir peur de ses sentiments. Mais c'est vrai, tu ne sais pas ce que c'est que d'être serf.

(silence)
Il cessa de marcher.

- Mais en attendant tu as raison, TRAINER de l'excédent ne ferait que vous ralentir.

Il tourna et s'éloigna.

Wulf accrocha le colet d'Éliam assez rapidement pour l'empêcher de fuir cette discussion. Elle le fit pivoter vers elle et se reteint de se jeter dans ses bras.

-Éliam...Tu ne sais dont pas à qui tu as à faire! Je n'ai pas été serf car je n'ai pas travaillé sur le domaine d'aucun seigneur. Mais j'ai vu pire. Je doute que mes histoires soient aussi prenantes pour toi que la pauvre vie tumultueuse de Domino mais tu dois savoir afin.. Je n'ai pas toujours été une grande guerrière.. enfant dérobée de sa jeunesse, contreinte à voyager parmis des étrangers, travailler chez les aubergistes les plus profiteurs , j'ai su rapidement me défendre et protéger ma dignité en irrigeant cette muraille qui deveint Wulf. alors cesse de te rabaisser à ce piteux de rôle de serf et de prétendre que je n'y comprends rien!

D'accord tu veux aider une amie en ''détresse'' et pourtant lorsque je regarde le convoi nous en avons plusieurs amis en besoin de la Meute. Si Beregon n'avait pas eu ce besoin de retourner en Milandes, dis-moi qu'aurais-tu fais pour Domino ? Vous vous seriez séparé de la meute?, tu serais retourner à LaRochelle là où que de bons souvenirs réconfortants t'attendent?

Soudainement Wulf s'arrêta net, comme si Brigid lui souffla à l'oreille. Et Wulf cessa de parler car cela ne mènerait qu'à des disputes incensées.
Sa voix fut soudainement des plus tendre:

-Tes paroles me blessent plus que toute épée et tu demeures froid et insensible. Éliam, il ne s'agit pas ici de Domino, ni de la Meute ou de nos amis qui se donnent à nos causes.

S'est yeux fauves regardait droit au coeur Éliam.

-Il s'agit de nous.
*silence*
Laissons Beregon en décider, comme je t'ai dit par amitié pour toi , j'accepte. Mais si c'est l'envie d'être loin de moi... je comprendrai..je suis impossible.


Elle s'approcha de son oreille, ses lèvres frôlèrent sa joue laissant dans un murmure d'automne ces quelques mots.

...

Pour ensuite, lui donner un air désolé.. et de se diriger vers un coin solitaire dans la forêt.

Avant même que Wulf pu s`éloigner d`Éliam, le forestier passa directement entre les deux sans même arrêter pour leur parler. Il ne devait pas regarder en arrière.

-Je vous ai fait la demande, maintenant à vous de décidez si vous venez. Tout ce que je sais, c`est que je quitte maintenant et que si des gens veulent nous suivre, ils auront à apprendre à ME suivre.

Il s`était déjà éloigné lorsqu`il lacha un dernier commentaire.

-Dans 1 mois maximum je serai en terre Larochelle.

Avant de disparaitre dans la forêt, il salua de la main Topanga et Lionel.

Après avoir seulement fait quelque pas dans les bois, Bérégon put remarquer qu'une silhouette les regardaient d'un peu plus loin. Tout à coup cette dernière se mit en marche et alla directement vers le forestier. Il put donc discerner les traits de Winsthroft qui était maintenant rendu à coté de lui. En faisant un sourire complice à son frère d'arme, le voleur dit :

- Alors, je me suis absenté pendant assez longtemps pour que l'on veuille partir sans moi?

Puis son visage redevint sérieux et il dit :

- J'ai vu se qui vient de se passer. Donne moi quelque minutes et je suis prêt à partir avec toi.

Sans attendre la réponse de son ami, Winsthroft continua son chemin et alla voir les deux autres membre de la Meute. Rendus à quelques pas d'eux, il se mit a applaudir lentement. Cette manœuvre avait pour but d'attirer l'attention en plus de signaler l'ironie de la situation. Il dit d'une voix qui se voulait autoritaire :

- Ainsi donc voila se que vous entendiez par : "que notre sang mêlé au vôtre vienne sceller ce pacte à jamais et nous rende plus fort en étant unis"? Sachez, mon frère (en regardant vers Éliam) et ma soeur (en regardant vers Wulf), que je ne suis pas vraiment très fier de vous en se moment. Je croyais que la base qui nous unie est la confiance dont chacun portent envers les autres. Vous rappellerez-vous au moins que nous nous sommes promis d'être loyal et fidèle?

Il prit un instant afin d'observer les réactions deux membres de la Meute avant de continuer.

- J'ignore se qui c'est passer au courant des derniers jours pour que cette situation se mette en place. Par contre, se que je sais c'est qu'un de nos frère nous a demander de l'aide. J'ignore se que vous allez faire, mais je vous suggère de choisir rapidement. Moi je part avec Bérégon et je sais que je serais de retour à temps pour aider nos autres compagnons à Larochelle. Je suis même prêt a parier que rien de mal ne se passera pendant notre absence (pendant un instant, Winsthroft regarda du coin de l'oeil Éliam. Étrangement ce derniers eu l'impression que le voleur en savait peut-être un peu plus que ce qu'il ne voulait en dire). Peut-être même que nous arriverons avant eux si on utilise les chemins connu des rôdeurs.

Puis ses traits se radoucirent. Il ferma quelques instants les yeux comme s'il cherchait ce qu'il voulait dire. Au moment ou il les rouvrit, Winsthroft continua :

-Maintenant je vous demanderais de faire la paix entre vous deux et surtout de vous rappeler de votre serment. Rappelez-vous de ce que nous nous somme dit lors de cette soirée, car nous somme présentement dans le pire des moments.

Puis il retourna en direction de Bérégon. En arrivant au niveau de Wulf, le voleur mis sa main sur l'épaule de la guerrière et lui murmura :

- Pour une fois, laisse les rênes du cheval à ton petit frère.

Puis il se remit en chemin. Étrangement, pendant tout le temps de son intervention, Winsthroft ne sembla pas se préoccuper du sang coulait de façon abondante de son bandage sur son bras droit... preuve que le voleur croyait avec conviction que certain chose étaient plus prioritaires que d'autres.

Ses épaules baissèrent sous les justes remarques de Winsthroft, et elle céda sans répliques aux demandes de Éliam.

Winsthroft était arrivé juste à temps et sa proposition était très plausible.
Ces derniers jours Wulf avait très peu dormi car elle s'était préoccupée de la sécurité du convoi, elle s'était démenée pour sauver la comtesse de ces attaques de fantômes, rayer le périmètre de ces canibals, veiller aux portes du camp en solitaire, empêcher Garan de se jeter de nouveau dans les portes des morts, éliminer la litch Mil, protéger sa meute, gérer ce convoi mais quand était-il d'elle.. de ses besoins? Elle devait laisser Beregon ou Winsthroft prendre le rennes .. son jugement était affecté par la fatigue ou autre sentiment qui veuille brouiller sa raison.
Elle se jura de prier et de se purifier dès le premier arrêt de Beregon.


Wulf ajusta son sac de voyage, ses armes et son bouclier afin de mieux voyager dans les sentiers de rôdeurs et elle attendait face à la forêt que les intéressés se joignent à eux.

Lorsque le petit convoi de Bérérgon partit une ombre les suivi, en esseyant de ne pas se faire remarquer malgré son armure,son paquetage et ses très minces compétance pour se faire silencieux.

Nienna tried to keep her face unreadable as Beregon spoke, not wanting to make the decision harder for him. As he walked away she waved a small goodbye and watched him leave.

She watched him pass close to Wulf and Eliam, who both seemed to be upset about something, and then followed him with her eyes as he entered the woods. She stood there for a long time not moving, and thought she saw someone meet up with Beregon once he was in the woods. Her breath caught a bit, as she waited to see if it was someone one dangerous. She stood waiting and watching for a bit, before finally realizing the person was Winsthroft. Letting out a little sigh of relief, she shook her head wondering what the meute were up to this time... they always seemed to want to disappear from the convoy.....

Once she was certain Beregon and the rest of the meute would not see her reaction, she picked up her things and quickly followed Sir François, lost in thought and her face looking a bit haunted. She kept her head down and pulled her cloak up to hide her face, staying quiet for a long time, thinking about what to do and what to say. She needed to find a way to get Beregon to fall in love with someone else, before it was too late for him, before he wished he never met her...

Domage qu'il partait, et il ne savait nullement pourquoi, mais leur raison était surment bonne, il était inutile de contester quoi que se soit. De toute facon, leurs chemins se croiserait de nouveau dans pas très longtemps c'est certain. Lorsqu'il vu Beregon les salué pour la dernière fois pour quelque temps, il fit un signe de tête évident. Bonne chance mon vieux, à bien tot se dit-il. Il se tourna vers Topanga:

- Rien ne sers de rester ici à se poser des questions n'est-ce pas. Qu'as-tu en tête?

Topanga avait combattu aux côtés de Lionel auparavant, mais ce n'est que récemment qu'elle commençait vraiment a apprécier Lionel comme ami! Elle se retourna donc vers Lionel, avec un air un peu surpris et confus :

- Bien Lionel, pour être bien honnête avec toi, je n'ai aucune idée de ce qui se passe en ce moment. Je commence à entendre que certaines personnes veulent partir et ne pas rester avec le groupe. Par contre, Je suis bien en accord avec toi qu'on ne devrais pas rester ici. (pause/soupir)

Du coin de l'oeil, elle voit Éliam et Wulf qui commencent à se préparer à partir.

- Excuse moi Lionel, je dois aller parler à quelqu'un. Je te reviens dans pas très long.

Elle se dirige donc vers Éliam pour lui poser quelques petites questions.

-Éliam...qu'est ce qui se passe?...Nos chemins se séparent encore?...Je ne comprends plus. Bien dans le fond...pourrait tu prendre quelques minutes pour me parler en privé? (reste de la convo en privé)

Lorsque Wulf approcha pour lui souffler un mot à l'oreille, le regard d'Éliam changa au neutre. Il ne sembla même pas réagir au retour de Win et ne passa pas de commentaire.

Topanga s'approcha alors et lui demanda un instant.

Éliam resta de glace un moment puis lui fit signe d'attendre un instant.
Il dirigea son regard vers Beregon et lui dit:

- Tu m'as promis 2 jours. Je t'en demande au moins une. Sinon quittez sans moi.

Il ramassa Topanga par le bras et l'entraina plus loin...

Après la requête d`Éliam, le forestier voulu éclater de rage. Il avait de la difficulté à contenir son mécontentement. Tout ce qu`il désirait c`était de quitter immédiatement et personne ne semblait réaliser à quel point c`était nécessaire. Plus il attendait, plus il pourrait décider de rester. La petite voix dans sa tête continuait à lui dire de tout simplement rester.

Même l`arrivé soudaine de Winsthroft n`avait pas convaincu Éliam de se grouiller le cul. Au moins Wind était de retour.

Beregon: À pis de la marde!! J`y vais seul...on se verra un autre jour bande de minable...

Et il avait disparut. Pendant qu`il courait dans la forêt, il ne pouvait réaliser à quel point il venait tout juste de laisser le vieux Beregon parler.

Finalement, Éliam et Wulf eurent quelques minutes pour discuter afin d'éclaircir certains différents. Leur discussion avait l'air sérieuse et les yeux curieux détournaient le regard se sentant de trop dans cette intimité.

Après un moment d'immobilité, Wulf se leva, s'arrêta.. baissa la tête.. et s'apprêtait à disparaître dans la forêt:

-Éliam. on partira demain.. je ne peux faire le voyage dans cet état. Fais tes adieux. Je connais ce village où Beregon s'en est allé et nous partirons dans la même direction demain à l'aube.

Et, elle disparue dans la forêt pour prier et vénérer La louve Brigid.

Éliam passa un bon moment à discuter avec Topanga avant de se résigner et laisser tombe les épaules.
Il fit une grande accollade à sa soeur d'arme puis dans un grand soupir, il chercha le courage puis alla à la rencontre de Wulf.

- Je viens d'adopter Topanga. (sourire)

Wulf le regarda d'un air très peu enjoué.

- Bon, ca va. On doit se parler.

Contrairement à son habitude, la grande guerrière ralentit le pas pour laisser passer le convoit et fermer la marche.
Ils discutèrent un très long moment durant lequel les curieux purent voir que la discussion était animé et intence.
Mais au bout de quelques heures ils se calmèrent tous les deux.

Wulf quitta lentement pour la forêt.

Éliam demeura un moment seul en arrière à mijoter.

Au bout d'un moment Éliam remarqua Domino qui le regardait de loin et semblait hésiter à venir le voir ne sachant s'il préférait être seul.
Il se dirigea vers elle l'air apparemment attristé.

- Ca ne s'est pas très bien passé comme tu as pu voir. Elle n'a pas vraiment apprécié la proposition et elle a ses raisons qui n'ont pas vraiment à voir avec toi personellement quoique tu puisses en croire.

Il baissa la tête...

- Je suis désolé mais je dois aller avec eux demain matin.... et ils ne veulent que les 4 membres de La Meute. Je sais que tu ne comprendra pas mais je dois le faire mais je serai de retour avant que vous n'arriviez à Larochelle.
Je vais demander à Topanga de te tenir compagnie et s'assurer qu'il ne t'arrive rien avant mon retour. Nous trouverons une solution. Si tu veux bien sûr.

- De plus... je ne sais pas s'il pourrait faire de quoi, mais j'ai pleinement confiance en Sir François. Il est un bon maître contrairement au tien et bien d'autres. Je pourrais lui demander légalement qu'elles seraient nos options. Disons que je ne suis pas vraiment le spécialiste des lois (clin d'oeil).

Il se tut et attendit sa réaction.

La guerrière s'enfonça lentement dans la forêt, elle aurait juré que les arbres se tassaient par respect et honoraient sa visite. Wulf s'avait à cet instant que la présence de Brigid n'était pas loin. Elle s'arrêta près de cette source d'eau où d'autres avant elle s'étaient nettoyés et entreprit les gestes rituels de sa toilette.

Les paroles d'Éliam, de Winsthroft et de Beregon résonnèrent dans sa tête, elle en était presque étourdie.

-Mère, veille à ce que je ne faiblisse pas à cet instant. Fait en sorte que je puisse accompagner la meute et que mon épée accompagnée de mes nouveaux dons servent à défendre le bien. Je suis épuisée, mon humanité demande une pause mais je suis consciente de qui je suis... je suis désolée de demander un répis. Brigid .. je te demande pardon.. Mon esprit a été troublé ces derniers temps et j'ai songé ne serait-ce qu'un moment à mon bonheur égoïste. Heureusement que tu as su me ramener sur le droit chemin celui de ma destiné et que les raisons que tu as mis une fille à ton image sur ce monde n'est que pour vaincre le mal.... Mais Brigid!!! cette transformation?? changera-t-elle ma destiné??

Wulf qui s'était agenouillée pour se nettoyer cachait maintenant son visage dans ses mains.

Après que Bérégon se sauva en courant dans les bois, Winsthroft partit tout de suite après lui. Par le passer, le voleur avait voyager pendant plusieurs mois seul avec le rôdeur. Il avait donc une bonne idée de comment ce dernier se déplaçait dans les bois, ce qui lui permettrais probablement de le retrouver ou du moins de le suivre. Après tout, lorsqu'il prétendait être un apprentis rôdeur, ce n'était pas tout à fait faux.

De toute les choses qu'il pouvait faire, laisser son ami complètement seul dans cette histoire était vraiment la dernière qu'il désirait faire.

Les feuilles tombaient sur le corps assoupi de la guerrière. Étendue sur un lit de mousse, elle avait baissé ses gardes et s'était laisser bercée par le chant de l'automne. La mèche rouge qui chatouillait sa joue n'affectait point son sommeil tant réclâmé ces derniers jours.

Une louve veillait sur elle du sommet de la colinne. Son regard maternel posé sur la guerrière donnait à ce fauve une allure qu'asiment humaine. Elle ne s'était plus manifestée depuis sa transformation mais nMavait cessé de chérire son enfant.

Qu'allait-il devenir de sa fille? celle qui se battait au nom de la guerre? maintenant contrainte à vénérer la nature, à honorer les rites de la lune et à apprivoiser la bête qui s'éveillait en elle.

Pour l'instant, le temps suspendu, la Louve dormait.

Minuit qui se promenait dans les parage appercu Wulf. Ellle n'aimait pas wulf, ou plutot c'était Wulf qui ne l'aimais pas, mais elle se doutait tres bien du pourquoi. Si elle avait su a quel point elle redoutait pour rien. Minuit n'étais pas sur si elle s'avait se qu'aimer voulait dire. Comment aurait-elle pu aimer quelqu'un quand elle avait appris a ne faire confiance a personne.

Tout d'un coup, elle entendit du bruit. Elle alla dans la direction d'ou cela venait et elle vit 6 gobelin qui marchait directement dans la direcxtion ou était Wulf. Elle vint pour partir, mais se dit : "J'ai beau pas l'aimer je ne peux pas la laisser comme sa..."

Elle partit a courir dans la direction de wulf et la réveilla. " Wulf, Wulf! réveille toi ya des gobelins qui arrivent..."

Un cri d'alarme resonnait dans le rêve de Wulf, la guerrière assoupie cherchait d'où venait cet avertissement. Ce n'est lorsqu' un objet froid et visqueux se fit sentir sur sa nuque qu'elle ouvrit les yeux. Wulf demeura calme et étudiait la situation. Un gobelin la tenait en garde avec sa lame sur sa nuque, un second se dirigeait vers son bouclier et son épée, le troisième surveillait les alentours tout en se fouillant les cavités nasales. Et Wulf put entendre les 3 autres rigoler près du ruisseaux.

Avant de passer à l'action , Wulf esquissait un sourire de plaisir ...

Empoignant le bras de celui qui la menaçait de sa lame, elle le lui tordit derrière son dos et le projeta sur le gobelin qui tentait de prendre ses armes. Wulf glissa sur les feuilles mortes avant que le premier touche le sol. Elle prit son épée et empalla en brochette les deux gobelins. Pendant ce temps, Les Doigst dans le Nez constata le réveil de la louve, il alarma les 3 autres de se ruer vers leur victime. Mais avaient-ils eu le temps de voir où Wulf se tenait qu'un coup d'une force incroyable, surhumaine fit craquer le coup du premier en ligne. Le second n'a eu le temps de dégainer son épée courte que le pommeau de l'épée de Wulf lui brisa le nez.

Wulf faisait face maintenant à son 5 ieme gobelin, habituellement rendue à ce compte, la flèche de Beregon ou les lames d' Éliam venaient terminer le combat, mais sachant Winthroft et Beregon bien loin, elle devait se raviser et terminer le combat seule.

Le sixième gobelin, après avoir retiré ses doigts de son nez, se précipita vers Wulf et sauta sur son dos tandis que son frère attaqua la guerrière par devant. Il esquivait habilement les lourds coups de la guerrière qui était contrainte à désarçonner l'autre. La lame infecte du gobelin écorcha la cuisse et le bras de la louve. Ces coupures mirent Wulf en rage qui rapidement fit basculer son cavalier au dessus de sa tête afin qu'il s'écrase sur l'autre gobelin. Finalement, elle mit fin à leur pauvre existance d'un seul coup qui décapita les deux créatures pustullantes.

Wulf senti soudainement un léger picottement dans son corps, lui rappelant légèrement les moments où elle allait s'écraser. Elle eut le temps de dire:

-Bon sang, j'v'n'ais juste de me laver!

Que Wulf mit la main sur sa nuque afin de réaliser que son cavalier lui avait bien tranché la gorge avant d'être projeté de sa monture. La guerrière dépêcha sa main afin de cesser l'émoragie et s'allongea au pied de l'arbre.

Minuit qui n'avait pas eu le temps de réagir pour aider Wulf vit quel était gravement blessé. Elle accourut aupres d'elle et s'agenouillaa ces côtés.

"Wulf ne bouge pas"

Minuit sortie son atirail de premier soin. "Enleve ta main je vais m'occupé de toi..."

Lorsque Wulf enleva sa main Minuit vit que c'étais un peu moins grave qu'elle n'avait cru au début, mais il fallait agir vite pour la sauver. Wulf qui perdait beaucoup de sang tomba dans les pommes et Minuit redoubla d'ardeur pour arreter l'hémoragie. Cela pris quelque temps pour que le sang arrete de couler, elle vit bien que Wulf serait trop faible. Elle nettoya les autres blessures de la guerriere et entrepris de faire un genre de brancard pour la transporter aupres des autres. Lorsqu'elle eu fini Wulf commencait a se réveillé.

Minuit s'approcha d'elle et lui dit. Tu es trop faible pour marcher je vais t'installé sur un brancard et te ramener aupres des autres.

Minuit mit Wulf sur le brancard et commenca a la tiré.

LorsqueWulf regagna conscience, elle entendit la voix lointaine de Minuit. Elle comprit lentement le sens de sa réplique et se débatit hardemment.

-Quoi? Toi? ici?.Comment.. tu as survécu??. un brancard?? Si tu crois que je retournerai au camp allongée et tirée par...Minuit??

Wulf regarda les bandages sur ses plaies.

-C'Est toi qui m'a guérri?.... merci.

Wulf tenta de se levée mais ses jambes cédèrent. S'appuyant sur le tronc d'un chêne, la guerrière tenta de reprendre ses forces.

-Laisse-moi ici.. je vais me refaire. Tu verras.

Et Wulf, ferma les yeux légèrement afin de calmer la douleur qui lui rongeait l'intérieur. Se pouvait-il que ces enfoirés de gobelins aient fait preuve d'un peu d'originalité et qu'ils aient trempé leurs armes dans une substance infecte ?

-Va...ça.. merci .. va seulement chercher Éliam s'il te palit... ça ira.

Minuit ne voulais rien entendre. Elle prit Wulf par le bras et voulu la forcera se coucher sur le brancard. Mais bien sûr Wulf ne voulu rien entendre.

" Écoute Wulf je ne te laisserai pas ici dans cet état, Si d'autre Gobelin arrive tu ne pourra pas combatre et la je vais etre dans le trouble parce que j'ai laissé la grande héroine toute seul quand elle avait un peu, et mit l'accent sur le un peu, besoin d'aide. Alors soit tu te couche sur le brancard et je te ramene au camps ou je t'assome et je te ramene au camps quand meme. Si tu veux avant qu'on arrive trop pres du camp je t'aiderai a te relever et on finira les quelques mètres a pied, je te soutiendrai.."

Minuit attendit la réponse de Wulf tout en approchant le Brancard.

" tu sais Wulf ta pas a t'inquiété pour moi. Eliam c juste un bon gars pour moi, rien de plus si tu vois ce que je veux dire. Alors ta rien a craindre dans se sens. Tu sais si tu arretais de me détester je pourrais me rendre utile et même vous aider...et surtout avec le petit probleme de winsthroft..."

"Et puis! ta réponse... tu te couche ou je t'asomme???"